Histoire de la Convention nationale |
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Page iv
... il fut le protecteur constant ae ceux dont il avait le plus combattu les prérogatives . Elle approchait , cette révolution , et Durand de Maillane IV NOTICE BIOGRAPHIQUE CHAP - Projet de meurtre contre les girondins,
... il fut le protecteur constant ae ceux dont il avait le plus combattu les prérogatives . Elle approchait , cette révolution , et Durand de Maillane IV NOTICE BIOGRAPHIQUE CHAP - Projet de meurtre contre les girondins,
Page vi
... girondins se flattaient de vaincre avec des dis- cours ceux qui les attaquaient par des insurrec- tions , désespérant malgré lui du succès de leur cause , il garda il garda le silence . On le vit parmi ces hommes de la plaine , qu ...
... girondins se flattaient de vaincre avec des dis- cours ceux qui les attaquaient par des insurrec- tions , désespérant malgré lui du succès de leur cause , il garda il garda le silence . On le vit parmi ces hommes de la plaine , qu ...
Page xii
... girondins excitaient son intérêt , quoiqu'il ne pût s'empêcher de blâmer et les dédains de leur éloquente supériorité et les impru- dences de leur confiance présomptueuse . On a beaucoup loué la vigoureuse franchise avec laquelle le ...
... girondins excitaient son intérêt , quoiqu'il ne pût s'empêcher de blâmer et les dédains de leur éloquente supériorité et les impru- dences de leur confiance présomptueuse . On a beaucoup loué la vigoureuse franchise avec laquelle le ...
Page 7
... Girondins . Ceux - ci avaient certaine- ment la raison pour eux , mais ils n'avaient pas la force , et en révolution le plus fort est le plus sage . Tous les amis de l'ordre étaient aussi pour les Girondins , si l'on excepte les ci ...
... Girondins . Ceux - ci avaient certaine- ment la raison pour eux , mais ils n'avaient pas la force , et en révolution le plus fort est le plus sage . Tous les amis de l'ordre étaient aussi pour les Girondins , si l'on excepte les ci ...
Page 26
... girondins , de leur athéisme , par son Être - suprême . La fameuse lettre du ministre Roland parle aussi du décret contre les prêtres , comme d'une loi que le roi avait tort de ne pas sanctionner . Après ces décrets contre les prêtres ...
... girondins , de leur athéisme , par son Être - suprême . La fameuse lettre du ministre Roland parle aussi du décret contre les prêtres , comme d'une loi que le roi avait tort de ne pas sanctionner . Après ces décrets contre les prêtres ...
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Common terms and phrases
10 août accusés agens applaudissemens arrestation assemblée autorités avaient avez Barbaroux barre Barrère bespierre Billaud-Varenne blique Bouches-du-Rhône citoyens clubs collègues comité de législation comité de salut comité de sûreté commission des douze commune complices conspirateurs constitution de 1791 Convention nationale corps législatif Couthon crime Danton déclaration décret d'arrestation défense délibérations demande dénoncés départemens députés détenus devait discours Dumouriez émigrés ennemis envoyés événemens force armée girondins gouvernement Henriot j'ai jacobins jour jugement juin Jura justice l'Assemblée constituante l'orateur Lanjuinais liberté lois long-temps Louis Marat membres ment mesures ministre montagnards montagne motion municipalité n'avait n'était nation ôtages parole patrie patriotes Pétion pétition prairial présente président projet publique Qu'avez-vous à répondre rapport représentans du peuple représentation nationale répu républicains république révolution Saint-Just salle salut public sauver séance sections Septeuil sera seront seul sur-le-champ sûreté générale tion toyens traîtres tribunal révolutionnaire tribune troupes tyran vention nationale voté
Popular passages
Page 341 - Les secours publics sont une dette sacrée. La société doit la subsistance aux citoyens malheureux, soit en leur procurant du travail, soit en assurant les moyens d'exister à ceux qui sont hors d'état de travailler.
Page 340 - Tout homme étant présumé innocent jusqu'à ce qu'il ait été déclaré coupable, s'il est jugé indispensable de l'arrêter, toute rigueur qui ne serait pas nécessaire pour s'assurer de sa personne doit être sévèrement réprimée par la loi.
Page 22 - Je jure d'être fidèle à la Nation et de maintenir la liberté et l'égalité ou de mourir en les défendant.
Page 339 - Le peuple français, convaincu que l'oubli et le mépris des droits naturels de l'homme sont les seules causes des malheurs du monde, a résolu d'exposer dans une déclaration solennelle, ces droits sacrés et inaliénables, afin que tous les citoyens, pouvant comparer sans cesse les actes du Gouvernement avec le but de toute institution sociale, ne se laissent jamais opprimer...
Page 340 - Tout acte exercé contre un homme hors des cas et sans les formes que la loi détermine, est arbitraire et tyrannique ; celui contre lequel on voudrait l'exécuter par la violence, a le droit de le repousser par la force.
Page 341 - Tout homme peut engager ses services, son temps, mais il ne peut se vendre ni être vendu ; sa personne n'est pas une propriété aliénable. La loi ne reconnaît point de domesticité ; il ne peut exister qu'un engagement de soins et de reconnaissance entre l'homme qui travaille et celui qui l'emploie.
Page 161 - Dès ce moment, jusqu'à celui où les ennemis auront été chassés du territoire de la république , tous les Français sont en réquisition permanente pour le service des armées. » Les jeunes gens iront au combat ; les hommes mariés forgeront les armes et transporteront les subsistances ; les femmes feront des tentes , des habits , et serviront dans les hôpitaux; les enfants mettront le vieux linge en charpie; les vieillards se feront porter sur les places publiques pour exciter le courage...
Page 340 - Nul homme ne peut être accusé, arrêté ni détenu que dans les cas déterminés par la loi, et selon les formes qu'elle a prescrites.
Page 341 - L'instruction est le besoin de tous. La société doit favoriser de tout son pouvoir les progrès de la raison publique, et mettre l'instruction à la portée de tous les citoyens.
Page 316 - Mirabeau , qui devait imprimer un mouvement contre-révolutionnaire aux provinces. Vous avez répandu des millions pour effectuer cette corruption, et vous avez voulu faire de la popularité même, un moyen d'asservir le peuple. Ces faits résultent d'un mémoire de Talon , que vous avez apostillé de votre main , et d'une lettre que Laporte vous écrivait le 19 avril, dans laquelle, vous rapportant une conversation qu'il avait eue avec Rivarol , il vous disait que les millions qu'on vous avait engagé...