Histoire de la restauration et des causes qui ont amené la chute de la branche ainée des Bourbons, Volume 1Société belge de libaire, etc., Hauman, Cattoir, 1837 - France |
From inside the book
Results 1-5 of 100
Page 3
... marche du temps a déplacé les forces d'une société , il faut bien que les forces nouvelles trouvent leur place ; autrement , elles la prennent avec violence , et voilà ce qui fait les révolutions ! La magistrature formait moins un ordre ...
... marche du temps a déplacé les forces d'une société , il faut bien que les forces nouvelles trouvent leur place ; autrement , elles la prennent avec violence , et voilà ce qui fait les révolutions ! La magistrature formait moins un ordre ...
Page 6
... marche- rai vers le but auquel je veux atteindre , avec tout le courage et la fermeté qu'il doit m'inspirer . — Ré- fléchissez , Messieurs , qu'aucun de vos projets , au- cune de vos dispositions ne peut avoir force de loi sans mon ...
... marche- rai vers le but auquel je veux atteindre , avec tout le courage et la fermeté qu'il doit m'inspirer . — Ré- fléchissez , Messieurs , qu'aucun de vos projets , au- cune de vos dispositions ne peut avoir force de loi sans mon ...
Page 10
... marche naturelle des opinions politiques . Que fût - il arrivé si la Vendée eût opéré une contre - révolution ? Quel gouverne- ment serait sorti des idées de Cathelineau , de Stof- flet , et de l'exaltation religieuse de M. Lescure ? La ...
... marche naturelle des opinions politiques . Que fût - il arrivé si la Vendée eût opéré une contre - révolution ? Quel gouverne- ment serait sorti des idées de Cathelineau , de Stof- flet , et de l'exaltation religieuse de M. Lescure ? La ...
Page 25
... marche du gouvernement qui pesait sur la république . Peut - être adhérait - il au système d'une large monarchie constitutionnelle au profit de Louis XVIII ou du parti d'Orléans . Le ministre de la police Cochon et l'agent Dossonville ...
... marche du gouvernement qui pesait sur la république . Peut - être adhérait - il au système d'une large monarchie constitutionnelle au profit de Louis XVIII ou du parti d'Orléans . Le ministre de la police Cochon et l'agent Dossonville ...
Page 31
... marche , traversant les neiges , les glaces de la Courlande et de la Livo- nie . La petite cour couchait tantôt dans une simple et sale auberge , tantôt dans les châteaux de quelques vieux gentilshommes qui bravaient les sévères défen ...
... marche , traversant les neiges , les glaces de la Courlande et de la Livo- nie . La petite cour couchait tantôt dans une simple et sale auberge , tantôt dans les châteaux de quelques vieux gentilshommes qui bravaient les sévères défen ...
Other editions - View all
Common terms and phrases
actes affaires alliés armées avaient Blacas Bonaparte Bourbons budget c'était cabinet Castlereagh cent-jours chambre des députés chambre des pairs charte commission comte d'Artois confiance congrès congrès de Vienne conseil conspiration constitution constitutionnelle cour Decazes déclaration devait dévouement discussion duc d'Angoulême duc d'Otrante duc de Feltre duc de Richelieu duc de Wellington esprit force Fouché garanties garde nationale général guerre hommes idées j'ai l'armée l'Autriche l'empereur Alexandre l'empire l'état l'Europe l'opinion l'ordonnance Labédoyère Lainé Lavalette législatif libéral liberté lord lord Castlereagh Louis XVIII Majesté majorité maréchal ment Metternich militaire millions ministérielle ministre monarchie n'avait n'était Napoléon nation négociations opinions paix Pasquier patrie patriotes pavillon Marsan pensée peuple plénipotentiaires police politique pouvait pouvoir préfets président prince principes proclamation projet Prusse puissances question rent restauration révolution Richelieu royalistes royaume Russie s'était sénat sentiments serait seul souverains système Talleyrand territoire tion traité trône Vaublanc Villèle Vitrolles vote voulait
Popular passages
Page 110 - La puissance législative s'exerce collectivement par le Roi, la chambre des pairs, et la chambre des députés des départements.
Page 255 - ... le Roi de France, mûrement examiné la situation et les intérêts réciproques et les progrès que le rétablissement de l'ordre et de la tranquillité aura faits en France, s'accordent à reconnaître que les motifs qui les portaient à cette mesure, ont cessé d'exister.
Page 86 - La dette publique sera garantie ; les pensions , grades , honneurs militaires, seront conservés, ainsi que l'ancienne et la nouvelle noblesse. La légion d'honneur, dont nous déterminerons la décoration, sera maintenue. Tout Français sera admissible aux emplois civils et militaires. Enfin nul individu ne pourra être inquiété pour ses opinions et ses votes.
Page 146 - Soldats! dans mon exil j'ai entendu votre voix; je suis arrivé à travers tous les obstacles et tous les périls. » Votre général , appelé au trône par le choix du peuple, et élevé sur vos pavois, vous est rendu : venez le joindre.
Page 154 - Nous jurons sur l'honneur de vivre et de mourir fidèles à notre roi et à la Charte constitutionnelle , qui assure le bonheur des Français.
Page 186 - ... j'étais fondé à en espérer le succès, et j'avais bravé toutes les déclarations des puissances contre moi. Les circonstances me paraissent changées.
Page 32 - Bonaparte avec ceux qui l'ont précédé; j'estime sa valeur, ses talents militaires; je lui sais gré de plusieurs actes d'administration, car le bien qu'il fera à mon peuple me sera toujours cher. Mais il se trompe s'il croit m'engager à transiger sur mes droits; loin de là, il les établirait lui-même, s'ils pouvaient être litigieux, par la démarche qu'il fait en ce moment. J'ignore quels sont les desseins de Dieu sur ma race et sur moi ; mais je connais les obligations qu'il m'a imposées...
Page 6 - C'est moi, jusqu'à présent, qui fais tout pour le bonheur de mes peuples, et il est rare peut-être que l'unique ambition d'un souverain soit d'obtenir de ses sujets qu'ils s'entendent enfin pour accepter ses bienfaits.
Page 186 - France : puissent-ils être sincères dans leurs déclarations, et n'en avoir voulu réellement qu'à ma personne. Ma vie politique est terminée ; et je proclame mon fils sous le titre de Napoléon II, Empereur des Français.
Page 186 - Puissent-ils être sincères dans leurs déclarations et n'en avoir jamais voulu qu'à ma personne ! Ma vie politique est terminée , et je proclame mon fils sous le titre de Napoléon II , empereur des Français. Les ministres actuels formeront provisoirement le conseil de gouvernement. L'intérêt que je porte à mon fils m'engage à inviter les chambres à organiser sans délai la régence par une loi. Unissez-vous tous pour le salut public et pour rester une nation indépendante.