Histoire des caciques d'Haïti |
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... mains de cette brave jeunesse qui s'intéresse tant aux choses de l'esprit . Voilà ce qui explique pourquoi nous avons entrepris cette tâche avec l'autorisation des parents d'Émile Nau . Qu'il nous soit permis , en terminant , d'exprimer ...
... mains de cette brave jeunesse qui s'intéresse tant aux choses de l'esprit . Voilà ce qui explique pourquoi nous avons entrepris cette tâche avec l'autorisation des parents d'Émile Nau . Qu'il nous soit permis , en terminant , d'exprimer ...
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... mains , et à lui rendre la liberté après l'avoir parée de verroteries et de grelots . Ceux qu'on prenait pour des Cannibales furent alors considérés comme des créatures descendues du ciel ; les Indiens se portè- rent en foule à leur ...
... mains , et à lui rendre la liberté après l'avoir parée de verroteries et de grelots . Ceux qu'on prenait pour des Cannibales furent alors considérés comme des créatures descendues du ciel ; les Indiens se portè- rent en foule à leur ...
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... mains haïtiennes . Il est très honorable assurément pour le pays que ses annales soient conservées et transmises par ses propres nationaux . Je tiens beaucoup , pour ma part , à cet hon- neur . J'ignore les destinées de ma patrie ; j ...
... mains haïtiennes . Il est très honorable assurément pour le pays que ses annales soient conservées et transmises par ses propres nationaux . Je tiens beaucoup , pour ma part , à cet hon- neur . J'ignore les destinées de ma patrie ; j ...
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... mains plus habiles que les nôtres les auront compulsées , et que de grands penseurs auront pris la peine de les méditer plus profondément . Ce que j'ai fait , j'y reviens en finissant , ce que nous avons fait , si mes collaborateurs ...
... mains plus habiles que les nôtres les auront compulsées , et que de grands penseurs auront pris la peine de les méditer plus profondément . Ce que j'ai fait , j'y reviens en finissant , ce que nous avons fait , si mes collaborateurs ...
Page 45
... mains , leur deman- daient s'ils étaient descendus du ciel et leur offraient à manger tout ce qu'ils avaient . A leur arrivée , les plus distingués du village les avaient portés sur leurs bras jusqu'à la maison principale , leur offrant ...
... mains , leur deman- daient s'ils étaient descendus du ciel et leur offraient à manger tout ce qu'ils avaient . A leur arrivée , les plus distingués du village les avaient portés sur leurs bras jusqu'à la maison principale , leur offrant ...
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Common terms and phrases
aborigènes d'Haïti Anacaona arbre armée armes arrivée avaient Banèque Baoruco Barrio Barrio-Nuevo Barthélemy bientôt Bobadilla Bohéchio bois Bonao bord bourgade c'était cabanes cacique cacique Henri calebassier canot Caonabo Caraïbes caravelle cause Cayacoa chef Christophe Colomb Cibao Ciguay Ciguayens cœur Colomb coloniale colonie conquérants corossolier Cotubanama d'Indiens d'Isabelle d'or d'Ovando découverte Diégo Emile Nau ennemis envoyé esclaves Espa Espagne Espagnols Esquibel étamines eût faisait feuilles fleurs forteresse fruit fût gnols Guacanagaric Guarionex habitants Haïti Haïtiens Hatuey Higuey Hispaniola Histoire naturelle hommes île Indiens Isabelle jour Jussieu l'adélantade l'amiral l'Espagne l'île l'or laisser Linné Magua Maguana Manicatoex Marien Mayobanex ment Miguel Diaz mission mœurs monogynie montagnes n'avait n'était Nativité navire Ojeda Ovando Oviedo paix passé pays père petite peuple pistil population port premier prisonniers race reine reste rivières Roldan royaume s'était Saint-Thomas Santo-Domingo sapotillier sauvages seul sorte souverains taient terre territoire tion tribut troupe trouva Véga vert village visite Xaragua
Popular passages
Page 48 - Jésus-Christ , qui nous a accordé une semblable victoire et de si grands succès. Qu'on fasse des processions , qu'on célèbre des fêtes solennelles ; que les temples se parent de rameaux et de fleurs; que Jésus-Christ tressaille de joie sur la terre...
