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JOURNAL

DE

CHIMIE MÉDICALE.

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Conseil du Journal: M LACOIN, avocat à la Cour d'appel de Paris.

Le JOURNAL DE CHIMIE MÉDICALE, DE PHARMACIE ET DE TOXICOLOGIE parait une fois par mois, par cahiers de quatre feuilles d'impression, de manière à former par an un volume de près de 800 pages. On y joint des planches toutes les fois que le sujet l'exige. Le prix de l'abonnement est fixé, pour l'année, à 12 fr. 50 c. pour toute la France, et pour l'étranger, suivant les conventions postales.

Toute demande d'abonnement doit être accompagnée d'un mandat sur la poste, au nom de M. LABÉ, éditeur du Journal.

On peut également, et sans augmentation de prix, s'abonner: 1°¡ ar l'intermédiaire de tous les libraires de province, qui en transmettent l'ordre à leur correspondant de Paris; 2° par l'intermédiaire des droguistes; 3° dans toutes les villes, aux bureaux des Messageries impériales et Messageries générales Laffitte et Caillard.

On est prié d'affranchir les lettres et l'argent, ainsi que les Mémoires destinés à être insérés dans le Journal. Les Mémoires doivent être adressés, ainsi que les réclamations relatives à l'abonnement, francs de port, à M. CHEVALLIER, chimiste, membre du Conseil de Salubrité, quai Saint-Michel, n° 25.

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M. A. CHEVALLIER,

Pharmacien-Chimiste, membre de l'Académie impériale de médecine, du
Conseil de salubrité, Professeur à l'Ecole de pharmacie.

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Nous n'avions pas pensé, lorsque nous avons publié l'article de M. Hoffman sur le mode d'obtention de l'alcool avec du chiendent, que ce procédé exciterait des rivalités. Aujourd'hui nous venons de lire dans le Répertoire de Pharmacie que M. Lachambre réclame la priorité de l'idée de l'utilisation du chiendent pour obtenir de l'alcool. Nous dirons, en passant, que M. Lachambre n'est pas heureux dans sa réclamation; car si nous avons laissé penser à M. Hoffman qu'il avait le premier trouvé l'alcool de chiendent, c'est que nous croyions. que cet alcool comme bien d'autres aurait une vie éphémère. Disons donc maintenant que dès 1851, M. le sénateur comte François de Neufchâteau présenta, au nom de M. le docteur Alphonse Leroi, à la Société d'agriculture de Paris un mémoire qui se trouve en grande partie reproduit dans le t. I, année 1812 p. 313 de la Bibliothèque physico-économique. Pour faire cesser toute discussion, nous rapportons ici ce mémoire :

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