(Guerres maritimes Guerres de commerce). Importance des guer- res maritimes. I, 88. · Considéra- tions sur le rôle de la grande guerre maritime dans la balance politique de l'Europe. I, 498, 499. - Pour- quoi les tempéraments à l'usage ri- goureux du droit de guerre, admis dans les guerres continentales, sont- ils encore sans application dans les guerres maritimes? I, 51, 291. II, 161 et suiv.; 472, 473. Que l'on ne peut trouver dans le droit naturel la raison de cette diffé- rence. I, 51, 52. Elle s'explique par les retards qu'ont éprouvés la constitution régulière de la guerre maritime et l'établissement des flottes militaires appartenant à l'Etat. I, 292, 293. II, 158 à 161; 472 et suiv. La défense du com- merce maritime a été longtemps abandonnée aux armateurs eux- mêmes. 1, 295, 309, 335. Dis- tinction entre la grande guerre maritime et la guerre de course. 1, 341, 495, 497. II, 161 à 164; 314 et 315. Comment les rivalités commerciales étaient devenues, pendant un temps, la cause prin- cipale des guerres maritimes. II, 162, 359, 397 à 399; 411, 488 à 492. Comment la course était devenue l'instrument naturel de ces guerres commerciales. II, 163, 164; 412, 472, 487, 489. · Voyez
Course Marine militaire.
de guerres en Amérique. I, 454.— Guerres avec les indigènes. 1,454; -avec les colonies voisines. 1, 456; avec les pirates. 1, 458;- avec les esclaves. I, 460; la métropole. I, 462. Guerres maritimes en Europe aux xvI®, XVII et XVIIIe siècles. I, 485 à 530. Guerres des puissances chrétien- nes contre les musulmans. I, 485 à 490. Bataille de Lepante. I, 487. Guerres maritimes, aux XVIIe et XVIIIe siècles, entre l'Es- pagne, la Hollande, la France et Î'Angleterre. I, 494 à 517; - entre les puissances du Nord. I, 520, 521, 524 à 527. — Guerre maritime de l'indépendance américaine. II, 258 à 260. Première ligue de neutralité armée. II, 260 à 264. Lutte maritime entre la France et l'Angleterre, de 1793 à 1814. Caractères généraux de cette lutte. II, 296 à 300; 313 à 316. Négo- ciations ouvertes par la France pour abolir la course. II, 308 à 312. Armements en course contre l'Angleterre. II, 317 à 320, et 322 à 325. Guerre d'escadres. II, 325. Plan de guerre maritime des Anglais. H, 320. Projets de débarquement en Angleterre. II, 327, 328, 350. Expédition des Français en Égypte. 11, 336 à 338. - Système du blocus continental. II, 313 à 316; 349 à 355. Se- conde ligue de neutralité armée. II, 339 à 343.- Bataille de Copen- hague. II, 343. Voir les noms de chaque État belligérant.
GUSTAVE ADOLPHE. Ses guerres ma- ritimes. 1, 520.
GUYANE. Établissements français de la Guyane. I, 475. ments hollandais. I, 469.
HANSÉATIQUES. · Voyez Ligue han- séatique.
HENRI IV, roi de France. Ses vastes plans de colonisation maritime. I, 435 et 471.- Son système de paix européenne. II, 307.
HENRI VIII, roi d'Angleterre. Encou- ragements par lui donnés à des voyages de découverte. I, 425, 426. II, 119. État de la flotte an- glaise sous son règne. I, 271, 496. HISTOIRE. Lien intime qui rattache les progrès du droit des gens à l'histoire. I, 74. II, 5, 54, 55.- Danger d'étudier la science du droit des gens, abstraction faite de l'histoire. II, 71. Résumé de l'histoire maritime par époques. - Voyez Epoques. Comment l'his-
toire des progrès du droit se con- fond, de nos jours, avec celle de la mer. II, 233, 234. Voyez Colo- Guerres mari-
HOBBES (Thomas). Son livre De Cive. II, 49.
