Mercure françias, Issue 1871805 |
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... style des poètes qui sont venus après lui , est par sa né- gligence et son incorrection même , plus propre à peindre les passions , et conséquemment plus dra matique et plus théâtral . C'est là le fond de 394 MERCURE DE FRANCE ;
... style des poètes qui sont venus après lui , est par sa né- gligence et son incorrection même , plus propre à peindre les passions , et conséquemment plus dra matique et plus théâtral . C'est là le fond de 394 MERCURE DE FRANCE ;
Page 395
... style , plus de chaleur aux passions , et qu'il a ac- céléré la marche de notre langue , jusqu'alors plus lente et plus calme ; d'où vous conclurez que Racine n'a pas su se rendre aussi vif et aussi ra- pide que la passion le demandait ...
... style , plus de chaleur aux passions , et qu'il a ac- céléré la marche de notre langue , jusqu'alors plus lente et plus calme ; d'où vous conclurez que Racine n'a pas su se rendre aussi vif et aussi ra- pide que la passion le demandait ...
Page 396
... style ? « Ce qui distingue la poésie de Voltaire , c'est » qu'il paraît , plus que tout autre , penser et sen- » tir en vers . Dans les morceaux qui ne deman > daient qu'une sensibilité vive , une tendresse pas- » 396 MERCURE DE FRANCE ;
... style ? « Ce qui distingue la poésie de Voltaire , c'est » qu'il paraît , plus que tout autre , penser et sen- » tir en vers . Dans les morceaux qui ne deman > daient qu'une sensibilité vive , une tendresse pas- » 396 MERCURE DE FRANCE ;
Page 397
... style que nos grands maî- tres s'étaient acquise par tant d'efforts est plus nui- sible qu'utile . Il n'y a pas là d'équivoque . Si l'élé- gance travaillée de Racine l'a empêché d'avoir cette facilité d'expression , cette grace , cette ...
... style que nos grands maî- tres s'étaient acquise par tant d'efforts est plus nui- sible qu'utile . Il n'y a pas là d'équivoque . Si l'élé- gance travaillée de Racine l'a empêché d'avoir cette facilité d'expression , cette grace , cette ...
Page 403
... , qui ne s'occupe que des formes du style , ne con- naîtra jamais la véritable éloquence . Il est douloureux que la plupart des professeurs quí mêlent d'écrire , fournissent la preuve de ce jugement . Cc 2 PLUVIOSE AN XÍIÍ . 403.
... , qui ne s'occupe que des formes du style , ne con- naîtra jamais la véritable éloquence . Il est douloureux que la plupart des professeurs quí mêlent d'écrire , fournissent la preuve de ce jugement . Cc 2 PLUVIOSE AN XÍIÍ . 403.
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Popular passages
Page 215 - Le premier qui ayant enclos un terrain s'avisa de dire : Ceci est à moi, et trouva des gens assez simples pour le croire, fut le vrai fondateur de la société civile.
Page 314 - Je t'assure que le meilleur de tes amis n'a plus à compter sur quinze jours de vie. Voilà deux mois que je ne sors point, si ce n'est pour aller un peu à l'Académie, afin que cela m'amuse. Hier, comme j'en revenais, il me prit au milieu de la rue du Chantre une si grande faiblesse que je crus véritablement mourir.
Page 314 - Chantre ~ une si grande faiblesse que je crus véritablement mourir. 0 mon cher ! mourir n'est rien ; mais songes-tu que je vais comparaître devant Dieu ? Tu sais comme j'ai vécu. Avant que tu reçoives ce billet, les portes de l'Éternité seront peut-être ouvertes pour moi.
Page 576 - L'empire de la loi finit où commence l'empire indéfini de la conscience; la loi, ni le prince, ne peuvent rien contre cette liberté. Tels sont mes principes et ceux de la nation, et si quelqu'un de ceux de ma race, devant me succéder, oubliait le serment que j'ai prêté, et que, trompé par l'inspiration d'une fausse conscience, il vint à le violer, je le voue à l'animadversion publique, et je vous autorise à lui donner le nom de Néron.
Page 214 - La faute seulement ne gît en la défense. Le scandale, l'opprobre, est cause de l'offense. Pourvu qu'on ne le sache, il n'importe comment. Qui peut dire que non, ne pèche nullement. Puis la bonté du ciel nos offenses surpasse.
Page 5 - Dut-il tout à l'élévation de son génie ? 5° Le législateur juif est, de tous les anciens législateurs, le plus instruit et le plus vertueux. Quel respect pour la Divinité, quelle soumission à ses ordres ! La piété, qui fait le caractère propre de sa législation, est la règle constante de toute sa conduite. Quel amour pour son peuple ! Quel désintéressement ! Quelle douceur ! Il souffre les murmures avec patience ; il avoue ses fautes avec candeur ; il voit, sans se plaindre, son frère...
Page 313 - Je demandai de la voir : triste plaisir, je vous le confesse, mais enfin je le demandai. Le soldat qui nous conduisait n'avait pas la clef. : au défaut, je fus longtemps à considérer la porte, et me fis conter la manière dont le prisonnier était gardé.
Page 552 - Enée alors découvre un bois vaste et riant ; Le Tibre le partage , et son onde en fuyant Dans la profonde mer rapidement entraîne Le cristal de ses eaux et l'or de son arène. Mille oiseaux...
Page 214 - Enfin, votre scrupule est facile à détruire. Vous êtes assurée ici d'un plein secret, Et le mal n'est jamais que dans l'éclat qu'on fait . Le scandale du monde est ce qui fait l'offense , Et ce n'est pas pécher, que pécher en silence.
Page 620 - Impériale la question de savoir si les communes sont devenues propriétaires des églises et presbytères qui leur ont été...