Mémoires historiques et secrets de l'impératrice Joséphine, Marie-Rose Tascher-de-la-Pagerie, première épouse de Napoléon Bonapartechez l'Auteur, 1820 - France |
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Common terms and phrases
aimait Alexandre de Beauharnais allait amie amis assez Augereau aurait avaient Barras beau bientôt bonheur c'était cesse cher cœur conseils Corse courage crainte créole cruelle devait Directoire disait donner douleur duc d'Enghien enfans ennemis épouse époux Eugène de Beauharnais faisait famille femme fille fils force fortune général en chef gloire gner gouvernement heureux homme instant j'ai j'avais jamais jeune Joséphine jour l'Italie l'un larmes liberté long-temps Louis XVI madame Bonaparte madame de Beauharnais Madame de Staël madame Renaudin mademoiselle main malheureux Malmaison ment mort n'avait NAPOLÉON BONAPARTE nation noble pable Pagerie palais palais du Luxembourg parens passé patrie pensée père personne peuple plaisir plupart politique porter pouvait premier Consul présent prince qu'un république reste révolution s'était secret semblait sentimens sentiment serait seul soins soldats sorte souvent Tallien Tascher tendre tion toyen triomphe trône trouver venait vicomte victime vint voulait voulu voyait Williams yeux
Popular passages
Page 422 - les partis en France. fidélité, la constance dans ses affections; nulle ambition , nul intérêt, nul désir de vengeance, nulle crainte que celle de déplaire. Il est tout zèle , toute ardeur et toute obéissance ; plus sensible aux souvenirs des bienfaits qu'à celui des outrages, il ne se
Page 388 - le tionc des arbres, et cela avec mon adresse ordinaire, c'est-à-dire, sans presqu'en toucher aucun. Au milieu de cet agréable exercice, je m'avisai de m'en faire une espèce de pronostic pour calmer mon inquiétude, je me dis : Je m'en vais jeter cette pierre contre l'arbre qui est vis-a-vis de moi; si je le
Page 286 - représentation nationale, ainsi qu'à l'exécution du décret. Deux messagers d'état s'empressèrent de le lui communiquer, et sur-le-champ il se rendit, suivi de son état-major, à l'assemblée, où il fit ce discours : « La république périssait, votre décret l'a sauvée. Malheur à ceux qui voudraient le trouble et le désordre! je les arrêterai, aidé du général Lefebvre , du général
Page 359 - douce étude. Aussi, répétait-il sans cesse dans l'amertume de sa douleur: « Un roi ne peut faire le bien qui est dans son cœur qu'autant qu'il a l'autorité nécessaire , et autrement , étant lie dans ses opérations, il
Page 418 - pour traiter ainsi leurs restes , sinon d'avoir mis au jour des fils tels que nous ! mais écoutez la fin de tout ceci et voyez l'énormité des crimes de l'espèce humaine. Dans quelques villes de France , on bâtit des cachots sur l'emplacement des cimetières, on éleva les prisons des hommes sur le champ où
Page 198 - deviendront vos plus implacables adversaires. Je connais trop les grands ; dans le malheur, amis, Ingrats dans la fortune, et bientôt ennemis. Nous sommes, de leur gloire, un instrument servile, Rejeté par dédain dès qu'il est inutile, Et brisé sans pitié s'il devient dangereux. Mes jours s'écoulaient ainsi dans le sein de l'amitié. A chaque instant j'aimais à me transporter sur les différentes scènes
Page 418 - après avoir donné quelques heures au plaisir d'un honteux spectacle , retournaient froidement dans leurs comités permanens , signer de nouveaux arrêts de proscriptions dirigés souvent contre ceux qu'ils venaient d'aduler. « Il fut réservé à notre siècle de voir ce qu'on regardait comme le plus grand malheur chez les anciens, ce qui était le dernier supplice dont on
Page 423 - Il les subit, les oublie, ou ne s'en souvient que pour s'attacher davantage ; loin de s'irriter ou de fuir, il s'expose lui-même à de nouvelles épreuves ; il lèche
Page 327 - Ainsi pleurait l'Hébreu ; mais du moins par ses frères Il n'était point banni du séjour de ses pères. Ah! combien du français le sort est plus cruel ! Chassé par des Français loin du sol paternel , Il vit sous d'autres cieux , et pour comble de peine , De sa pairie ingrate il emporte la haine.
Page 176 - haine marâtre, En foule de ton sein , rejeta tes enfans ! De ton affreux succès nos voisins triomphans, Reçurent nos guerriers, nos arts, notre industrie; Et cette plaie horrible est à peine guérie, Que le parti vaincu , de son pouvoir surpris , Du vainqueur en cent lieux disperse les débris.