UEIL COMPLET rages faits depuis l'ouverture des : Par M. l'abbé BARRUEL, auteur EMIER VOLUME E PREMIER, PREMIERE PARTIE. A PARIS, AVIS. préliminaire que l'on va lire, est de de M. l'abbé Guillon, prétre du dioJ'espère qu'il prouvera à nos lecteurs vons agi sagement, en nous l'associant ion de cet ouvrage. l'Abbé BARRUBLE FCA·BOD DIS PRÉL La France n' de nom; déjà fidélité à la de une des plus p de Jésus-Chris encore; déjà que et Romain et s'il faut en table, c'étoit l nations (1) qui nos contrées 1 à la dominati Narbonne, d'A dobéir aux lo dirigeoit par 1 Trophime et Trénée avoient Ces vertus, qu hors du christ ISCOURS LIMINAIRE. ce n'étoit pas encore connue sous déjà trois siècles de gloire et de la doctrine sainte en avoient fait lus précieuses parties de l'héritage Christ. L'apôtre des nations vivoit déjà l'église catholique, apostoli omaine étoit l'église de nos pères; at en croire une tradition respecétoit lui-même, c'étoit l'apôtre des a) qui le premier avoit arboré dans 'ées l'étendard de la foi. Soumises tination des Césars, les villes de ,d'Arles, de Vienne, s'honoroient ux loix de Jésus-Christ, qui les par l'organe des évêques. Paul; e et Crescence, un Pothin, un voient donné à Lyon l'exemple de 3, que l'on chercheroit vainement christianisme. Sur la chaire de Bury, hist. eccles. 1. 2, no 7. |