Explication élémentaire du Code Napoléon: mise en rapport avec la doctrine et la jurisprudence, Volume 3Cotillon, 1867 - Civil law |
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... résulte que la loi , en sauvegardant ainsi les droits qui appar- tiennent à la communauté , consacre formellement son existence et sa personnalité . Dans presque tous les cas ce- pendant , le mari a les pouvoirs d'un propriétaire ...
... résulte que la loi , en sauvegardant ainsi les droits qui appar- tiennent à la communauté , consacre formellement son existence et sa personnalité . Dans presque tous les cas ce- pendant , le mari a les pouvoirs d'un propriétaire ...
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... résulte pas non plus de la simple déclaration faite par les époux , qu'ils se marient sans communauté ou qu'ils seront séparés de biens . 1393. A défaut de stipulations spéciales qui dérogent au régime de la communauté ou le modifient ...
... résulte pas non plus de la simple déclaration faite par les époux , qu'ils se marient sans communauté ou qu'ils seront séparés de biens . 1393. A défaut de stipulations spéciales qui dérogent au régime de la communauté ou le modifient ...
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... résulte que la femme ou ses héritiers pourront avoir à supporter une période totale de onze ans pour les biens urbains , et de douze pour les biens ruraux . Au sujet des baux que le mari aurait faits pour une période de plus de neuf ...
... résulte que la femme ou ses héritiers pourront avoir à supporter une période totale de onze ans pour les biens urbains , et de douze pour les biens ruraux . Au sujet des baux que le mari aurait faits pour une période de plus de neuf ...
Page 79
... résulte que souvent la séparation de biens est un remède tardif à une situation depuis longtemps perdue . La mise en péril de la dot de la femme donne lieu à la sé- paration alors même que les dettes du mari ne proviennent que de causes ...
... résulte que souvent la séparation de biens est un remède tardif à une situation depuis longtemps perdue . La mise en péril de la dot de la femme donne lieu à la sé- paration alors même que les dettes du mari ne proviennent que de causes ...
Page 90
... résulte que la femme acceptante prendrait moins que la femme renonçante , ce qui expliquerait les manoeuvres faites pour obtenir son acceptation . Quand le dol ou la violence émanent des créanciers du mari ou du mari lui - même , on ...
... résulte que la femme acceptante prendrait moins que la femme renonçante , ce qui expliquerait les manoeuvres faites pour obtenir son acceptation . Quand le dol ou la violence émanent des créanciers du mari ou du mari lui - même , on ...
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Explication Élémentaire Du Code Napoléon, Mise En Rapport Avec La Doctrine ... Delsol-J No preview available - 2018 |
Common terms and phrases
23 mars acheteur acte acte authentique action aliéner antichrèse associés Aubry et Rau aurait bail bailleur baux bles cataire caution cession cessionnaire cheptel chose d'autrui chose vendue clause Code commodat commun consentement conserver constituée contraire contrat de mariage contrat synallagmatique créanciers créanciers chirographaires débiteur déclaration délai dettes dissolution doit dommages-intérêts donation effet femme fermier fongibles garantie hectolitres héritiers hypothécaires hypothèques immeubles immobilière inscription intérêts jusqu'à concurrence l'acheteur l'acquéreur l'actif l'action l'aliénation l'art l'article l'emprunteur l'époux l'hypothèque l'immeuble l'inscription l'un des époux lieu locataire louage mandataire Marcadé mari ment meubles mobilier munauté nauté nécessaire nue propriété nullité obligations passif payement pendant le mariage personne personnels perte peuvent pourra poursuite préciput preneur prescription privilége propriétaire propriété raison récompense régime dotal règles réméré rente rescision restitution s'il séparation séparation de corps sera seul société somme stipulé subrogation succession tenu termes thèque tiers détenteur tion titre transcription tuteur valeur vendeur vente
Popular passages
Page 494 - ... sont situés, il ait été dressé préalablement un procès-verbal, à l'effet de constater l'état des lieux relativement aux ouvrages que le propriétaire déclarera avoir dessein de faire, et que les ouvrages aient été, dans les six mois au plus de leur perfection , reçus par un expert également nommé d'oflice. Mais le montant du privilège ne peut excéder les valeurs constatées par le second procès-verbal, et il se réduit à la plus-value existante à l'époque de l'aliénation...
Page 131 - ... sur les revenus respectifs, quoique inégaux, des deux époux, ne sont pas considérés comme un avantage fait au préjudice des enfants du premier lit.
Page 272 - Le louage des choses est un contrat par lequel l'une des parties s'oblige à faire jouir l'autre d'une chose pendant un certain temps, et moyennant un certain prix que celle-ci s'oblige de lui payer.
Page 299 - Si le preneur d'un héritage rural ne le garnit pas des bestiaux et des ustensiles nécessaires à son exploitation, s'il abandonne la culture, s'il ne cultive pas en bon père de famille, s'il emploie la chose'. louée à un autre usage que celui auquel elle a été destinée,, ou, en général, s'il n'exécute pas les clauses du bail, et qu'il en résulte un dommage pour le bailleur, celui-ci peut, suivant les circonstances, faire résilier le bail.
Page 303 - Le maître es>t cru sur son affirmation, Pour la quotité des gages; Pour le paiement du salaire de l'année échue; Et pour les à-comptes donnés pour l'année courante.
Page 583 - Les inscriptions sont rayées du consentement des parties intéressées et ayant capacité à cet effet, ou en vertu d'un jugement en dernier ressort ou passé en force de chose jugée.
Page 421 - La caution est déchargée lorsque la subrogation aux droits , hypothèques et privilèges du créancier , ne peut plus , par le fait de ce créancier , s'opérer en faveur de la caution.
Page 425 - Les transactions ne règlent que les différends qui s'y trouvent compris, soit que les parties aient manifesté leur intention par des expressions spéciales ou générales, soit que l'on reconnaisse cette intention par une suite nécessaire de ce qui est exprimé.
Page 207 - Le vendeur n'est pas tenu de délivrer la chose si l'acheteur n'en paie pas le prix, et que le vendeur ne lui ait pas accordé un délai pour le paiement.
Page 50 - Les amendes encourues par le mari pour crime n'emportant pas mort civile peuvent se poursuivre sur les biens de la communauté, sauf la récompense due à la femme ; celles encourues par la femme ne peuvent s'exécuter que sur la nue propriété de ses biens personnels, tant que dure la communauté.