...ceux qui estoient preseus me dirent, si tost que nous fusmes arriuez, qu'ils n'auoient iamais veu rien de semblable. Vous eussiez veu ces femmes enragées,...plus sensibles et les plus vergogneuses, les piquer auec des aleines, les mordre à belles dents, comme des furies, leur fendre la chair auec des cousteaux...

...nous fusmes arrivez, qu'ils n'avoient jamais vu rien de semblable. Vous eussiez vu ces femmes enragez, crians, hurlans, leur appliquer des feux aux parties...exercèrent tout ce que la rage peut suggérer à des femmes. Elles jettoient sur eulx du feu, des cendres bruslantes, du sable tout ardent, et quand...

...arrivez, qu'ils u'avoient jamais vu rien de semblable. Vous eussiez vu ces femmes enragez, criaus, hurlans, leur appliquer des feux aux parties les plus...couteaux ; bref, ils exercèrent tout ce que la rage peut snggérer à des femmes. Elles jettoient sur eulx du feu, des cendres bruslantes, du sable tout ardent,...

...dirent, fi toft que nous fumes arriuez, qu'ils n'auoient iamais veu rien de femblable. Vous eufiiez veu ces femmes enragées, crians, hurlans, leur appliquer des feux aux parties les plus fenfibles, & les plus vergogneufes, les picquer auec des aleines, les mordre à belle dents, comme...

...peu d'éloquence». fin qu'ils les laissassent tourmenter à leur gré ces pauvres victimes. [...] Vous eussiez veu ces femmes enragées, crians, hurlans,...appliquer des feux aux parties les plus sensibles, & les plus vergogneuses, les picquer avec des aleines, les mordre à belles dents, comme des furies,...

...propre est évoquée, le danger vient des femmes (nous avons déjà cité un passage où on les voyait «appliquer des feux aux parties les plus sensibles et les plus vergogneuses» des victimes), et c'est peut-être l'explication du lapsus suivant. Pour désigner ce que cache le...

...se serait jamais cru capable de supporter : Vous eussiez vu ces femmes enragées, criant, hurlant, leur appliquer des feux aux parties les plus sensibles et les plus vergogneuses, les piquer avec des alênes, les mordre à belles dents, comme des furies, leur fendre la chair avec des couteaux ; bref...

...fasciné par la cruauté des Amérindiennes, fait ainsi partager sa vision cauchemardesque au lecteur: Vous eussiez veu ces femmes enragées, crians, hurlans,...aleines, les mordre à belles dents, comme des furies, leur fendre la chair avec des cousteaux; bref exercer tout ce que la rage peut suggerer à une femme...