Le bataillon du 10 août: recherches pour servir à l'histoire de la révolution française |
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... l'un à l'autre , en recevant par ce fait même une sorte de consécration qui leur donne , à la longue , toute l'apparence de faits authen- tiques et incontestables . Ce qui multiplie les livres , malgré la loi de ne point mul- tiplier ...
... l'un à l'autre , en recevant par ce fait même une sorte de consécration qui leur donne , à la longue , toute l'apparence de faits authen- tiques et incontestables . Ce qui multiplie les livres , malgré la loi de ne point mul- tiplier ...
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... un bon prix de sa palinodie . Il retrouva un certain Joseph- François Lieutaud , ancien commandant de la garde nationale à Marseille , qui avait essayé , en 1790 , une sorte de coup d'État à son profit , et qui , devenu l'un des séides ...
... un bon prix de sa palinodie . Il retrouva un certain Joseph- François Lieutaud , ancien commandant de la garde nationale à Marseille , qui avait essayé , en 1790 , une sorte de coup d'État à son profit , et qui , devenu l'un des séides ...
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... L'un des rédacteurs du Journal des Départements méridio- naux , publié à Marseille en 1792 . 2. Lettre de Barbaroux des 14-15 août 1792 , adressée à la municipalité de Marseille ( Collection de M. Samat ) . 3. Barbaroux , même lettre ...
... L'un des rédacteurs du Journal des Départements méridio- naux , publié à Marseille en 1792 . 2. Lettre de Barbaroux des 14-15 août 1792 , adressée à la municipalité de Marseille ( Collection de M. Samat ) . 3. Barbaroux , même lettre ...
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... un jeune homme de Nancy se trouvant à Paris à cette époque , s'avisa de dire ingénuement à l'une de ces femmes que les Marseillais avaient amenées à leur suite : « Qu'êtes - vous donc venue faire à Paris ? - Attends , je vais te le dire ...
... un jeune homme de Nancy se trouvant à Paris à cette époque , s'avisa de dire ingénuement à l'une de ces femmes que les Marseillais avaient amenées à leur suite : « Qu'êtes - vous donc venue faire à Paris ? - Attends , je vais te le dire ...
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... un fils ou un frère de la famille . Un jour qu'il n'y avait eu que du pain de munition et quelques tranches de jambon fumé sur la table , Dietrich regarda de Lisle avec une sérénité triste et lui dit : « L'abondance manque à nos festins ...
... un fils ou un frère de la famille . Un jour qu'il n'y avait eu que du pain de munition et quelques tranches de jambon fumé sur la table , Dietrich regarda de Lisle avec une sérénité triste et lui dit : « L'abondance manque à nos festins ...
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Common terms and phrases
10 août Amédée Rouget Antoine armées armes Augustin Fabre avaient Bataillon des Marseillais Bataillon du 10 Bertrand de Molleville Blanc-Gilli Bouches-du-Rhône braves c'était camp canon Carrousel caserne cents hommes Chant de guerre Charles Barbaroux Château cinq cents citoyens club commandant Constitution Correspondance des Amis Cour Danton décret Départements méridionaux députation Dietrich édition envoya Fabre faubourg fédérés marseillais Fétis frères garde nationale Garnier général Girondins grenadiers historiens hommes du Bataillon Jacobins Joseph jour Journal des Départements journée du 10 juillet juin l'armée l'Assemblée nationale l'hymne lais Lautard lettre liberté Louis Blanc Louis XVI maire marche Marseillais Marseillaise massacres ment Michelet Midi Moniteur Mortimer-Ternaux Mourraille municipalité musique nation Navoigille officiers Parisiens paroles passer patrie patriotes Peltier Pétion peuple République reste Révolution française Robespierre Rouget de Lisle royalistes Santerre séance sections seillais septembre seulement soir soldats Strasbourg strophe Suisses tion Toulon troupes Tubaneau Tuileries victoire volontaires
Popular passages
Page 439 - Allons enfants de la patrie, Le jour de gloire est arrivé! Contre nous de la tyrannie L'étendard sanglant est levé!
Page 71 - A regret s'armant contre nous. Mais ces despotes sanguinaires. Mais ces complices de Bouille, Tous ces tigres qui, sans pitié, Déchirent le sein de leur mère !... Aux armes, etc.
Page 71 - Tremblez, tyrans, et vous, perfides. L'opprobre de tous les partis ; Tremblez ! vos projets parricides, Vont enfin recevoir leur prix ! Tout est soldat pour vous combattre ; S'ils tombent, nos jeunes héros.
Page 150 - Bien moins jaloux de leur survivre Que de partager leur cercueil, Nous aurons le sublime orgueil De les venger ou de les suivre!
Page 71 - Français, pour nous, ah ! quel outrage ! Quels transports il doit exciter ! C'est nous qu'on ose méditer De rendre à l'antique esclavage ! Aux armes, citoyens ! etc.
Page 47 - Majesté, par une proclamation vraiment impolitique dans la circonstance; la situation de Paris, sa proximité des frontières , ont fait sentir le besoin d'un camp dans son voisinage. Cette mesure, dont la sagesse et l'urgence ont frappé tous les bons esprits , n'attend encore que la sanction de Votre Majesté. Pourquoi faut-il que des retards lui donnent l'air du regret, lorsque la célérité lui gagnerait tous les cœurs?
Page 72 - Tremblez, tyrans, et vous, perfides, L'opprobre de tous les partis! Tremblez, vos projets parricides Vont enfin recevoir leur prix. Tout est soldat pour vous combattre ; S'ils tombent, nos jeunes héros, La terre en produit de nouveaux Contre vous tout prêts à se battre!
Page 149 - De là lui vint le nom de Marseillaise. La vieille mère de de Lisle, royaliste et religieuse, épouvantée du retentissement de la voix de son fils, lui écrivait : « Qu'est-ce donc que cet hymne révolutionnaire que chante une horde de brigands qui traverse la France, et auquel on mêle iiotre nom?
Page 32 - Sa table frugale était hospitalière pour Rouget de Lisle. Le jeune officier s'y asseyait le soir et le matin comme un fils ou un frère de la famille. Un jour qu'il n'y avait eu que du pain de munition et quelques tranches de jambon fumé sur la table, Dietrich regarda...
Page 46 - Par exemple, deux décrets importants ont été rendus; tous deux intéressent essentiellement la tranquillité publique et le salut de l'État. « Le retard de leur sanction inspire des défiances; s'il est prolongé, il causera du mécontentement; et, je dois le dire, dans l'effervescence actuelle des esprits, les mécontentements peuvent mener à tout.