Histoire de la Convention nationale, Volume 4 |
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Common terms and phrases
accusés amis appelait armées arrêté assez aurait avaient avant Barère c'était cent citoyens comité de salut commença commune condamnés conduite conspiration Convention courage cours crime d'autres d'avoir d'être Danton déclaration décret demanda Desmoulins devait dire disait discours donner doute enfants ennemis établir eût faction faisait femmes force forme fût général gouvernement guerre hommes j'ai Jacobins jour juges justice l'armée l'Assemblée l'échafaud l'ordre laisser lettre liberté livres lois maintenant membres menace ment mesures mission montrer morale mort moyen n'avait n'était nationale nature nommé nouvelle parler parole passé patrie patriotes pendant pensée père personne peuple place porte pouvait pouvoir premier présenta président prêtres pris prison projet propos publique qu'un raison rapport représentants républicain république reste Révolution rien Robespierre s'était s'il Saint-Just salut public sang sauver semblait sentiments serait servir seul société sorte sûreté terreur tête tion traita tribunal révolutionnaire trouvait tyrans venait vérité voulait voyait
Popular passages
Page 58 - L'athéisme est aristocratique. L'idée d'un grand être qui veille sur l'innocence opprimée et qui punit le crime triomphant est toute populaire.
Page 321 - Le peuple français reconnaît l'existence de l'Être suprême et l'immortalité de l'âme ; il reconnaît que le culte digne de l'Être suprême est la pratique des devoirs de l'homme...
Page 318 - Divinité n'existe pas, ô toi qui te passionnes pour cette aride doctrine, et qui ne te passionnas jamais pour la patrie? Quel avantage trouves-tu à persuader à l'homme qu'une force aveugle préside à ses destinées et frappe au hasard le crime et la vertu, que son âme n'est qu'un souffle léger qui s'éteint aux portes du tombeau?
Page 341 - ... peut naturellement obtenir l'assentiment de tout esprit juste et raisonnable. La règle des jugements est la conscience des jurés éclairés par l'amour de la patrie; leur but, le triomphe de la République et la ruine de ses ennemis, la procédure, les moyens simples que le bon sens indique pour parvenir à la connaissance de la vérité dans les formes que la loi détermine.
Page 338 - La vie des scélérats est ici mise en balance avec celle du peuple ; ici, toute lenteur affectée est coupable , toute formalité indulgente ou superflue est un danger public. Le délai pour punir les ennemis de la patrie ne doit être que le temps de les reconnaître ; il s'agit moins de les punir que de les anéantir.
Page 44 - ... française. Quoique j'aie déposé depuis un grand nombre d'années tout caractère ecclésiastique, et qu'à cet égard ma profession de foi soit ancienne et bien connue, qu'il me soit permis de profiter de la nouvelle occasion qui se présente pour déclarer encore et cent fois s'il le faut, que je ne connais d'autre culte que celui de la liberté, [de l'égalité, d'autre religion que l'amour de l'humanité et de la patrie.
Page 44 - Je ne puis pas, comme plusieurs de nos collègues, vous livrer les papiers ou titres de mon ancien état, depuis longtemps ils n'existent plus. Je n'ai point de démission à vous donner, parce que je n'ai aucun emploi ecclésiastique; mais il me reste une offrandeà faire à la patrie, celle de dix mille livres de rentes viagères que la loi m'avait conservées pour indemnité d'anciens bénéfices.
Page 35 - Nature, reçois l'expression de l'attachement éternel des Français pour tes lois, et que ces eaux fécondes qui jaillissent de tes mamelles, que cette boisson pure qui abreuva les premiers humains, consacrent dans cette coupe de la fraternité et de l'égalité les serments que te fait la France en ce jour...
Page 20 - Le but du gouvernement constitutionnel est de conserver la République; celui du gouvernement révolutionnaire est de la fonder. La révolution est la guerre de la liberté contre ses ennemis; la constitution est le régime de la liberté victorieuse et paisible.
Page 414 - Disons donc qu'il existe une conspiration contre la liberté publique ; quelle doit sa force à une coalition criminelle qui intrigue au sein même de la Convention ; que cette coalition a des complices dans le Comité de sûreté générale et dans les bureaux de ce Comité qu'ils...