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près de Freyberg, extrait par le cit. Houry, inspecteur des mines; 6) annonces sur du carbone contenu dans l'amphibole, par M. Lampadius, et sur un traité de l'aménagement.

A dix numéros est jointe une planche où sont figurés des plans de mines.

Le n°. 88 renferme, 1) des analyses comparées de plusieur, espèces de tales, par le cit. Vauquelin; 2) une notice sur la structure minéralogique de la contrée de Sala en Suède, par M. d'Andrada; 5) la description d'un nouveau mécanisme pour contrebalancer les cables et les chaines employées dans les puits des mines, par William Featherstonhaugt; 4) un mé.. moire sur la scintillation des bois

charbonnés, extrait d'une lettre du cit. Lemaitre, inspecteur-général des poudres et salpêtres, au conseil des mines de la république; 5) un autre mémoire sur la fabrication du fer et de l'acier dans les forges de la Syrie, par le cit. Rambourg, maître des forges de Tronçais; 6) des réflexions sur l'origine de diverses masses de fer natif, et notamment de celles trouvées en

Sibérie par Pallas, traduites de l'allemand de M. Chladni, par Eugène Coquebert.

A ce numéro est jointe une planche sur laquelle est figuré un nouveau contre-poids pour les cables et les chaines employées dans les puits des

mines.

BOTANIQUE.

Choix des Plantes, dont la plupart sont cultivées dans le jardin de Cels, par E. P. Ventenat. V. livraison.

Cette livraison comprend six planches, avec leurs explications: 1) notelaa, formé des deux mots grecs notos et elaia, qui signifient australis olea, olivier antarctique, famille des jasminées suivant Jussieu, diandrie monogynie suivant Linnée, originaire des îles de la mer du Sud; 2) clitoria heterophylla, famille des légumineuses suivant Jussieu, diadelphie décandrie

suivant Linnée, originaire de l'Islede-France; 3) mimosa glandulosa, famille des légumineuses suivant Jussieu, polygamie monoécie suivant Linnée; 4) mimosa horridula, famille des légumineuses suivant Jussieu, polygamie monoécie suivant Linnée, origina re de la Virginie et de la Floride; 5) amsonia angustifolia, famille des apocinées suivant Jussieu, pentandrie monogynie suivant Linnée, originaire de l'Amérique septentrionale; 6) indigofera diphylla, famille des légumineuses suivant Jussieu, diadelphie décandrie suivant Linnée, originaire d'Afrique.

Plantes des îles de l'Afrique australe, formant des genres nouveaux ou perfectionnant les anciens, accompagnées de dissertations sur les différens points de physiologie végétale, par Aubert du Petit-Thouars. Première livraison, in-4. A Paris, chez l'auteur, rue du ChercheMidi, no. 294; mad. Huzard, et Treuttel et Würtz, 6 fr.

Le discours préliminaire de cet ouvrage est destiné à donner, 1o. un apperçu succint d'un voyage de dix ans que M. du Petit-Thouars vient d'exécuter dans les parties australes de l'Afrique, principalement sur les îles de France, de Bourbon (aujourd'hui l'ile de la Réunion) et de Madagascar; 2°. à annoncer l'ouvrage qui en sera le résultat. I formera l'histoire des plantes observées sur ces fles. L'auteur ne pouvant pas le publier tout à-lafois, en détache les objets qui peuvent intéresser davantage la botanique. Ce sont les genres nouveaux, et des faits importans pour la physiologie végétale; ils seront contenus dans douze cahiers semblables à celui qui paraît maintenant, ensorte qu'il doit être considéré comme un prospectus et un échantillon des autres qui suivront dans le plus court délai: ils formeront, avec les planches, deux volumes in-4°.

Ce cahier contient, 1o. une dissertation sur les rapports naturels du cycas, tirés de sa germination et des parties de sa fructification; 2°. huit plantes que l'auteur regarde comme formant des genres nouveaux; ils sont précédés d'une introduction, dans laquelle M. du Petit - Thouars développe la marche qu'il a tenue pour la détermination de leur caractère générique. Comme elle s'écarte en plusieurs points de celle de Linnée, il se croit obligé d'exposer les raisons qui l'ont engagé à adopter ces changemens; ou plutôt, les ayant empruntés de M. Correa de Serra, il le laisse lui-même expliquer ses motifs, en traduisant des Transactions de la Société Linnéenne le préambule d'un mémoire sur deux genres nouveaux de la famille des orangers, dans lequel ce savant distingué fait sentir la nécessité de la réforme qu'il introduit dans cette partie de la science.

