Histoire d'Espagne, Volume 7 |
Common terms and phrases
Allemagne allemand alliés armée armes Augsbourg Barberousse bataille bientôt Brandebourg catholiques céder César Charles Charles-Quint chrétien clergé cœur concile concile de Trente Cortès côté courage couronne d'Augsbourg décide devant diète DIÈTE D'AUGSBOURG Dieu doctrines Doria Électeurs enfin ennemi Espagnols États Ferdinand fils flotte force François Ier frère Granvelle guerre haine Henri VIII Hesse Hongrie impériale Innsbruck jour l'Allemagne l'armée l'Église l'Électeur l'Em l'Empe l'Empereur l'Empire l'ennemi l'Espagne l'Europe l'Évangile l'hérésie l'Inca l'Intérim l'Italie laisser Landgrave légat liberté lui-même Luther luthériens lutte Magdebourg main maître Maurice Maurice de Saxe menace ment Mexicains Mexico Milanais mille hommes Montezuma mort Mühlberg négociations paix papauté pape passer Paul III Pays-Bas père pereur Pérou Philippe Piémont Pizarro politique princes réformés prisonnier protestantisme protestants Quint refuse règne résistance reste reur rien rois Rome saint saint-père saint-siége sang Saxe schisme sent seul Smalkalden soldats songe Souleyman tête tion traité Trente troupes trouve Turks vaincu veut
Popular passages
Page 179 - Si François Ier eût embrassé le luthéranisme, si favorable à la suprématie royale, il eût épargné à la France les terribles convulsions religieuses amenées plus tard par les calvinistes, dont l'atteinte, toute républicaine, fut sur le point de renverser le trône et de dissoudre notre belle monarchie.
Page 535 - Toute la jeunesse des villes se dérobait de père et mère pour se faire enrôler, les boutiques demeuraient vides d'artisans, tant était grande l'ardeur en toutes qualités de gens de faire ce voyage et de voir la rivière du Rhin (1352).
Page 178 - Ier était placé véritablement pour adopter le protestantisme à sa naissance, et s'en déclarer le chef en Europe. Charles-Quint, son rival, prit vivement le parti de Rome, c'est qu'il croyait voir là pour lui un moyen de plus d'obtenir l'asservissement de l'Europe. Cela seul ne suffisait-il pas pour indiquer à François...
Page 565 - Oh! le meilleur, répliqua l'ancien, il n'ya pas à hési« ter, c'est don Fernando ; aussi l'at-on appelé le catholique. Quant « au plus mauvais (ruin), tout ce que je peux dire, c'est que celui « que nous avons me semble assez mauvais comme cela ; car il nous « tient toujours en souci, et y est lui-même ; il se promène sans cesse « d'Italie eu Allemagne, et d'Allemagne en France, et emporte avec « lui tout l'argent de l'Espagne. Enfin, au lieu de se contenter de ses a revenus et des trésors...
Page 27 - ... qui, comme celle du chrétien, naît de sa faiblesse même ; condamné à se passer de tout appui ici-bas, il n'a plus à compter que sur l'appui d'en haut, et celui-là ne doit pas lui manquer. Ses amis, qui redoutent pour lui le sort de Jean Huss, l'engagent à ne pas se rendre à la diète : « J'irai à Worms, leur dit-il, avec son énergie fami...
Page 565 - Indes, qui suffiraient à conquérir mille « mondes, il met encore de nouveaux impôts sur les pauvres labou« reurs comme nous ; il n'aura pas de repos qu'il ne nous ait ruinés. « Plût à Dieu qu'il se contentât d'être roi d'Espagne, et il serait en« core le souverain le plus puissant du monde!
Page 179 - Turcs et les amena au milieu de nous. Tout bonnement, c'est qu'il n'y voyait pas plus loin. Bêtise du temps, inintelligence féodale ! François Ier, après tout, n'était qu'un héros de tournoi, qu'un beau de salon, un grand homme pygmée!...
Page 431 - ... ^chercheront non à contenter leur curiosité, non à disputer, non à décider ou à critiquer, mais à se nourrir en silence. Enfin , il ne faut donner l'Écriture qu'à ceux qui , ne la recevant que des mains de l'Église, ne veulent y chercher que le sens de l'Église même.
Page 565 - Rome et les indignes traitemens qu'il a essuyés dans sa captivité? J'ai acheté pour soixante mille ducats un diamant enlevé de sa tiare. Ce rubis (montrant une bague à son doigt) était à la main du roi de France , lorsqu'il fut fait prisonnier ; il est depuis passé en ma possession. Et vous voulez que le roi François aime CharlesQuint!
Page 567 - Je m'y suis condescendu... comme vous sçavez, toujours tenu de, se était possible, le tenir du moins pour quelque temps entre mes mains, me délibérant de, quand il se viendra rendre, le faire retenir prisonnier, dont lesdits électeurs ne se pourront ressentir, puisque je ne contreviendrai/ ainsi à l'assurance que j'ay donnée, parlant de prison, avec l'addition de perpétuelle.