| French periodicals - 1828 - 688 pages
...voyons , faut-il les tuer tous deux ? A quoi la femme répondit : Oui. Et je n'entendis plus rien. . Que vous dirai-je? je restai respirant à peine, tout...comme un marbre; à me voir, vous n'eussiez su si j'élnis mort ou vivant. Dieu! quand j'y pense encore!.... Nous deux presque sons armes , contre eux... | |
| French authors - 1839 - 512 pages
...voyons, faut-il les tuer tous deux ?" à quoi la femme répondit : " Oui," et je n'entendis plus rien. Que vous dirai-je? je restai respirant à peine, tout...voir, vous n'eussiez su si j'étais mort ou vivant. Ciel! quand j'y pense encore!. . . Nous deux presque sans armes, contre eux douze ou quinze qui en... | |
| Guyet de Fernex - French literature - 1843 - 576 pages
...enfin voyons, faut-ii les tuer tous deux? A quoi la femme répondit : Oui; et je n'entendis plus rien. Que vous dirai-je ? je restai respirant à peine,...du bruit, je n'osais; m'échapper tout seul, je ne te pouvais ; la fenêtre n'était guère haute, mais en bas deux gros dogues hurlant comme des loups...... | |
| Ghewond Hovnanean - French language - 1844 - 472 pages
...les tuer tous deux? à quoi la femme répondit: Oui; et je n'entendis plus rien. Que vous dirai -je? je restai respirant à peine, tout mon corps froid...encore! ... Nous deux, presque sans armes, contre eux dou/.e ou quinze qui en avaient tant! Et mon camarade mort de sommeil et de fatigue! L'appeler, faire... | |
| Antonin Roche - 1845 - 766 pages
...faut-il les tuer tous deux ? » A quoi la femme répondit : « Oui , » et je n'entendis plus rien. Que vous dirai-je ? je restai respirant à peine,...contre eux douze ou quinze qui en avaient tant. Et n:on camarade mort de sommeil et de fatigue ! L'appeler, faire du bruit, je n'osais; m'échapper tout... | |
| Edouard Salvador - Authors, French - 1845 - 320 pages
...bre; à me voir, vous n'eussiez su si j'étais B mort ou vivant. Dieu! quand j'y pense en» core!.... Nous deux presque sans armes, » contre eux douze...sommeil et » de fatigue ! L'appeler, faire du bruit, je n'o» sais; m'échapper tout seul, je ne pouvais; la » fenêtre n'était guère haute , mais en bas... | |
| Paul-Louis Courier - France - 1845 - 482 pages
...enfin voyons, faut-il les tuer tous deux? A quoi la femme répondit : Oui. Et je n'entendis plus rien. Que vous dirai-je? je restai respirant à peine, tout...vous n'eussiez su si j'étais mort ou vivant. Dieu 1 quand j'y pense encore I._. Nous deux presque sans armes , contre eux douze ou quinze qui en avaient... | |
| Casimir Ladreyt - French literature - 1846 - 378 pages
...enfin voyons, faut-il les tuer tous deux ? A quoi la femme répondit : Oui, et je n'entendis plus rien. Que vous dirai-je ? je restai respirant à peine,...voir, vous n'eussiez su si j'étais mort ou vivant Ah ! quand j'y pense encore !... Nous deux presque sans armes, contre eux douze ou quinze qui en avaient... | |
| Écrivains français - 1848 - 364 pages
...enfin voyons, faut-il les tuer tous deux ? A quoi la femme répondit : Oui. Et je n'entendis plus rien. Que vous dirai-je? je restai respirant à peine, tout...voir, vous n'eussiez su si j'étais mort ou vivant. Ciel ! quand j'y pense encore ! Nous deux presque sans armes, contre eux, douze ou quinze, qui en avaient... | |
| André Sears - 1850 - 426 pages
...la femme répondit : " Oui," et je n'entendis plus rien. Que vous dirai-je ? je restai respirant 25 à peine, tout mon corps froid comme un marbre; à...voir, vous n'eussiez su si j'étais mort ou vivant. Ciel ! quand j'y pense encore ! ... Nous deux presque sans armes, contre eux douze ou quinze qui en... | |
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