Les caractères génériques sont décrits en latin; mais ils sont accompagnés d'une description spécifique française. Voici les genres qui forment cette livraison : le didymeles, dioécie diandrie de Linnée; le ptelidium, tétrandrie monogynie; l'hecatea, dioécie syngénésie ou gynandrie; le calypso, triandrie monogynie; le dicoryphe, tétrandrie digynie; le bonamia, pentandrie monogynie; le monimia, dioécie polyandrie; enfin le calpidia, dé

candrie monogynie.

M. du Petit-Thouars promet, pour la livraison prochaine, l'examen des rapports naturels de ces genres. Comme il n'a pu encore les déterminer tous, il engage les botanistes à tâcher de les découvrir ce sont des espèces de problêmes qu'il leur donne à résoudre. Dix planches accompagnent cette livraison; deux appartiennent au mémoire sur le cycas, et les autres à chacun des genres. Ces gravures sont au simple trait et contiennent des détails très - multipliés sur toutes les parties de la fructification. Exécutées d'après les esquisses dessinées par l'auteur lui-même, sur les objets vivans, elles compenseront peut-être aux yeux

des naturalistes, par leur exactitude, ce qui leur manque pour le fini.

Les faits nouveaux que contient cet ouvrage, et la manière dont ils sont présentés, doivent en faire desirer la suite par tous les amateurs de botanique.

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PHYSIOLOGIE, MÉDECINE,

CHIRURGIE.

Coup-d'ail sur les révolutions et sur la réforme de la médecine, par J. G. Cabanis, membre du Sénat Conservateur, de l'Institut national de France, de l'Ecole et Société de médecine de Paris, et de plusieurs sociétés savantes et littéraires. I vol. in-8. Crapart, Caille et Ravier. 6 fr.7 fr. 50 c.

Le titre de cet excellent ouvrage en indique la division. Dans la première partie, l'auteur parcourt avec ce coupd'oeil rapide qui n'appartient qu'au génie, les révolutions par lesquelles a passé la médecine dans les tems anciens et modernes, et nous donne ainsi l'histoire philosophique de cette science sur laquelle l'érudition s'était seulement exercée jusqu'à ce jour. Dans la seconde partie, il applique savamment l'analyse à l'art de guérir considéré dans ses différentes branches, et en exposant les rapports de cet art humaines, il indique les secours que important avec les autres connaissances la médecine peut en tirer et les écueils qu'elle doit éviter dans ce rapprochement-là même. Cette manière d'envi

sager un sujet si important deviendra pour nous la matière de deux extraits, dans lequels nous ferons remarquer la sagacité des recherches, la profondeur. des aperçus, la noblesse du style, la tations de l'ouvrage même. vigueur du pinceau, par quelques ci

Premier extrait.

L'auteur, sans s'égarer dans des

Bonjectures toujours vaines, quelque savantes qu'elles puissent être d'ailleurs sur les tems obscurs où l'on pratiqua pour la première fois l'art de guérir, se renferme dans cette considération générale c'est que la médecine fut originairement entre les mains des chefs des peuplades, des poètes, et sur-tout des prêtres.

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La première de ces assertions est appuyée sur les plus anciens monumens des tems héroïques. Chiron, Ariste, Thésée, Salomon, Teucer, Patrocle, Antolicus, Ulysse, ne furent pas moins honorés en Grèce pour leurs connoissances en médecine que pour leurs exploits.

Les poètes rivalisèrent avec les chefs des nations et les guerriers dans l'art de guérir. Linus, Orphée, Musée et plusieurs autres, ont chanté cet art bienfaisant qui prolonge la vie et appaise la douleur. Hesiode avait composé un poëme sur les propriétés des plantes: dans celui des oeuvres et des jours, il conseille plusieurs pratiques médicales ou diététiques. Homère parle souvent des blessures de ses héros en homme à qui la structure du corps humain n'était pas entièrement inconnue; et sans partager l'enthousiasme quelquefois excessif de ses admirateurs, peut dire que s'il se trouve dans ses ouvrages des erreurs anatomiques grossières, on y rencontre aussi assez fréquemment des observations fines de physiologie, quelques passages curieux sur la manière d'alors de panser les plaies, et des particularités remarquables touchant l'effet des remèdes.