Page 326 - Il n'ya donc pas de doute qu'Haïti eut une littérature primitive. Elle consistait en poésies populaires. Cette sorte de poésie se retrouve chez tous les peuples qui ont une existence nationale, une langue et des traditions; mais il en est chez lesquels elle est plus particulièrement inhérente aux mœurs.
Page 349 - Ses branches poussent de longs jets pendans,qui ressemblent à des cordes , gagnent la terre , s'y enracinent , et forment de nouveaux troncs qui , à leur tour , en produisent d'autres de la même manière ; en sorte qu'un seul arbre , s'étendant et se multipliant ainsi de tous cotés sans interruption, offre une seule cime d'une étendue prodigieuse , et qui semble posé sur...
Page 231 - Ovando avait porté la main à la croix d'AIcantara qui brillait sur sa poitrine; c'était le signal. La trompette sonna : l'infanterie fit feu, et la cavalerie chargea. Le tournoi se changea soudain en une horrible boucherie. Toute cette foule de spectateurs inoffensifs fut en un instant impitoyablement massacrée. Ni le sexe ni l'âge ne furent épargnés. Anacaona fut prise en vie, c'était la seule prisonnière qu'Ovando consentît à faire; tout le, reste fut passé par les armes. Plusieurs...
Page 41 - Journal tenu de ce voyage, comme le navire la Pinta était meilleur voilier et allait devant l'Amiral, il aperçut la terre et fit les signes que celui-ci avait ordonnés. Un marin, nommé Rodrigo de Triana, fut le premier qui vit cette terre, car l'Amiral, étant à dix heures du soir dans le gaillard de poupe, vit bien un feu, mais au travers d'une masse si obscure qu'il ne voulut pas affirmer que ce fût la terre. Il...
Page 280 - II l'était réellement devenu comme la plupart de ses compagnons d'armes. Il fut le plus grand homme de sa race. On aime à penser qu'il eût été digne de commander à un grand peuple, et d'être, par exemple, le souverain des indigènes haïtiens, lorsqu'ils se comptaient par centaines de mille, et qu'ils formaient une nation; mais, cependant, Dieu sait s'il eût été p 1iic illustre sous les auspices d'une autre fortune, et s...
Page 283 - Lorsqu'il se sentit en sûreté derrière les premiers rochers qui pouvaient lui servir de remparts contre ses ennemis, il s'arrêta pour recenser sa petite troupe et l'organiser. Organiser! tel fut son premier soin, son premier acte: bon augure dans l'homme qui aspire à commander, ou dans le chef qui débute. Cette qualité essentielle marqua toute sa carrière, et lui valut sans doute ses succès. Il forma de suite de cette poignée de conjurés le noyau d'une troupe régulière, et commença...
Page 265 - Quel droit des gens sortis d'Espagne, parce qu'ils y manquaient de 19 pain, ont-ils de s'engraisser de la substance d'un peuple né aussi libre qu'eux ? Sur quoi se fondentIls pour disposer de la vie de ces malheureux, comme d'un bien qui leur est propre ? Qui a pu les autoriser à exercer sur eux un empire tyrannique ? N'est-il pas temps de mettre des borne...
Page 28 - Est-il rien de plus absurde que de croire qu'il ya des antipodes ayant leurs pieds opposés aux nôtres, des gens- qui marchent les talons en l'air et la tête en bas? Qu'il ya une partie du monde où tout est à l'envers, où les arbres poussent avec leurs branches de haut en bas, tandis qu'il pleut, qu'il grêle et qu'il neige de bas en haut ' ? » Malgré toutes les explications que fournit Colomb à cette assemblée, son projet fut rejeté comme vain et irréalisable.
Page 130 - Caonabo de ce spectacle inattendu, il l'aborda et lui demanda s'il ne lui serait pas agréable d'accepter les présents qu'il était chargé par Guamiquina de lui remettre. Il fit aussitôt étaler à ses yeux des chaînes et des menottes en fer poli comme de l'argent qu'il disait avoir été fabriquées dans le Thurey (le ciel) et qui en étaient tombées, en un jour de bonheur. Interrogé par le cacique indien sur l'usage de ces ornements, il lui dit que les rois en Europe s'en revêtaient dans...