HOLLANDE. Les villes hollandaises dans la ligue hanséatique. I, 258. - Elles s'en séparent. I, 263. Révolte des Provinces-Unies con- Com- tre l'Espagne. I, 415, 494. ment la Hollande devient un grand État maritime. I, 417, 418, 496. Elle forme le projet d'enlever au Portugal le commerce de l'Inde. I, 418. II, 447. Caractère de cette entreprise. II, 447. - Com- pagnie_hollandaise des Grandes Îndes. I, 419. Établissements hollandais aux îles de la Sonde et Batavia. aux Moluques. I, 422. I, 423. Rapports des Hollandais avec la Chine et le Japon. I, 423, 424. · Colonie du Cap. 1, 424.- Entreprises des Hollandais sur le Brésil 1, 465. - Ils en sont expul- sés par les Portugais. I, 466. Colonie de la Nouvelle-Belge. 1, 467, 468. Guyane hollandaise. I, 469. Guerres navales des Hol- landais en Europe avec l'Angle- terre. I, 494; avec l'Espagne.II, avec la France. I, 501, 502. Leur grandeur sur mer. I, 501. Affaiblissement de la puissance hollandaise. I, 505 à 507.7 Hésita- tions de la Hollande lors de la pre- mière ligue armée des neutres. II, 263. Conquête de la Hollande par la France. II, 326. Politique maritime de la Hollande au sujet de la neutralité. II, 65, au bas. Voyez aussi II, 162, 176, 177, 302.
INDE. Relations anciennes de l'Eu- Re- rope avec l'lude. I, 103. cherches pour découvrir une route maritime vers l'Inde. I, 370, 377.
- Cette route est découverte par les Portugais. 1, 378, 381. - Eta- blissements formés dans l'Inde : par les Portugais. I, 381 à 388. Voyez Portugal; - par les Hollan- dais. I, 417 à 425. Voyez Hol- lande; par les Anglais. I, 425 à 434. II, 328 à 335; 451 à 456. Voyez Angleterre; par les Fran- çais. I, 434 à 448. II, 451 à 453.- Voyez France Des moyens em- ployés par les Européens pour do- miner l'Inde et s'emparer de son commerce. I, 420, 421. II, 328, 329. Plan de conquête conçu par Dupleix. I, 441. - Guerres du Guerres Karnatic. I, 442, 443. avec Hyder-Aly. I, 333; Ré- Tippoo-Saëb. II, 334, 335. volte des Cipayes. II, 454 à 456. INDES (les Deux). D'où est venu à l'Amérique le nom d'Indes occi- dentales. I, 377, 393. (Indes occidentales). - Voyez Amérique. — (Indes orientales).- Voyez Inde. INDÉPENDANCE AMÉRICAINE Voyez Amérique États-Unis. INDÉPENDANCE réciproque des États. Cette indépendance est le fon- dement du droit international. I, 17, 18; et du droit de guerre. I, 18, 19. II, 14, 15. -C'est sur elle que repose le principe de la li- berté des mers. I, 164, 165; celui de la neutralité. I, 283, 284. Elle conduit à l'équilibre poli- Voyez Equilibre politi- tique. que. Trop fractionnée elle em- pêche le pouvoir de se constituer sur de fortes bases. I, 223, 279. INDUSTRIE. Le développement de l'industrie dans les métropoles doit suivre le développement des colo- nies lointaines. I, 492, 493. II, 321.
JACQUES Ier autorise la formation de deux compagnies pour la colonisa- tion de l'Amérique anglaise. I, 476, 477; augmente la flotte an- glaise. I, 496. - Selden lui dédie son Mare clausum. II, 121. JACQUES II (précédemment duc d'York) porte la flotte anglaise à un degré jusqu'alors inconnu de puissance. I, 496. Invente l'usage des signaux. I, 495.
