La Revue hebdomadaire, Volumes 1-2; Volume 33, Parts 1-2René Moulin Nourrit et Cie, 1924 - Literature |
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... J'ai fait résis- tance . Nous savons , hélas ! dès le premier instant , que ces choses sont vraies , irrévocables , alors que de long- temps nous ne pourrons les croire . Je sais , je crois presque , aujourd'hui , et je résiste encore ...
... J'ai fait résis- tance . Nous savons , hélas ! dès le premier instant , que ces choses sont vraies , irrévocables , alors que de long- temps nous ne pourrons les croire . Je sais , je crois presque , aujourd'hui , et je résiste encore ...
Page 8
... J'ai senti , une fois de plus , le prix de cette faveur ; je sais trop bien ce que vous me sacrifiez . Un jour que vous décache- tiez votre courrier devant moi , et que je m'étonnais de vous voir refuser un dîner d'ambassade , où votre ...
... J'ai senti , une fois de plus , le prix de cette faveur ; je sais trop bien ce que vous me sacrifiez . Un jour que vous décache- tiez votre courrier devant moi , et que je m'étonnais de vous voir refuser un dîner d'ambassade , où votre ...
Page 22
... J'ai peut - être douté que je vous aimasse , tant je restais aride . Vous avez dénoué mon cœur . Nous étions seuls . La prière qui s'échappait de la forme noire agenouillée à votre chevet était anonyme . Avec elle veillait le grand ...
... J'ai peut - être douté que je vous aimasse , tant je restais aride . Vous avez dénoué mon cœur . Nous étions seuls . La prière qui s'échappait de la forme noire agenouillée à votre chevet était anonyme . Avec elle veillait le grand ...
Page 24
... J'ai baisé votre main qui a tant œuvré . Elle était en- core tiède . Je vous ai parlé longtemps . Charles Maurras est entré . Très calme , sans un geste , il vous a regardé . Il a pris le rameau de buis , et lentement il a tracé sur ...
... J'ai baisé votre main qui a tant œuvré . Elle était en- core tiède . Je vous ai parlé longtemps . Charles Maurras est entré . Très calme , sans un geste , il vous a regardé . Il a pris le rameau de buis , et lentement il a tracé sur ...
Page 25
... j'ai compris soudain pourquoi elle vous plaisait tant , cette grande vacuité lorraine , dont la nostalgie vous poursuivait à Sparte ! ... La dernière fois que vous êtes entré dans cette église sans beauté , mais si familiale , c'était ...
... j'ai compris soudain pourquoi elle vous plaisait tant , cette grande vacuité lorraine , dont la nostalgie vous poursuivait à Sparte ! ... La dernière fois que vous êtes entré dans cette église sans beauté , mais si familiale , c'était ...
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