Annales Dauphinoises, Volume 2Imprimerie Vallier Édouward et cie., 1902 - Dauphiné (France) |
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abbés Alexandre Milon ancien Annales Dauphinoises Antoine août archevêque d'Embrun archevêque de Vienne Archives Arnaud avaient Ayrald BAFFERT Balme Beaumont-Monteux biographique bourg Bressieux Brun-Durand cathédrale chanoine chapelle Chapitre chartreux avant château Chorier Claude Allard clergé Concordat couplet curé d'Aouste d'Echevis date Dauphiné documents Drôme ecclésiastiques église Embrun épiscopale époque évêque de Maurienne évêque de Valence famille Fontanil général de Merck Grenoble Grignan Guigues Guillaume Guy Allard habitants historiques Jean jours l'abbaye l'abbé l'archevêque l'Ayrald l'église l'évêque l'histoire l'Isère lettre liste Louis Lyon maire maison Marnans Maugiron ment Mgr d'Aviau Mgr Milon ministère Mlle Monteux monument mort mourut nommé notice Obiit pape paroisse passé Pénitents Perrossier personnages Pessonneaux Pierre Pont-en-Royans porte préfet prélat premier prêtres prieur Proveysieux Quaix religieux religion remparts reste Rochas Romans saint Hugues Saint-Antoine Saint-Martin-le-Vinoux Saint-Maurice seigneur Séminaire septembre seul Seyssuel siège Sœur Saint-Henri suivant tapisseries Trépier trouve Vercors Vernaison Viennois Voreppe XIIe siècle
Popular passages
Page 11 - ... se répandirent en murmures, et quelques-uns en portèrent leurs plaintes à la cour. D'Aumont, mieux avisé, demanda tout simplement au roi de le pourvoir lui-même par un décret spécial de la première régence. En effet, le 22 avril, le roi rendit en sa faveur un décret conçu en ces termes : docteurs qui reste dans cette faculté ne permet pas d'y mettre lesdites chaires au concours, il serait nécessaire de le renvoyer dans une faculté éloignée, ce qui serait difficile à exécuter,...
Page 166 - Sa Sainteté, pour le bien de la paix et l'heureux rétablissement de la religion catholique, déclare que ni elle, ni ses successeurs, ne troubleront en aucune manière les acquéreurs des biens ecclésiastiques aliénés, et qu'en conséquence, la propriété de ces mêmes biens, les droits et revenus y attachés," demeureront incommutables entre leurs mains, ou celles de leurs ayants cause.
Page 105 - Nulle société ne peut exister sans morale ; il n'ya pas de bonne morale sans religion ; il n'ya donc que la religion qui donne à l'Etat un appui ferme et durable.
Page 236 - Nous entrerons dans la carrière Quand nos aînés n'y seront plus ; Nous y trouverons leur poussière Et la trace de leurs vertus ! Bien moins jaloux de leur survivre Que de partager leur cercueil, Nous aurons le sublime orgueil De les venger ou de les suivre...
Page 8 - Roi, de protéger conformément aux lois la sûreté des personnes et des propriétés, la libre circulation des grains et subsistances, dans l'intérieur du Royaume, et la perception des contributions publiques sous quelque forme qu'elles existent, de demeurer unis à tous les Français par les liens indissolubles de la fraternité...
Page 173 - I", notre Empereur ? R. — Les chrétiens doivent aux princes qui les gouvernent, et nous devons en particulier à Napoléon I", notre Empereur, l'amour, le respect, l'obéissance, la fidélité, le service militaire, les tributs ordonnés pour la conservation et la défense de l'Empire et de son trône; nous lui devons encore des prières ferventes pour son salut et pour la prospérité spirituelle et temporelle de l'État.
Page 8 - Militaires citoyens, unis à jamais par tous les sentiments de la fraternité, jurons tous d'être fidèles à la nation, à la loi et au roi et de maintenir de tout notre pouvoir la Constitution décrétée par l'Assemblée nationale et acceptée par le roi...
Page 45 - Nul ne pourra remplir le ministère d'aucun culte dans lesdits édifices, à moins qu'il ne se soit fait décerner acte, devant la municipalité du lieu où il voudra exercer, de sa soumission aux lois de la République.
Page 173 - Oui : car il est celui que Dieu a suscité dans les circonstances difficiles pour rétablir le culte public de la religion sainte de nos pères, et pour en être le protecteur.
Page 105 - La France, instruite par ses malheurs, a ouvert enfin les yeux; elle a reconnu que la Religion catholique était comme une ancre qui pouvait, seule, la fixer dans ses agitations et la sauver des efforts de la tempête; elle l'a en conséquence rappelée dans son sein. Je ne puis pas disconvenir que je n'aie beaucoup contribué à cette belle œuvre.