JAPON. Rapports du Japon avec les Portugais. I, 386, 387; avec les Hollandais. I, 424.
JERSEY (Ile de). II, 108.
(Au moyen âge). Influence des ju- ridictions consulaires sur la forma- tion des lois maritimes. I, 301 à 303. Importance de ces juri- dictions. I, 304, 305, 310, 351, 352, 366 Voyez Amirautés Prises maritimes. JURIDICTIONS CONSULAIRES A L'ÉTRAN- GER. Principes de droit naturel qui se rapportent à l'établissement des ju- ridictions consulaires à l'étranger. I, 47, 48.-Premières juridictions maritimes à l'étranger chez les peuples anciens. 1, 143, 185, 186, 187. Juridictions consulai- res au moyen âge. I, 310 à 314. Leur double caractère droit de protection, droit de justice. I, 312, 313. Pourquoi le droit de rendre la justice a été détaché de la juridiction consulaire. I, 313. JURISPRUDENCE. - Voyez Sources du droit maritime.
LA GASCA (Pierre de) apaise les Pé- ruviens révoltés contre les Espa- gnols. I, 399.
LALLY (Le comte de) nommé gou- verneur de l'Inde française. Ses revers et sa condamnation. I, 447, 448.
LAMPREDI (Jean-Marie). Étude som- maire sur son ouvrage : Du com- merce des peuples neutres en temps de guerre. II, 267, 268 à 282. LAS CASAS (Barthélemy de) plaide auprès de Charles-Quint la cause des Indiens réduits en servitude par les Espagnols. I, 408. LEIBNIZ (Guillaume de). Son Codex juris gentium diplomaticus. II, 54, 55. Sa théorie de l'obliga-
LIGUES DES PUISSANCES SECONDAIRES considérées comme moyen de ré- sistance contre des entreprises ty- ranniques. Il, 136, 139. Voyez Neutres. LIGUE HANSEATIQUE. Son caractère et son but. I, 257, 258. Éléments divers dont elle se compose. I, 258, 259. Sa naissance et ses premiers progrès. I, 260. Sa politique ambitieuse. I, 261, 285. Ses guerres avec les royaumes scandinaves. I, 262 à 264, 522.- Ses divisions. I, 263. Son dé- clin. 1, 264. Causes qui s'op- posaient à sa durée. I, 265. Voyez aussi 347. Elle préfère le privilége au droit commun, la guerre à la neutralité. I, 284, 285.
Ses efforts pour faire abolir le prétendu droit de naufrage. I, 323.
Elle n'adopte que tardivement le principe de l'assurance à prime. I, 334, 335. A voulu, dans ses guerres, appliquer aux neutres l'interdiction de commerce avec l'ennemi. I, 358.
LOIS INTÉRIEURES. Considérées dans leurs rapports avec le droit inter- national maritime. II, 143 à 146.
Voyez Prises (Jugement des).
LOIS MARITIMES
Ont pris nais- sance dans le droit coutumier de la mer. I, 301 à 303. Lois ma- times les plus célèbres au moyen âge. I, 303. Le droit romain leur sert de supplément. I, 304.- Voyez Consulat de la mer
tumes- Droit maritime Rhodes Oléron.
donnés aux entreprises coloniales dans les Indes. I, 436, 437; en Amérique. I, 473. Crée à la France une flotte militaire capa- ble de lutter avec toutes les puis- sances maritimes de l'Europe. I, 499, 500. - Expédition contre la Hollande. I, 501. Grandeur ma- ritime de la France. I, 502. Bombardement d'Alger et de Gênes. I, 503. Guerre pour le rétablis- sement des Stuarts. I, 504, 513.- Guerre de la succession d'Espagne. I, 505. Guerre d'escadres et guerre de course. I, 511, 512. Caractère de la politique maritime de Louis XIV. II, 236.
