Histoire du second empire |
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... disait : « La politique de la France et celle de l'Autriche s'opposent à ce qu'un étran- ger , surtout un Français , soit présenté au prince ; il ne voit , ne lit et n'entend que ce que nous voulons qu'il voie , qu'il lise et qu'il ...
... disait : « La politique de la France et celle de l'Autriche s'opposent à ce qu'un étran- ger , surtout un Français , soit présenté au prince ; il ne voit , ne lit et n'entend que ce que nous voulons qu'il voie , qu'il lise et qu'il ...
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... disait de ce dernier : « Quant à l'autre qui usurpe mon nom , vous le savez , Saint Père , celui - là , grâce à Dieu , ne m'est rien . Ma femme est une ... , etc. , etc. » ( Le dernier des Napoléon . - Elie Saurin , la France impériale ...
... disait de ce dernier : « Quant à l'autre qui usurpe mon nom , vous le savez , Saint Père , celui - là , grâce à Dieu , ne m'est rien . Ma femme est une ... , etc. , etc. » ( Le dernier des Napoléon . - Elie Saurin , la France impériale ...
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... disait à son fils « Si la France vous échappait définitivement , l'Italie , l'Allemagne , la Russie , l'Angleterre vous présenteraient encore des sources d'avenir ; partout , il se produit DES CA- PRICES D'IMAGINATION qui peuvent élever ...
... disait à son fils « Si la France vous échappait définitivement , l'Italie , l'Allemagne , la Russie , l'Angleterre vous présenteraient encore des sources d'avenir ; partout , il se produit DES CA- PRICES D'IMAGINATION qui peuvent élever ...
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... disait madame Cornu ( 1 ) , sa violence ne connaissait plus de bornes , il de- venait un tigre . » Dans ses « réveries politiques , » se trouvait un projet de Constitution établissant une République avec un Empereur . Cette chimère ...
... disait madame Cornu ( 1 ) , sa violence ne connaissait plus de bornes , il de- venait un tigre . » Dans ses « réveries politiques , » se trouvait un projet de Constitution établissant une République avec un Empereur . Cette chimère ...
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... disait : « La vraie loi des mondes modernes et tout le symbole des na- tionalités occidentales résident dans l'idée napoléonienne . Le temps est venu d'annoncer par toute la terre cet évan- gile impérial et de relever le vieux drapeau ...
... disait : « La vraie loi des mondes modernes et tout le symbole des na- tionalités occidentales résident dans l'idée napoléonienne . Le temps est venu d'annoncer par toute la terre cet évan- gile impérial et de relever le vieux drapeau ...
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Common terms and phrases
agents Anglais août armée armes arrêté Autrichiens avaient barricade bataille bataillons Bazaine Bismark blessés boulevards brigade cabinet canons Canrobert cent Chambre citoyens clérical colonel commissaire comte de Palikao condamnés conseil Constitution Corps législatif coup d'État crime décembre déclara décret défense dépêche députés Deux-Décembre devant disait drapeau Émile Ollivier Fialin française fusil Gambetta gardes nationaux Garibaldi gouvernement impérial guerre heures hommes janvier jour journaux Jules Favre Jules Simon l'armée l'Assemblée l'Empereur l'Empire l'Impératrice l'Italie lendemain léon III lettre liberté lord Louis Bonaparte Louis-Napoléon maréchal Forey Maupas Maximilien ment mexicaine Mexique militaire millions ministre Morny mort Napo Napoléon Napoléon III officiel officiers Palikao paroles patriotisme Persigny Peuple police politique préfet président prince prisonniers proclamation proscrits protestation Prusse Prussiens républicains République Reybell Rochefort Rouher Russes s'était Saint-Arnaud Schoelcher séance second empire Sénat serait session seul soldats Taxile Delord Thiers tion troupes Tuileries Victor Hugo Victor Noir vote
Popular passages
Page 449 - Cette éventualité, nous en avons le ferme espoir, ne se réalisera pas. Pour l'empêcher, nous comptons à la fois sur la sagesse du peuple allemand et sur l'amitié du peuple espagnol. S'il en était autrement, forts de votre appui, Messieurs, et de celui de la nation, nous saurions remplir notre devoir sans hésitation et sans faiblesse.
Page 517 - Tous les généraux et officiers, ainsi que les employés militaires , ayant rang d'officiers , qui engageront leur parole d'honneur, par écrit, de ne pas porter les armes contre l'Allemagne et de n'agir d'aucune autre manière contre ses intérêts jusqu'à la fin de la guerre actuelle, ne seront pas faits prisonniers de guerre. Les officiers et employés qui accepteront cette condition conserveront leurs armes et les objets qui leur appartiennent personnellement.
Page 154 - ... °Le Peuple français veut le rétablissement de la dignité impériale dans la personne de Louis-Napoléon Bonaparte, avec hérédité dans sa descendance directe, légitime ou adoptive, et lui donne le droit de régler l'ordre de succession au trône dans la famille Bonaparte, ainsi qu'il est prévu par le sénatus-consulte du 7 novembre 1852.
Page 430 - Bonaparte. Voilà dix-huit ans que la France est entre les mains ensanglantées de ces coupe-jarrets qui, non contents de mitrailler les républicains dans les rues, les attirent dans des pièges immondes pour les égorger à domicile. Peuple français, est-ce que décidément tu ne trouves pas qu'en voilà assez?
Page 542 - Par esprit de défiance, certaines personnes se disent : L'Empire, c'est la guerre. Moi je dis : L'Empire, c'est la paix.
Page 454 - Je suis prêt à voter au Gouvernement tous les moyens nécessaires quand la guerre sera définitivement déclarée ; mais je désire connaître les dépêches sur lesquelles on fonde cette déclaration de guerre. La Chambre fera ce qu'elle voudra; je m'attends à ce qu'elle va faire, mais je décline, quant à moi, la responsabilité d'une guerre aussi peu justifiée.
Page 541 - II ya un dilemme : Le pape a besoin de Rome pour son indépendance ; l'Italie aspire à Rome qu'elle considère comme un besoin impérieux de son unité. Eh bien, nous le déclarons au nom du Gouvernement français , l'Italie ne s'emparera pas de Rome ! Jamais ! *\ Jamais la France ne supportera cette violence faite à son honneur et a la catholicité.
Page 515 - N'ayant pu mourir à la tête de mes troupes, il ne me reste qu'à remettre mon épée entre les mains de Votre Majesté.
Page 158 - En présence de Dieu et devant le Peuple français, représenté par l'Assemblée nationale, je jure de rester fidèle à la République démocratique, une et indivisible, et de remplir tous les devoirs que m'impose la Constitution.
Page 276 - Personne n'attendra de moi que j'accorde, en ce qui me concerne, un moment d'attention à la chose appelée amnistie. Dans la situation où est la France, protestation absolue, inflexible, éternelle, voilà pour moi le devoir. Fidèle à l'engagement que j'ai pris vis-à-vis de ma conscience, je partagerai jusqu'au bout l'exil de la liberté. Quand la liberté rentrera, je rentrerai.