Les écrits qui doivent remplir cette seconde section, et qui furent accueillis avec tant d'empressement à l'époque de leur première publication, sont, de nos jours, il faut l'avouer, la partie la moins intéressante des OEuvres de Fénélon. Peu de lecteurs trouvent aujourd'hui du plaisir à s'enfoncer dans le labyrinthe des questions épiqui divisèrent, à la fin du dix-septième siècle, les deux plus illustres prélats de l'Eglise Gallicane. Peut-être même quelques personnes seront-elles tentées de croire que tous les monumens de cette affligeante controverse auroient dû FÉNÉLON. IV. neuses a |