Histoire de France : depuis les Gaulois jusqu'à la fin de la monarchie. 14 (1805)

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Common terms and phrases

Popular passages

Page 469 - J'ai communiqué, dit-il au roi, le commandement de Votre Majesté à ses fidèles habitants et gens de guerre de la garnison, je n'y ai trouvé que bons citoyens et braves soldats, mais pas un bourreau...
Page 269 - Le vieillard averti arrive , met la chaîne d'or et la boîte au cou de sa fille, prend l'enfant tout nu dans un pan de sa robe , et s'en va en disant : « Voilà qui est à vous , ma fille, mais ceci est à moi.
Page 398 - Ils avoient, à mon avis, empaqueté et caché leur « honneur et leur conscience au fond d'un coffre. Le <• bon citoyen doit avoir zèle aux choses publiques, et « regarder plus loin qu'à vivoter en des servitudes honn teuses.
Page 290 - A l'égard des calvinistes , comme s'ils eussent été en pays ennemi, ils avoient des signaux d'intelligence , des mots de ralliement , des rôles de recrues et de recette, des routes tracées, des entrepôts marqués , des magasins d'armes , et tout ce qui est nécessaire pour faire éclater au premier ordre un soulèvement général.
Page 457 - ... à lui ou à moi. Nous criions tous deux, et étions aussi effrayés l'un que l'autre.
Page 334 - On avançoit hardiment ces maximes abominables : qu'il ne faut pas garder la foi aux hérétiques, et que c'est une action juste, pieuse , utile pour le salut, de les massacrer.
Page 158 - Racontez, dit le roi au duc de Guise, comment les choses se sont passées à Orléans. » Le duc le fit, en .rejetant sur le défunt roi l'emprisonnement du prince. « Quiconque m'a fait cet affront, dit Condé en se tournant vers le duc, je le tiens pour un méchant homme et un scélérat.
Page 449 - Eh ! le prenez-vous là , sire , et vous , monsieur? Nous vous » jurons que vous en aurez nouvelles; car nous y mènerons si bien • les mains à tort et à travers, qu'il en sera mémoire à jamais. Voilà, » ajoute Brantôme, comme une...
Page 432 - Tavannes, des huguenots que de sa mère et de son frère, dont il sait la finesse , ambition et puissance dans son État; » craignant une révolution s'il continue à soutenir les calvinistes, avoue son tort à sa mère, et la prie de l'excuser. Catherine, feignant un mécontentement sans retour, se retire dans une maison voisine. Le roi la suit. Il la trouve avec le duc d'Anjou, les sieurs de Retz, de Tavannes et de Sauve, comme tenant un conseil. Nouveau sujet d'inquiétude pour le jeune Charles.
Page 179 - Brie, où le roi et la reine mère passaient les premiers beaux jours. Catherine les reçut bien et leur donna de bonnes paroles; mais le roi de Navarre les traita d'hérétiques et de factieux.

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