Bibliothèque universelle des sciences, belles-lettres, et arts: Sciences et arts, Volume 89la Bibliothèque universelle, 1825 - Science |
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Adonijah assez avoient avoit Béatrice Bullock Catherine Caucase Chevalier Chine Chinois chose Circassiens Cochinchine connoissance connoître Cosaques devoit Dieu doctrine donner Duchesse Dudley enfant espèce Essex étoient étoit faisoit femme fille forme général Goethe Goetz Grand-Seigneur guerre habitans Hamlet Hanslap homme j'ai Jane janissaires jeune jour juif jusqu'à Kanun Kazbek Kherson Kouban Kriloff l'Asie l'auteur l'empire l'histoire l'Islam lady Albertina lady de Crosby langue législation Littér long-temps lord Edmond lord Mowbray Luçon main maison mandarins manière Manille ment Mer Noire mille morale Moslims n'avoit n'étoit Neville noble nombre Nouv Odessa ottoman ouvrage paroît passer Patridge pays père peuple philosophie porte pourroit pouvoir premier présente prince principe Ralph Hanslap regard religion renferme répondit reprit reste REYNIER Richard rien rivière Rothelan Russes s'écria Saigon sauroit scène seigneur sentiment religieux seroit seul sire Amias sorte Suffolk sujet sultan systême Tartares Thsin tion trouve vérité verstes vesir voyage Werther
Popular passages
Page 112 - Oui , sans doute , il ya une révélation , mais cette révélation est universelle, elle est permanente, elle a sa source dans le cœur humain. L'homme n'a besoin que de s'écouter lui-même, il n'a besoin que d'écouter la nature qui lui parle par mille voix , pour être invinciblement porté à la religion.
Page 110 - Ces lois constituent la nature de chaque espèce; elles sont la cause générale et permanente du mode d'existence de chacune; et lorsque des causes extérieures apportent quelque changement partiel à ce mode d'existence, le fond résiste et réagit toujours contre les modifications.
Page 115 - Mais toute forme positive, quelque satisfaisante qu'elle soit pour le présent, contient un germe d'opposition aux progrès de l'avenir. Elle contracte, par l'effet même de sa durée, un caractère dogmatique...
Page 343 - Aussi avons-nous subjugué toute la Grèce et ses habitans , comme héritiers de ceux qui firent cette destruction. D'ailleurs ces terres nous étaient promises par les prophéties. Nous requérons votre prudence de ne plus dorénavant donner de telles bulles , et de ne plus solliciter les chrétiens de nous faire la guerre. Car nous ne sommes pas résolus à les combattre pour leur foi, mais seulement pour le droit temporel que nous avons sur leurs terres. Nous n'adorons point Jésus-Christ ; mais...
Page 111 - La peur, l'ignorance, l'autorité, la ruse, telles sont, à les entendre, les premières causes de la religion*; ainsi des causes toutes passagères, extérieures et accidentelles, auraient changé la nature intérieure et permanente de l'homme, et lui auraient donné une autre nature, et, chose bizarre, une nature dont il ne peut se défaire, même lorsque ces causes n'existent plus ! Car c'est en vain que ses connaissances s'étendent, et qu'en lui expliquant les lois physiques du monde, elles...
Page 370 - Goethe est un homme d'environ soixante-neuf ans : il ne m'a pas paru en avoir soixante. Il a quelque chose de Talma, avec un peu plus d'embonpoint : peut-être aussi est-il un peu plus grand. Les lignes de son visage sont grandes et bien marquées : front haut, figure assez large, mais bien proportionnée ; bouche sévère , yeux pénétrants, expression générale de réflexion et de force.
Page 348 - Duc, lui dit que l'ancienne coutume des grands festins était d'offrir aux princes et seigneurs quelque noble oiseau pour faire un vœu, et qu'il venait avec les dames et les chevaliers faire hommage du faisan à sa vaillance. Le Duc dit alors à haute voix : « Je voue à Dieu « premièrement, puis à la très-glorieuse vierge « Marie, aux dames et au faisan, que je ferai « ce qui est écrit; » et il remit à Toison-d'Or le billet suivant, en lui ordonnant d'en faire la publique lecture : «...
Page 351 - Gràce-de-Dieu s'avança vers le Duc lui expliqua en huit vers le motif de sa venue, et lui remit un billet ; le seigneur de Créqui eut ordre d'en faire la lecture : « Mon béni créateur a entendu le vœu que toi...
Page 471 - Paris, 1807; 5° de l'Economie publique et rurale des Celtes , des Germains , et des autres peuples du Nord et du centre de l'Europe...
Page 116 - Une loi éternelle qu'il faut reconnaître, quelque opinion que nous ayons d'ailleurs sur des questions que nous avouons être insolubles, une loi éternelle semble avoir voulu que la terre fût inhabitable, quand toute une génération ne croit plus qu'une puissance sage et bienfaisante veille sur les hommes.