Histoire de France pendant les guerres de religion, Volume 2Delaunay, 1814 - France |
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âme armée assassins avaient bataille bataille de Saint-Denis bientôt Bourbon Brantôme c'était calvinistes cardinal de Lorraine Catherine de Médicis cessa chancelier de L'Hôpital Charles Charles IX château Châtillon chefs Coligni combat commandait complot comte connétable conseil crime Dandelot Dieu don Carlos duc d'Albe duc d'Alençon duc d'Anjou duc de Guise égorger Élisabeth ennemis eût faible faisait fanatisme fils force François Ier frère gentilshommes guerre civile haine Henri hérétiques historiens huguenots Jarnac jours l'amiral de Coligni l'armée catholique l'édit l'histoire Lanoue long-temps maréchal massacre mémoires ment mère mille hommes ministres Mongomeri Montluc Montmorenci montrer mort n'avait négociations paix pape paraissait parlement Pays-Bas père Philippe Poltrot pouvait prince de Béarn prince de Condé protes protestans protestant règne reine de Navarre reine-mère reîtres religion Rochelle royaume s'était Saint Barthélemi Saint-André sang seigneurs seul soldats Tavanes testans Théodore De Beze Thou tion triumvirs troubles troupes venait vengeance venger vint zèle
Popular passages
Page 360 - J'ai communiqué, dit-il au roi, le commandement de Votre Majesté à ses fidèles habitants et gens de guerre de la garnison, je n'y ai trouvé que bons citoyens et braves soldats, mais pas un bourreau; c'est pourquoi eux et moi supplions très-humblement Votre Majesté de vouloir employer nos bras et nos vies en choses possibles ; quelque hasardeuses qu'elles soient, nous y mettrons jusqu'à la dernière goutte de notre sang.
Page 44 - Je leur pardonnerais d'être si impatients, s'ils devaient gagner au change; mais quand je regarde tout autour de moi, je serais bien tenté de leur répondre, comme un bon vieil homme d'évêque, qui portait, comme moi, une longue barbe blanche, et qui, la montrant, disait : « Quand cette neige sera fondue, il n'y aura...
Page 107 - Or, suivit ce prince, je vous veux montrer combien la religion que je tiens est plus douce que celle de quoi vous faites profession. La vôtre vous a conseillé de me tuer sans m'ouïr, n'ayant reçu de moi aucune offense; et la mienne me commande que je vous pardonne, tout convaincu que vous êtes de m'avoir voulu homicider sans raison.
Page 309 - Ce ne sont pas les hommes ici qui prient les femmes; ce sont les femmes qui prient les hommes.
Page 15 - Ses filles d'honneur, qu'elle avait soin de choisir trèajolies et très-adroites, étaient chargées de captiver le roi de Navarre, le prince de Coudé, le duc de Guise, enfin, tous les seigneurs qui se montraient accessibles à ce genre de séduction. Coligny presque seul y résistait.
Page 35 - Cène nous présente, donne et exhibe véritablement la substance de son corps et de son sang par l'opération...
Page 392 - ... que, parmi une telle confusion et un tel désordre, jamais ne faillirent leurs ordres, tant ces dames avoient le jugement solide et la retentive bonne...
Page 307 - ... (hermaphrodites) religieux. Je ne puis pas dire que je sois sans conseil, car chacun m'en donne un, et pas un ne se ressemble. Voyant donc que je ne fais que vaciller, la...
Page 36 - Saint-Esprit, et que nous recevons et mangeons sacramentellement, spirituellement, et par foi ce propre corps, qui est mort pour nous, pour être os de ses os et chair de sa chair, -afin d'en être vivifiés et de percevoir tout ce qui est requis à notre salut.
Page 226 - Béarn, et le jeune prince de Condé. « Mes amis, dit-elle, voilà deux nouveaux chefs que Dieu vous donne et deux orphelins que je vous confie.