La Revue hebdomadaire, Volume 5; Volume 6, Part 4René Moulin Librairie Plon, 1897 - Literature |
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... gens sou- cieux , subissait l'influence cordiale de sa sœur . Elles s'assirent , les mains enlacées . - Oui , debout , petite sœur , répétait Christine , de- bout pour longtemps ... guérie enfin ... ! que j'ai envie d'être heureuse , d ...
... gens sou- cieux , subissait l'influence cordiale de sa sœur . Elles s'assirent , les mains enlacées . - Oui , debout , petite sœur , répétait Christine , de- bout pour longtemps ... guérie enfin ... ! que j'ai envie d'être heureuse , d ...
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... gens d'esprit et d'imbéciles , car sa vieille âme était aussi foncièrement accueillante que , jadis , son jeune corps . Un samedi de septembre , les Somerville s'en furent déjeuner au château historique . L'illustre critique Fauvière ...
... gens d'esprit et d'imbéciles , car sa vieille âme était aussi foncièrement accueillante que , jadis , son jeune corps . Un samedi de septembre , les Somerville s'en furent déjeuner au château historique . L'illustre critique Fauvière ...
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... gens ont chacun sa manière de collaborer à son maintien , ceux - ci en mettant des soldats en branle , ceux - là en s'efforçant d'entraver la mobilisation . Gardez - vous bien de demander ici , dans le pays le plus militaire de la ...
... gens ont chacun sa manière de collaborer à son maintien , ceux - ci en mettant des soldats en branle , ceux - là en s'efforçant d'entraver la mobilisation . Gardez - vous bien de demander ici , dans le pays le plus militaire de la ...
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... gens que tourmente le besoin de se créer de belles relations . Dès qu'il se trouvait dans le voisinage d'une « notabilité » quelconque , il n'épargnait ni pas ni démarches pour lui être présenté et l'amener chez lui . Il goûtait une ...
... gens que tourmente le besoin de se créer de belles relations . Dès qu'il se trouvait dans le voisinage d'une « notabilité » quelconque , il n'épargnait ni pas ni démarches pour lui être présenté et l'amener chez lui . Il goûtait une ...
Page 70
... gens de son entourage en pâtissaient . Simonne connaissait par expérience les désagréables défauts de caractère de son mari . Elle sentait que Jean ne les supportait qu'à cause d'elle et le plaignait du fond du cœur . A le voir si bon ...
... gens de son entourage en pâtissaient . Simonne connaissait par expérience les désagréables défauts de caractère de son mari . Elle sentait que Jean ne les supportait qu'à cause d'elle et le plaignait du fond du cœur . A le voir si bon ...
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Common terms and phrases
2º série Abyssinie aimer amour Anglais arrive AUGUSTE STRINDBERG avaient Balkans baron de Neuhoff bateau Bayonne Bulgarie C'était Carlsson chambre Charles Charles de Lesseps Charles IV charmante cher Choa chose Christine Clara cœur Corse coup cria cuisine demeurait devant dit-il Duchesse D'ABRANTÈS eût Faverges fenêtre Ferdinand fortune Frangy fût gens Gilbert Godoï goût Guillaume Lejean Gustave heures Hyacinthe Paoli Isabelle Italiens j'ai Jacqueline jamais Jean Serraval jeune femme jour l'empereur Johannès laisser main maison mari Marrac matin Ménélick ment Mme Divoire Mme Flod Mme Lancret Mme Serraval mort n'avait n'était Napoléon Norman parler paroles passer pasteur Paul Hervieu péninsule pensée père personne politique porte pouvait prince prit Raymond regard reste rien Rundquist s'en s'était s'il Sahala sais salon semblait sentit Serbes Serraval seul Simonne snob soir songer sorte tête Théodore de Neuhoff Théodoros tion Toron trouver venait vieille visage visite voix voulait yeux
Popular passages
Page 459 - Exercerai-je l'acte d'un grand protectorat , en prononçant entre le père et le fils ? Il me semble difficile de faire régner Charles IV : son gouvernement et son favori sont tellement dépopularisés , qu'ils ne se soutiendraient pas trois mois. » Ferdinand est l'ennemi de la France , c'est pour cela qu'on l'a fait roi ; le placer sur le trône sera servir les factions qui , depuis vingt-cinq ans, veulent l'anéantissement de la France. Une alliance de famille serait un faible lien.
Page 322 - Napoléon, empereur des Français. roi d'Italie et protecteur de la confédération du Rhin : Sur le rapport de notre Ministre des relations extérieures . Notre Conseil d'État entendu , Nous avons décrété et décrétons ce qui suit: Art.
Page 477 - Castellane, vous êtes un pacha ici; les préfets, une fois à cent lieues de la capitale, ont plus de pouvoir que moi.
Page 133 - Molière définissoit un médecin , un homme que l'on paie pour conter des fariboles dans la chambre d'un malade, jusqu'à ce que la nature l'ait guéri , ou que les remèdes l'aient tué.
Page 472 - Allons! faites donner la garde, cria-t-il, — Et lanciers, grenadiers aux guêtres de coutil, Dragons que Rome eût pris pour des légionnaires, Cuirassiers, canonniers qui traînaient des tonnerres, Portant le noir colback ou le casque poli, Tous, ceux de Friedland et ceux de Rivoli, Comprenant qu'ils allaient mourir dans cette fête, Saluèrent leur dieu, debout dans la tempête. Leur bouche, d'un seul cri, dit: vive l'empereur! Puis...
Page 476 - N'ayant point d'autre lieu où ils pussent se voir, ils s'y oublièrent un jour, furent surpris par la marée montante, n'eurent pas le temps de s'échapper, et périrent tous les deux ensemble. Tel est du moins le récit que l'on fait aux voyageurs qui viennent visiter ce lieu, fort curieux à voir sous plusieurs rapports. Pour moi, je n'avais rien vu qui me parût comparable au spectacle de la marée montante et de la marée descendante.
Page 459 - La dynastie qui gouverne l'Espagne, par ses affections, ses souvenirs, ses craintes, sera toujours l'ennemie cachée de la France; ennemie d'autant plus perfide qu'elle se présente comme amie, cédant tout à la France victorieuse, prête à l'accabler du moment où sa destinée deviendrait incertaine.
Page 470 - Je l'avais souvent entendu, mais, dans aucune circonstance, je ne l'avais entendu développer de telle richesses d'imagination et de langage. Soit abondance du sujet, soit que toutes ses facultés eussent été remuées par la scène de laquelle il sortait et que toutes les cordes de l'instrument vibrassent à la fois, il fut sublime.
Page 451 - Alors, soulevant le rideau, il regarda dans la rue. Un grand salon de coiffure, tout flambant de gaz, illuminait le trottoir d'en face, et, à travers les glaces de la vitrine, Chrétien vit quatre ou cinq jeunes gens que coiffaient ou rasaient avec agilité des garçons en bras de chemise. Il supposa que c'étaient des étudiants qui, le soir même, devaient aller au bal, au théâtre, qui se paraient pour quelque fête. Bientôt il ferait comme eux, goûterait aux plaisirs de Paris.
Page 470 - C'était , dit-il , le roi Priam. Ce forent ses expressions, lorsque s'arrêtant tout à coup, il ajouta après un moment de silence : » La scène devenait fort belle, quand la reine est venue l'interrompre en éclatant en invectives et en menaces contre son fils , et après lui avoir reproché de les avoir détrônés, elle m'a demandé de le faire monter sur l'échafaud. Quelle femme ! quelle mère ! s'écria-t-il ; elle m'a. fait horreur , elle m'a intéressé pour lui.