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» dans celles du médecin, leurs efforts » avaient à-peu-près le même degré

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de force en faveur de tous les deux, » Il est certain que la médecine, » comme la superstition, exerce sur les imaginations une influence proportionnée à leur faiblesse; encore » même la première, agissant sur des objets plus palpables et plus réels, il arrive que les hommes les plus » raisonnables et les plus éclairés ne résistent jamais entièrement à son pouvoir. En un mot, aucun art n'a pénétré plus avant dans le cœur humain; aucune fonction ne met à portée de s'emparer plus facilement » du secret des familles; aucune doc» trine (sauf celles-là même qui se

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rapportent à l'action des puissances invisibles) ne touche de si près à >> toutes ces idées fantastiques dont l'esprit de l'homme, trop resserré » dans le champ de la réalité, se » nourrit avidement; aucune ne four» nit des mobiles plus indépendans de

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toutes les révolutions de l'état social » aux hommes qui, vivant de la crédulité publique, la cultivent avec soin comme un fertile domaine. Les » prêtres durent donc bientôt vouloir devenir, et ils devinrent en effet "9 médecins : c'est ainsi que chez la plupart des sauvages la médecine est pratiquée par les prêtres et les jongleurs. Dès ce moment, la médecine et la religion ne formèrent plus qu'un systême unique. Pour accréditer le culte de leurs dieux, les prêtres annonçaient des cures mer» veilleuses opérées en leur nom. Pour rendre la médecine plus respectable, ils en fondaient la certitude sur leur » commerce habituel avec la Divinité: » ils prêchaient et guérissaient tout » à-la-fois. >>

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«Les prêtres, dit l'auteur, ne tar» dèrent pas à s'emparer de la mé-n decine. Il leur fut facile, comme il l'observe très- judicieusement, de l'identifier avec leurs autres moyens de pouvoir. L'art de guérir et l'art sacerdotal avaient, en effet, plusieurs traits de ressemblance ou d'analogie. L'un et l'autre mettent en jeu les mêmes ressorts, la crainte et l'espé»rance ; et quoique les objets de ces » deux passions ne soient pas les mêmes dans les mains du prêtre et

Ces observations, tout à-la-fois piquantes et profondes, sont confirmées par ce que Strabon nous rapporte des gymnosophistes, qui prétendaient posséder beaucoup de remèdes précieux; par ce qu'on nous raconte des Druïdes, qui, dans le sein de leurs forêts, employaient le gui de chêne contre les

poisons et la stérilité, et le selago, plante analogue à la sabine, comme une sorte de panacée et de remède universel. Chez les Juifs, les fonctions de prêtre et de médecin semblent avoir été assez étroitement réunies. Aux Lévites était confié spécialement le traitement de la lèpre; et les Pharisiens, prêtres hypocrites et dominateurs, n'étaient les ennemis déclarés des Esséniens ou Thérapeutes, dont le nom signifie guérisseurs, médecins, que parce que ceux-ci, cultivant la médecine pour perfectiouner les ames, en rendant les corps plus sains, étaient pour eux de dange.eux rivaux dans l'art de guérir.

Mais c'est en Egypte surtout que les prêtres, par la réunion des fonctions sacerdotales que leurs souverains même, les Pharaons, ne dédaignaient pas d'exercer, avec la pratique de la médecine et de toutes les autres branches de connaissances humaines telles qu'elles existaient alors, tenaient le peuple sous un joug également dur et avilissant. L'auteur est porté à croire qu'ils ne les en dédommageaient guère par les secours médicaux qu'ils lui procuraient; et il en juge par leurs fausses idées sur la gymnastique, qu'ils ne jugeaient propre qu'à altérer l'ordre et l'équilibre des fonctions vitales.

Ce qu'à travers la nuit des tems on a pu recueillir de la pratique médicale des prêtres égyptiens, porte à croire qu'ils avaient soumis la médecine à des lois absurdes, qui ne lui permettaient plus de progrès ultérieurs: celle qui fixait l'époque de l'application des remèdes dans toutes les maladies, interdisant toute expérience, et même toute observation nouvelle, aurait seule suffi pour retenir l'art dans une éternélié enfance; celle qui la divisait en autant de branches qu'il pouvait se rencontrer de maladies ou d'organes affectés, considérait le corps humain comme une machine dont les différentes pièces peuvent être fabriquées et racommodées séparément, sans tenir compte de cette influence de la sensibilité qui, répandue dans toutes, les

fait agir les unes sur les autres, suivant des règles dont leur structure particu lière ne peut souvent rendre raison. On peut enfin ajouter à ces causes du peu de progrès de la médecine chez les Egyptiens, cette loi de l'Etat qui liant le fils aux travaux de son père, avait sans doute pour but de faire hériter chaque âge des travaux du précédent, mais qui réellement supposait autant d'ignorance des véritables procédés de l'esprit, que des circonstances qui peuvent déterminer sa première et constante diversion.

