La Revue hebdomadaire, Volumes 1-2; Volume 33, Parts 1-2René Moulin Nourrit et Cie, 1924 - Literature |
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... me faites de la main un der- nier geste de camarade . Je regarde s'éloigner , s'amincir votre silhouette . Me douté - je que c'est pour la dernière fois ? Un soir pareil à ceux - là , vous êtes ADIEU A MAURICE BARRÈS 19.
... me faites de la main un der- nier geste de camarade . Je regarde s'éloigner , s'amincir votre silhouette . Me douté - je que c'est pour la dernière fois ? Un soir pareil à ceux - là , vous êtes ADIEU A MAURICE BARRÈS 19.
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René Moulin. Un soir pareil à ceux - là , vous êtes rentré à Neuilly , à peine fatigué par votre bon labeur . Vous aviez déjeuné avec la Ligue des Patriotes , discouru pour elle , traversé la Chambre , préparé votre interpellation de ...
René Moulin. Un soir pareil à ceux - là , vous êtes rentré à Neuilly , à peine fatigué par votre bon labeur . Vous aviez déjeuné avec la Ligue des Patriotes , discouru pour elle , traversé la Chambre , préparé votre interpellation de ...
Page 21
... soir . » Et comme une anxiété se glisse soudain entr vous deux , vous avez un mot de douceur et d'excuse : « Je souffre bien , mais je crains que ce soit encore plus désagréable pour ceux qui me regardent que pour moi . » Vous n'avez ...
... soir . » Et comme une anxiété se glisse soudain entr vous deux , vous avez un mot de douceur et d'excuse : « Je souffre bien , mais je crains que ce soit encore plus désagréable pour ceux qui me regardent que pour moi . » Vous n'avez ...
Page 25
... soir . Vous en avez décidé autrement . Votre dernier sommeil ne pouvait appartenir ni au mont ni à la mer . Trop souvent on vous avait accablé , vivant , du souvenir d'une ombre orgueilleuse . Comment votre sagesse ne vous eût - elle ...
... soir . Vous en avez décidé autrement . Votre dernier sommeil ne pouvait appartenir ni au mont ni à la mer . Trop souvent on vous avait accablé , vivant , du souvenir d'une ombre orgueilleuse . Comment votre sagesse ne vous eût - elle ...
Page 38
... soir trembler aux bras des ven- deurs criards et s'échapper de leurs mains sèches comme les feuilles jaunies des arbres de nos boulevards . Nul doute que le lendemain , ils soient au feu ou confondus avec tout le débris des vies usées ...
... soir trembler aux bras des ven- deurs criards et s'échapper de leurs mains sèches comme les feuilles jaunies des arbres de nos boulevards . Nul doute que le lendemain , ils soient au feu ou confondus avec tout le débris des vies usées ...
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