Histoire du second empire |
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... chef de la révolte était amnistié , les acquittèrent . Le 21 novembre , à Lorient , au moment où il montait à bord de l'Andromède en partance pour les États - Unis , M. Louis Bonaparte reçut du sous - préfet seize mille francs en or ...
... chef de la révolte était amnistié , les acquittèrent . Le 21 novembre , à Lorient , au moment où il montait à bord de l'Andromède en partance pour les États - Unis , M. Louis Bonaparte reçut du sous - préfet seize mille francs en or ...
Page 12
... chef d'escadron Mésonan , les colonels Voisin , Laborde et Bouf- fet - Montauban , M. de Montholon et le docteur Conneau . On cherchait partout des complices et de l'argent , car on voulait donner à l'insurrection projetée un ...
... chef d'escadron Mésonan , les colonels Voisin , Laborde et Bouf- fet - Montauban , M. de Montholon et le docteur Conneau . On cherchait partout des complices et de l'argent , car on voulait donner à l'insurrection projetée un ...
Page 16
... chef de l'in- surrection de Boulogne , le prince qui , en voulant assas- siner un capitaine blessa grièvement un soldat , qu'à l'emprisonnement perpétuel , peine créée tout exprès pour lui et n'emportant avec elle aucune flétrissure ...
... chef de l'in- surrection de Boulogne , le prince qui , en voulant assas- siner un capitaine blessa grièvement un soldat , qu'à l'emprisonnement perpétuel , peine créée tout exprès pour lui et n'emportant avec elle aucune flétrissure ...
Page 17
Hippolyte Magen. - en chef de ces deux journaux , Louis Blanc et d'autres per- sonnalités marquantes du parti républicain visitaient le prisonnier qu'entouraient toutes les commodités de la vie . Il correspondait avec Georges Sand et ...
Hippolyte Magen. - en chef de ces deux journaux , Louis Blanc et d'autres per- sonnalités marquantes du parti républicain visitaient le prisonnier qu'entouraient toutes les commodités de la vie . Il correspondait avec Georges Sand et ...
Page 26
... chef du gouvernement , ce chef , à son ( 1 ) Le 9 novembre 1849 . ( 2 ) Le 12 août 1850 . tour , serait bien coupable de déserter cette haute mis- 26 LE PROLOGUE.
... chef du gouvernement , ce chef , à son ( 1 ) Le 9 novembre 1849 . ( 2 ) Le 12 août 1850 . tour , serait bien coupable de déserter cette haute mis- 26 LE PROLOGUE.
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Common terms and phrases
agents Anglais août armée armes arrêté Autrichiens avaient barricade bataille bataillons Bazaine Bismark blessés boulevards brigade cabinet canons Canrobert cent Chambre citoyens clérical colonel commissaire comte de Palikao condamnés conseil Constitution Corps législatif coup d'État crime décembre déclara décret défense dépêche députés Deux-Décembre devant disait drapeau Émile Ollivier Fialin française fusil Gambetta gardes nationaux Garibaldi gouvernement impérial guerre heures hommes janvier jour journaux Jules Favre Jules Simon l'armée l'Assemblée l'Empereur l'Empire l'Impératrice l'Italie lendemain léon III lettre liberté lord Louis Bonaparte Louis-Napoléon maréchal Forey Maupas Maximilien ment mexicaine Mexique militaire millions ministre Morny mort Napo Napoléon Napoléon III officiel officiers Palikao paroles patriotisme Persigny Peuple police politique préfet président prince prisonniers proclamation proscrits protestation Prusse Prussiens républicains République Reybell Rochefort Rouher Russes s'était Saint-Arnaud Schoelcher séance second empire Sénat serait session seul soldats Taxile Delord Thiers tion troupes Tuileries Victor Hugo Victor Noir vote
Popular passages
Page 449 - Cette éventualité, nous en avons le ferme espoir, ne se réalisera pas. Pour l'empêcher, nous comptons à la fois sur la sagesse du peuple allemand et sur l'amitié du peuple espagnol. S'il en était autrement, forts de votre appui, Messieurs, et de celui de la nation, nous saurions remplir notre devoir sans hésitation et sans faiblesse.
Page 517 - Tous les généraux et officiers, ainsi que les employés militaires , ayant rang d'officiers , qui engageront leur parole d'honneur, par écrit, de ne pas porter les armes contre l'Allemagne et de n'agir d'aucune autre manière contre ses intérêts jusqu'à la fin de la guerre actuelle, ne seront pas faits prisonniers de guerre. Les officiers et employés qui accepteront cette condition conserveront leurs armes et les objets qui leur appartiennent personnellement.
Page 154 - ... °Le Peuple français veut le rétablissement de la dignité impériale dans la personne de Louis-Napoléon Bonaparte, avec hérédité dans sa descendance directe, légitime ou adoptive, et lui donne le droit de régler l'ordre de succession au trône dans la famille Bonaparte, ainsi qu'il est prévu par le sénatus-consulte du 7 novembre 1852.
Page 430 - Bonaparte. Voilà dix-huit ans que la France est entre les mains ensanglantées de ces coupe-jarrets qui, non contents de mitrailler les républicains dans les rues, les attirent dans des pièges immondes pour les égorger à domicile. Peuple français, est-ce que décidément tu ne trouves pas qu'en voilà assez?
Page 542 - Par esprit de défiance, certaines personnes se disent : L'Empire, c'est la guerre. Moi je dis : L'Empire, c'est la paix.
Page 454 - Je suis prêt à voter au Gouvernement tous les moyens nécessaires quand la guerre sera définitivement déclarée ; mais je désire connaître les dépêches sur lesquelles on fonde cette déclaration de guerre. La Chambre fera ce qu'elle voudra; je m'attends à ce qu'elle va faire, mais je décline, quant à moi, la responsabilité d'une guerre aussi peu justifiée.
Page 541 - II ya un dilemme : Le pape a besoin de Rome pour son indépendance ; l'Italie aspire à Rome qu'elle considère comme un besoin impérieux de son unité. Eh bien, nous le déclarons au nom du Gouvernement français , l'Italie ne s'emparera pas de Rome ! Jamais ! *\ Jamais la France ne supportera cette violence faite à son honneur et a la catholicité.
Page 515 - N'ayant pu mourir à la tête de mes troupes, il ne me reste qu'à remettre mon épée entre les mains de Votre Majesté.
Page 158 - En présence de Dieu et devant le Peuple français, représenté par l'Assemblée nationale, je jure de rester fidèle à la République démocratique, une et indivisible, et de remplir tous les devoirs que m'impose la Constitution.
Page 276 - Personne n'attendra de moi que j'accorde, en ce qui me concerne, un moment d'attention à la chose appelée amnistie. Dans la situation où est la France, protestation absolue, inflexible, éternelle, voilà pour moi le devoir. Fidèle à l'engagement que j'ai pris vis-à-vis de ma conscience, je partagerai jusqu'au bout l'exil de la liberté. Quand la liberté rentrera, je rentrerai.