Revue nationale et étrangère politique, scientifique et littéraire, Volume 22Charpentier, 1865 - Periodicals |
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Common terms and phrases
Américains Amérique amis anglais Angleterre animaux assez aujourd'hui aurait avaient Bancroft bataille de l'Alma blessés bonheur c'était cause Chaffanbrass chambre choléra chose Cléeve Clélie cœur colonies conseil Crabwitz criterium Cythéris d'autres demande devait dire dit-il Dockwrath donner eût façon Félix femme Femmes savantes fille force Franklin Furnival général gens gouvernement Graham Grande-Bretagne greffe hommes idées j'ai jamais jeune JOHN STUART MILL jour juste justice l'Amérique l'Angleterre l'idée l'utilité Lady Mason Lady Staveley laisser liberté Livraison Lucien Lucullus madame d'Épinay madame d'Houdetot madame Orme madame Thomas Madeleine mademoiselle mariage Massachusetts ment meurt du typhus mieux Molière monde monsieur morale n'avait n'était non-seulement Nouvelle-Angleterre pareille parler passé pays pense Peregrine Orme personne peuple plaisir poëte politique pourrait pouvait premier principe qu'un question raison reste rien Round s'il sais savait scorbut Sébastopol semble sentiment serait seul Sir Peregrine société sujet surtout Syron tion trouve utilitaire Varus Virgile voulait vrai
Popular passages
Page 399 - Nos pères, sur ce point, étaient gens bien sensés, Qui disaient qu'une femme en sait toujours assez Quand la capacité de son esprit se hausse A connaître un pourpoint d'avec un haut-de-chausse.
Page 399 - Je consens qu'une femme ait des clartés de tout, Mais je ne lui veux point la passion choquante De se rendre savante afin d'être savante; Et j'aime que souvent aux questions qu'on fait, Elle sache ignorer les choses qu'elle sait; De son étude enfin je veux qu'elle se cache, Et qu'elle ait du savoir sans vouloir qu'on le sache, Sans citer les auteurs, sans dire de grands mots, Et clouer de l'esprit à ses moindres propos.
Page 157 - REGRETTEZ-VOUS le temps où le ciel sur la terre Marchait et respirait dans un peuple de dieux ' ; Où Vénus AStarté ', fille de l'onde amère, Secouait, vierge encor, les larmes de sa mère, Et fécondait le monde en tordant ses cheveux...
Page 570 - Mais la nature est là qui t'invite et qui t*aime; Plonge-toi dans son sein qu'elle t'ouvre toujours : Quand tout change pour toi, la nature est la même, Et le même soleil se lève sur tes jours.
Page 397 - Nous serons, par nos lois, les juges des ouvrages ; Par nos lois, prose et vers, tout nous sera soumis : Nul n'aura de l'esprit, hors nous et nos amis.
Page 398 - L'on a vu , il n'ya pas long-temps , dit La Bruyère, un cercle de personnes des deux sexes , liées ensemble par la conversation et par un commerce d'esprit. Ils laissaient au vulgaire l'art de parler d'une manière intelligible. Une chose dite entre eux peu clairement en entraînait une autre encore plus obscure, sur laquelle on enchérissait par de vraies énigmes toujours suivies par de longs applaudissemens.
Page 537 - Je veux bien que la centralisation soit une belle conquête, je consens à ce que l'Europe nous l'envie, mais je soutiens que ce n'est point une conquête de la Révolution. C'est, au contraire, un produit de l'ancien régime, et, j'ajouterai, la seule portion de la constitution politique de l'ancien régime qui ait survécu à la Révolution, parce que c'était la seule qui pût s'accommoder de l'état social nouveau que cette Révolution a créé.
Page 404 - Je disais, en voyant des vers de sa façon, Qu'il faut qu'un galant homme ait toujours grand empire Sur les démangeaisons qui nous prennent d'écrire...
Page 92 - M"16 d'Houdetot , qui disait : « Je me mariai pour aller dans le monde et voir le bal, la promenade, l'opéra et la comédie; et je n'allai point dans le monde, et je ne vis rien, et j'en fus pour mes frais.
Page 101 - Ce fut de là qu'elle vint faire à l'Ermitage une nouvelle excursion. A ce voyage, elle était à cheval et en homme. Quoique je n'aime guère ces sortes de mascarades, je fus pris à l'air romanesque de celle-là, et, pour cette fois, ce fut de l'amour.