MABLY (Gabriel de) émet le premier le vœu que les belligérants per- mettent à leurs sujets respectifs de commercer entre eux pendant la guerre. II, 74, 75.
MAGELLAN (Ferdinand de) découvre le détroit qui porte son nom. I, 401, 413.
MALTE. Prise de Malte par les Fran- çais. II, 337. Elle tombe aux mains de l'Angleterre. II, 338. MARCHANDISES ENNEMIES sur navires neutres et
MARCHANDISES NEUTRES sur navires ennemis. Voyez Neutralité. Mare liberum (de Grotius) et Mare clausum (de Selden). II, 92 à 124. Voyez Mers (Liberté des).
MARINE MARCHANDE.
merce maritime.
MARINE MILITAIRE.
(Son origine et ses progrès). Longs navires. I, 104. Nombre des rangs de rameurs. I, 104, 116. Éperons de fer. I, 105. II, 414. Corbeaux. I, 110. - Premier em- ploi de gros navires. I, 116. (Mode de formation des flottes et escadres). Dans l'antiquité : à Athènes. I, 157, 158; à Rome. I, 158. Au moyen âge: en Nor- wége. I, 338, 339; en Castille. I, 340, 341; en Aragon. I, 347; en France. I, 270; en An- gleterre. I, 270,271, 272. Voir sur l'état de la marine pendant les croisades. I, 234, 235, 236, 244. - Dans les temps modernes: Forma- tion des grandes flottes militaires à voiles; application de l'artillerie à l'armement des navires. I, 495, 497, 498. Invention de la tacti- que navale et des signaux. I, 495;
des galiotes à bombes. I, 503. Emploi de la vapeur comme force motrice des vaisseaux. I, 1, 2. II, 413. Invention des bâti- ments cuirassés et des navires bé- liers. II, 414, 482.
(Rapports entre les progrès de l'art naval et ceux du droit maritime). En quoi l'organisation tardive des armées de mer a retardé le dé- veloppement du droit maritime. I, 292, 293. II, 159. - Influence des progrès de l'art naval sur ceux du droit maritime. II, 158 à 161. (Priviléges de la marine militaire). Les navires de guerre sont, comme les armées de terre, sous la juri- diction directe du souverain. II, 157. Les bâtiments de guerre ne sont pas soumis au droit de visite. II, 223. Peuvent-ils
exempter de la visite les navires marchands qu'ils escortent? II, 224 à 226; 340 à 342, 345.
(Limite du nombre des navires). Peut-on songer à limiter par des traités la marine militaire des dif- férents peuples? II, 138, 139. MARSEILLE. Commerce maritime des Marseillais du temps des Romains. I, 97. Leur caractère généreux. I, 97, 98. Importance commer- ciale et maritime de Marseille au moyen âge. I, 202, 267, 268. MARTENS (Georges-Frédéric de), né
Principes de droit naturel sur lesquels est fondée la liberté des mers. I, 33 à 37. II, 94, 113. Parallèle entre la terre et la mer par rapport aux usages que l'homme peut en tirer. I, 33, 34. La li- berté des mers repose sur l'indé- pendance des peuples. I, 164, 165.
La liberté des mers ainsi com- prise n'a pas été connue de l'anti- quité. I, 179, 180, 183.- Combien ce principe a été lent à se produire. II, 3.- Discussion sur la question de la liberté des mers, telle qu'on la po- sait au commencement du xviie siè- - (Mare liberum, de Grotius. Mare clausum, de Selden). II, 92 à 124. Arguments de Gro- tius. II, 94, 100. Arguments de Selden. II, 95 à 98, 101 à 116. Comment le principe de la liberté des mers était engagé dans les guerres de la révolution française et du premier empire. II, 295 à 306. Comment la liberté de commerce se rattache à la liberté des mers. II, 394, 395. — Voyez Domination Guerres commercia-
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