Histoire des républiques italiennes du moyen âge, Volume 12Treuttel et Würtz, 1826 - Europe |
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Common terms and phrases
Alfonse ambassadeurs armée Ascagne attaquer auroient auroit avoient avoit Belcarii Borgia Caiazzo çais cardinal CHAP Charles VIII château ciardini citoyens comte de Caiazzo croyoit d'armes d'Aubigny devoient devoit duc d'Orléans duc de Milan ennemis envoyé étoient étoit faisoit Ferdinand Fior Florence Florentins Fornovo forteresses Fran frère Génois Genuens guerre Guic Guicciardini Istor Italie Italiens Jacopo Nardi Jean Jérôme Savonarole l'armée française l'Église l'Italie laissé liberté long-temps Louis Sforza Louis-le-Maure Macchiavelli maison d'Aragon Maximilien mée Mémoires de Phil mille fantassins Montpensier n'avoient n'avoit Napolitains négociations Novarre Oricellarii pape Pauli Jovii Hist Petri Bembi Hist peuple Philippe de Comines Pierre de Médicis Pisans Pise pouvoit prince quinzième siècle Raynaldi république Rome royaume de Naples s'étoient s'étoit Sarzane Savonarole Scipione Ammirato seigneurie seroit seul soldats solde Stradiotes Suisses terreur Toscane Trivulzio troupes trouvoit Venise Vénitiens Virginio Orsini Vitelli vouloit XCIII XCIV XCVI XCVII XXVI
Popular passages
Page 184 - Les premiers portoient, comme les gendarmes italiens , une lance forte , striée , ornée d'une pointe solide, et une masse d'armes de fer. Leurs chevaux étoient grands et forts ; mais selon l'usage français on leur avoit coupé la queue et les oreilles. La plupart n'étoient point couverts, comme ceux des gendarmes italiens , de caparaçons de cuirs bouillis, qui les missent à l'abri des coups.
Page 268 - Lors ils m'envoyerent querir derechef à un matin, et les trouvay en grand nombre, comme de cinquante ou de soixante, en la chambre du prince, qui estoit malade de la colique; et il me conta ces nouvelles de visage joyeux : mais nul en la compagnie ne se sçavoit feindre si bien comme luy.
Page 319 - SUT leur route que des dangers. Tous les Stradiotes quittèrent aussitôt la bataille pour se jeter sur les bagages qu'ils voyoient livrés au pillage : bientôt les fantassins , et même plusieurs gendarmes, prirent la même route. François de Gonzague , abandonné par ceux sur lesquels il avoit le plus compté, perdit alors l'avantage qu'il avoit eu au commencement. Son oncle, Rodolphe de Gonzague, avoit été tué presque dès les premiers coups de lance. Il avoit la commission de faire avancer...
Page 314 - Vénitiens qu'il ne vouloit autre chose que continuer sa route, sans faire ni recevoir de dommage. En même temps il traversa le Taro en face de Fornovo, pour continuer à le descendre sur la rive gauche , et passer devant le camp vénitien qu'il laissoit sur la rive droite, à un quart de lieue de distance. Des escarmouches étoient engagées de tous côtés entre les troupes légères , et le canon commença à tirer au moment où la lettre de Comines et du cardinal de Saint-Malo parvint aux provéditeurs...
Page 272 - Comines attache quelque vanité à montrer comme il étoit bien informé , Pietro Bembo , l'historien vénitien , se complaît à peindre sa surprise et son effroi. « Encore , dit-il , qu'il y eût un si grand nom...
Page 34 - ... ressenti l'influence de la civilisation européenne. Les progrès de cette civilisation, partout où ils s'étoient étendus, avoient prodigieusement augmenté les jouissances de la vie : les études du quinzième siècle...
Page 221 - Melfî , le duc de Gravina , le vieux duc de Sora , les frères et les neveux du marquis de Pescaire , le comte de Montorio, les comtes de Fondi , d'Atripalda, de Célano, de Troïa, celui de Popoli que l'on trouva dans les prisons de Naples , le marquis de Venafro, tous les Caldoreschi et les comtes de Matalona et de Mérillano (3).
Page 16 - Après avoir perdu leurs droits , ils furent moins disposés à faire des sacrifices à une patrie qui leur assuroit moins de jouissances; et ils ne trouvèrent plus en euxmêmes l'énergie républicaine qui les auroit sauvés, si quelque chose pouvoit les sauver. En effet, le vice essentiel qui, au quinzième siècle , minoit le corps social en Italie , c'étoit l'affoiblissement de l'esprit de liberté. L'aristocratie faisoit des conquêtes dans le sein des républiques ; puis le despotisme conquéroit...
Page 349 - CHAI,. reproches qu'elle adresse à chacun d'eux ne ^ doivent point être de même nature : elle doit reconnoître qu'Alexandre a réussi par ses victoires à fonder un empire , à réformer les mœurs et la législation d'un peuple asservi et corrompu , à humilier un puissant ennemi ; mais elle est aussi en droit de lui demander s'il n'a point acheté trop cher l'accomplissement de ses projets lorsqu'il a bouleversé une moitié de l'Asie, et fait répandre plus de sang ou dissipé plus de trésors...
Page 350 - ... de vastes projets de législation ou d'ordre social qui lui mirent les armes à la main, ni le désir de porter des secours à des malheureux opprimés, ni l'intention de mettre un terme à des abus crians, à un brigandage, à une tyran.