Le Censeur européen, ou, Examen de diverses questions de droit public: et de divers ouverages littéraires et scientifiques, considérés dans leurs rapports avec les progrès de la civilisation, Volume 3Bureau de l'administration, 1817 - France |
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... avait assez de capacité pour juger sainement de ses intérêts , et assez d'énergie pour les défendre , les factions ... a triomphé , ils se voient dans la nécessité de re- Des factions . 7.
... avait assez de capacité pour juger sainement de ses intérêts , et assez d'énergie pour les défendre , les factions ... a triomphé , ils se voient dans la nécessité de re- Des factions . 7.
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... a- vais pu la comparer avec aucune autre . Je m'ac- commodai de ce que je trouvai . Je n'étais pas encore difficile ... avait guère pour le général : ceux - ci étaient tous les matins destitués par les représen- tans du peuple : l'armée ...
... a- vais pu la comparer avec aucune autre . Je m'ac- commodai de ce que je trouvai . Je n'étais pas encore difficile ... avait guère pour le général : ceux - ci étaient tous les matins destitués par les représen- tans du peuple : l'armée ...
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... avoir quelque influence sur le succès de ce siége . Jamais armée ne fut plus nial menée que la nôtre . On ne savait ... avait point . Son expédition était un misérable coup de tête , dont il devait prévoir d'avance la catastrophe , et l ...
... avoir quelque influence sur le succès de ce siége . Jamais armée ne fut plus nial menée que la nôtre . On ne savait ... avait point . Son expédition était un misérable coup de tête , dont il devait prévoir d'avance la catastrophe , et l ...
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... avait destinée à rien . Je pensai à la mettre en mouvement pour attaquer l'Autriche sur le point où elle avait plus de sécurité ; c'est- à - dire en Italie . » Le directoire était en paix avec la Prusse et l'Espagne ; mais l'Autriche ...
... avait destinée à rien . Je pensai à la mettre en mouvement pour attaquer l'Autriche sur le point où elle avait plus de sécurité ; c'est- à - dire en Italie . » Le directoire était en paix avec la Prusse et l'Espagne ; mais l'Autriche ...
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... avait remis ses pays . Nous étions maîtres par - là des Alpes et des Apen- pins . Nous étions , assurés de nos ... avoir sur les bras le clergé , la no- blesse , et tout ce qui vivait à leur table . Je pré- voyais ces résistances , et je ...
... avait remis ses pays . Nous étions maîtres par - là des Alpes et des Apen- pins . Nous étions , assurés de nos ... avoir sur les bras le clergé , la no- blesse , et tout ce qui vivait à leur table . Je pré- voyais ces résistances , et je ...
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Common terms and phrases
alliés Anglais armée assez aurait autorité Autrichiens avaient battre besoin Bonaparte Brésil budget c'était cause Cens chambre des députés chambre des pairs chevalier de Saint-Louis chose conseil d'état constitution crédit curé Danube décider demandait dépenses détruit devait directoire donner dynastie ennemis Espagne eût événemens factions fallait finances force Fran fût général Glisy gloire gouver gouvernement guerre habitans hommes intérêts j'ai J'aurais j'avais J'étais jamais l'armée l'Autriche l'empire l'ennemi l'Espagne l'état l'Europe l'industrie laisser liberté loups m'en mademoiselle de Beauvau maître maréchal Marmont ment mieux militaire millions ministre monde moyen n'avait n'en n'était nation officiers paix passer payer pays pensions peuple Pie VII Piémont place politique Pologne porter pouvait pouvoir préfets principes Prusse public publique qu'un rait règne reste révolution rien royalistes Russie s'était s'il sentiment serait seul soldats souverains succès sur-tout système continental Talma tête tion trône troupes trouve ultra-royalistes venait voulait ככ כל
Popular passages
Page 173 - Bonaparte s'en empare et la fait exercer par ses agens. Les projets de lois étaient soumis à une discussion publique : Bonaparte ordonne que les séances de son sénat seront secrètes, et que le corps législatif fera la loi en statuant par scrutin secret, et sans aucune discussion de la part de ses membres. Il crée un corps, appelé
Page 151 - doive pas être faite , le roi prendra sur-le-champ des mesures, pour faire cesser ou prévenir toutes, hostilités; les ministres demeurent responsables des délais. » Si le corps législatif trouve que les hostilités commencées sont une aggression coupable de la part des ministres ou de
Page 203 - qui tendent à augmenter dans chacun l'activité à produire, et le respect pour la production d'autrui. . . » 7°. Que toute l'espèce humaine ayant un but et des intérêts communs, chaque homme doit se considérer uniquement, dans les rap*ports sociaux , comme engagé dans une compagnie de travailleurs.
Page 164 - avec moi La police découvrit de petites menées royalistes, dont le foyer était au-delà du Rhin. Une tête auguste s'y trouvait impliquée. Toutes les circonstances de cet événement cadraient d'une manière incroyable avec celles qui me portaient à tenter un coup d'état. La perte du duc d'Enghien décidait la question qui
Page 154 - Cette politique de tout juger par la force , a fait la règle de sa conduite dans toutes les circonstances. Il n'ya plus qu'un secret pour mener le monde, dit-il, c'est d'être fort ; parce qu'il n'ya dans la force ni erreur, ni illusion ; c'est le vrai mis à
Page 318 - MÉMOIRES pour servir à l'histoire de la guerre entre la France et la Russie en 1812 , avec un atlas militaire ; par un officier de l'état-major de l'armée française.
Page 151 - ne peut être décidée que par un décret du corps législatif, rendu sur la proposition formelle et nécessaire du roi , et sanctionnée par lui.
Page 45 - fallait donc que je fusse le plus fort de toute nécessité , car je n'étais pas seulement chargé de gouverner la France , mais de lui soumettre le monde : sans quoi le monde l'aurait anéantie. » Je n'ai jamais eu de choix dans les partis que j'ai pris : ils ont toujous été commandés par les événemens ; parce que le danger était toujours
Page 13 - Ma naissance me destinait au service : c'est pourquoi j'ai été placé dans les écoles militaires. J'obtins une lieutenance au commencement de la révolution. Je n'ai jamais reçu de titre avec autant de plaisir que celui-là. Le comble de mon ambition se bornait alors à porter un jour une
Page 72 - corporations avec des intérêts : parce que les intérêts sont ce qu'il ya de plus réel dans ce monde. •; . *> J'ai fait des lois dont l'action était immense, mais uniforme. Elles avaient pour principes le maintien de l'égalité. Elle est si fortement empreinte dans ces codes, qu'ils suffiront seuls pour la conserver. » J'instituai une caste intermédiaire. Elle