Publications de la Société d'histoire contemporaine, Volume 17A. Picard, 1898 |
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Page xv
... pense , répondit le prince , « que vous avez raison et qu'il faut graisser mes bottes . « Non , Monseigneur , répliqua M. de Vitrolles , il faut par- tir sans que vos bottes soient graissées , immédiatement . » Le prince partit le soir ...
... pense , répondit le prince , « que vous avez raison et qu'il faut graisser mes bottes . « Non , Monseigneur , répliqua M. de Vitrolles , il faut par- tir sans que vos bottes soient graissées , immédiatement . » Le prince partit le soir ...
Page xlv
... pense 2. » M. de Bourrienne , chargé d'affaires de France à Ham- bourg , faisait paraître dans la Gazette de cette ville des articles relatifs aux affaires de France et qui obtenaient l'approbation de Talleyrand , beaucoup plus que la ...
... pense 2. » M. de Bourrienne , chargé d'affaires de France à Ham- bourg , faisait paraître dans la Gazette de cette ville des articles relatifs aux affaires de France et qui obtenaient l'approbation de Talleyrand , beaucoup plus que la ...
Page 55
... pense pour les Français qui n'ont écouté que leur devoir , et un encouragement pour ceux dont les circonstances n'ont pas encore secondé le zèle . A ces causes , Sur le rapport de notre ministre secrétaire d'État de la guerre , et de l ...
... pense pour les Français qui n'ont écouté que leur devoir , et un encouragement pour ceux dont les circonstances n'ont pas encore secondé le zèle . A ces causes , Sur le rapport de notre ministre secrétaire d'État de la guerre , et de l ...
Page 67
... pense que l'armée royale du Midi ne doit point trop s'écarter à l'est de Toulouse , la délivrance de Bordeaux et l'établissement d'une correspondance avec les provinces de l'Ouest devant être le premier objet de Monseigneur ...
... pense que l'armée royale du Midi ne doit point trop s'écarter à l'est de Toulouse , la délivrance de Bordeaux et l'établissement d'une correspondance avec les provinces de l'Ouest devant être le premier objet de Monseigneur ...
Page 80
... pense que la pre- mière démarche propre à en faire sentir les avantages est celle de rétablir l'autorité légitime partout où la violence du tyran viendra à cesser , et de ramener les esprits par l'expérience à cette conviction qu'ils ne ...
... pense que la pre- mière démarche propre à en faire sentir les avantages est celle de rétablir l'autorité légitime partout où la violence du tyran viendra à cesser , et de ramener les esprits par l'expérience à cette conviction qu'ils ne ...
Common terms and phrases
25 mars A. B. Bruxelles actes Alost Altesse Royale armées alliées aura avril baron Cent-jours Cevallos Chambre Charte Chateaubriand Cher frère ci-dessous comte d'Artois comte de Blacas congrès de Vienne conseil corps Correspondance de Pozzo correspondance de Stuart d'Hane de Steenhuyse déclaration départements dépêche dispositions duc d'Angoulême duc d'Orléans duc de Berry duc de Feltre duc de Wellington Fagel fidèles frère et cousin Gain de Montagnac Gand général Goltz gouvernement guerre instructions j'ai Jaucourt Journal universel juin l'armée l'Empereur l'Europe l'honneur l'hôtel d'Hane l'usurpateur lettre du comte Lille lord Castlereagh Louis XVIII maison Majesté maréchal ment mesures Metternich militaire Milord ministre Monseigneur monsieur le Comte Monsieur mon frère Napoléon Buonaparte nation nécessaire note officiel officiers ordonnance Ostende Pays-Bas pièces Pozzo di Borgo Prince Régent projet puissances rendre Russie sentiments sera seront sir Charles Stuart souverains sujets Talleyrand tion troupes trouve Vincent Vitrolles XVIII A GAND
Popular passages
Page v - Le Conseil désigne les ouvrages à publier, et choisit les personnes les plus capables d'en préparer et d'en suivre la publication. Il nomme, pour chaque ouvrage à publier, un Commissaire responsable, chargé d'en surveiller l'exécution. Le nom de l'éditeur sera placé en tête de chaque volume.
Page 70 - Cateau-Cambresis , le vingt-cinquième jour du mois de juin de l'an de grâce mil huit cent quinze , et de notre règne le vingt-unième.
Page 201 - Tout homme né et résidant en France, qui, âgé de vingt et un ans accomplis, s'est fait inscrire sur le registre civique de son canton, qui a demeuré depuis pendant une année sur le territoire de la République, et qui paie une contribution directe, foncière ou personnelle, est citoyen français.
Page 22 - C'est avec ces sentiments et ceux de la plus haute considération et de la plus parfaite estime que je suis, monsieur mon frère et cousin, de Votre Majesté le bon frère, cousin, ami et allié.
Page 2 - Les puissances déclarent, en conséquence, que Napoléon Bonaparte s'est placé hors des relations civiles et sociales, et que, comme ennemi et perturbateur du repos du Monde, il s'est livré à la vindicte publique.
Page xxxi - Chambre , les capitaines des gardes et un très-petit nombre d'officiers de la Maison qui avaient suivi le Roi. En dépit des circonstances et d'une chance commune, ces deux partis vivaient séparés. Les individus se rencontraient chez le Roi, au spectacle, à la promenade, et se traitaient réciproquement avec une politesse bienveillante, mais il n'y avait pas de réunions pour la table, le jeu ou seulement pour la conversation. Les mœurs de la première émigration avaient reparu dans toute leur...
Page xli - Dans un rapport sur l'état de la France, fait au roi dans son conseil, à Gand, je m'exprimois de la sorte : «Sire, vous vous apprêtiez à couronner les ins«titutions dont vous aviez posé la base, en atten...
Page xvii - Nous jurons sur l'honneur de vivre et de mourir fidèles à notre Roi et à la Charte constitutionnelle, qui assure le bonheur des Français.
Page 32 - Napoléon Bonaparte est déclaré traître et rebelle, pour s'être introduit, à main armée, dans le département du Var. Il est enjoint à tous les gouverneurs, commandants de la force armée , gardes nationales , autorités civiles , et même aux simples citoyens de lui courir sus, de l'arrêter et de le traduire incontinent devant un conseil de guerre qui, après avoir reconnu l'identité, provoquera contre lui l'application des peines prononcées par la loi.
Page 25 - Traité sera ratifié, et les ratifications en seront échangées à Turin dans le délai de dix jours, ou plus tôt si faire se peut. En foi de quoi, les Plénipotentiaires respectifs l'ont signé et y ont apposé le cachet de leurs armes. Fait en double expédition à Turin, le vingt-quatrième jour du mois de Mars de l'an de grâce mil huit cent soixante.