La vie parisienne à travers le xixe siècle. Paris de 1800 à 1900 d'après les estampes et les mémoires du temps publié sous la direction de Charles Simond [pseud.] Ouvrage illustré de 4,000 gravures reproduites en fac-similé, d'après les documents des bibliothèques publiques, musées, collections particulières: 1800-1830. Le consulat. Le premier empire. La restauration

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E. Plon, Nourrit et cie, 1900 - France

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Popular passages

Page 331 - L'intérêt que je porte à mon fils m'engage à inviter les Chambres à organiser sans délai la régence par une loi. Unissez-vous tous pour le salut public, et pour rester une nation indépendante.
Page 215 - Et lui ! l'orgueil gonflait sa puissante narine; Ses deux bras, jusqu'alors croisés sur sa poitrine, . S'étaient enfin ouverts ; Et l'enfant, soutenu dans sa main paternelle, Inondé des éclairs de sa fauve prunelle, Rayonnait au travers.
Page 589 - Le pauvre en sa cabane, où le chaume le couvre, Est sujet à ses lois ; Et la garde qui veille aux barrières du Louvre N'en défend pas nos rois.
Page 78 - Je fais avec instance la demande d'avoir une « audience particulière du Premier Consul. Mon « nom, mon rang, ma façon de penser et l'horreur « de ma situation me font espérer qu'il ne se
Page 323 - Hartmann.) peut-être avant; la capitale est dans le plus grand enthousiasme; tout est tranquille, et quoi qu'on puisse faire, la guerre civile n'aura lieu nulle part :
Page 331 - En commençant la guerre pour soutenir l'indépendance nationale, je comptais sur la réunion de tous les efforts, de toutes les volontés, et le concours de toutes les autorités nationales : j'étais fondé à en espérer le succès, et j'avais bravé toutes les déclarations des puissances contre moi. « Les circonstances me paraissent changées. Je m'offre en sacrifice à la haine des ennemis de la France. Puissent-ils être sincères dans leurs déclarations, et n'en avoir réellement voulu...
Page 176 - SM l'impératrice n'a point dit cela; elle connaît trop bien nos constitutions; elle sait trop bien que le premier représentant de la nation, c'est l'empereur; car tout pouvoir vient de Dieu et de la nation.
Page 508 - J'ai quitté l'hôtel des affaires étrangères, le département est à vos ordres.
Page 401 - Eh bien ! ce Shakespeare a révolutionné la scène. Corneille est l'héroïsme, Racine est la poésie, Shakespeare est le drame. C'est par lui que je suis devenu ce que je suis. Si vous voulez sérieusement devenir un grand poète théâtral, vous en êtes le maître, mais ne faites plus de tragédie, faites le drame, oubliez l'art français, grec ou latin et n'écoutez que la nature. Je n'ai pas eu d'autre maître et voilà pourquoi on m'aime (9).

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