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Chez les Chaldéens et les Babyloniens, la médecine dut emprunter de leurs études et de leurs observations astronomiques des vues qui pouvaient avoir quelque rapport avec son objet particulier. On retrouve quelques vestiges de cette application des connaissances astronomiques à la médecine chez les Grecs, qui firent faire à cette science de si grands pas. Hippocrate lui-même n'a pas dédaigné ces résul tats généraux que la connaissance du ciel et la marche des saisons peuvent fournir au médecin.

La médecine, au reste, n'en tira pas chez les Chaldéens de grands secours, s'il est vrai, comme le rapporte Hérodote, qu'à Babylone les malades, placés dans des lieux publics, restaient exposés à la vue des passans, auxquels on demandait pour eux des conseils et des moyens de guérison; de telle sorte que le premier venu, s'il reconnaissait ou s'il croyait reconnaître dans leur état quelque analogie avec d'autres maladies qu'il avait eu occasion d'observer, indiquait les remèdes ou les plans de traitement par le moyen desquels ces dernières avaient été guéries. Hérodote ajoute qu'on forçait tout le monde à donner un avis quelconque sur chaque maladie, qu'on exécutoit souvent les consultations, et, ce qui est assez remarquable, que le malade n'en mourait pas toujours.

L'auteur, parvenu à l'époque où la médecine devint une véritable science dans la Grèce, observe que, comme en Egypte, elle fut d'abord concentrée

dans les temples, où, sous le nom d'Esculape, les prêtres abusèrent encore de la confiance et de la crédulité du peuple. Les temples du Dieu étaient communément construits sur des hauteurs; l'air qu'on y respirait, naturellement pur à cause de l'élévation du sol, était encore assani par l'influence des bois qui les environnaient. Ces circonstances, habilement choisies, et les distractions que les malades trouvaient sur leur route, pouvaient beaucoup plus pour la guérison des maladies que l'art des médecins, qui était encore dans son enfance.

Mais bientôt la médecine fut cultivée par les philosophes, qui transformèrent une doctrine occulte et sacerdotale en science vulgaire et en art usuel : mais l'esprit d'hypothèse commun à toutes les sectes de philosophie, et dont la secte italique, qui reconnaissait pour son chef le célèbre Pythagore, ne fut pas même exempte, retarda de beaucoup les progrès de la science. De tous les philosophes livrés à l'étude de la médecine, Acron, originaire d'Agrigente en Sicile, fut celui qui sut le mieux se garantir de cet esprit dangereux, en ramenant l'art de guérir à la seule expérience : on peut le regarder, en quelque sorte, comme le précurseur d'Hippocrate.

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C'est dans l'ile de Cos, célèbre par son école de médecine, et où ses ancêtres exerçaient la profession de médecins depuis dix-sept générations, qu'Hippocrate fit ses premières études. « Le bon sens joint à l'esprit d'in"vention, dit l'auteur, est sous le » nom de génie, ce qui distingue un » très-petit nombre d'hommes privilégiés. (Il faut entendre ici le bon sens qui plane audessus des opinions régnantes, et dont les jugemens devancent ceux des siècles.) Hippocrate fut de ce petit nombre.... Il sépara la médecine de la philosophie, à laquelle on n'avait pas su l'unir par leurs véritables et mu»tuelles relations; il la ramena dans sa route naturelle, l'expérience rai» sonnée.... Le véritable esprit phi

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losophique d'Hippocrate se retrouve » tout entier dans ses épidémies et » dans ses livres` aphoristiques. Ses épidémies ne sont pas seulement de » magnifiques tableaux des maladies n les plus graves; elles montrent encore sous quel point de vue les ob»servations doivent être faites; com»ment on peut en saisir les points. frappans sans se perdre soi-même » et sans égarer le lecteur ou l'auditeur dans des détails inutiles. Ses livres aphoristiques ont passé dans tous »tems pour des modèles de grandeur » dans les vues et de précision dans le style. On y retrouve partout cette » méthode vraiment générale, la seule qui soit appropriée à nos facultés intellectuelles, et qui, dans chaque art ou dans chaque science, faisant naître des observations les axiômes, transforme les résultats des faits en règles.... Ce nouvel esprit porté dans l'art de guérir fut comme une lumière soudaine qui dissipe les fantômes de la nuit, et rend aux objets leur véritable forme et leur » couleur naturelle. »

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L'école de Cnide, rivale de celle de Cos, ne nous est connue que par ce qu'Hippocrate nous en apprend luimême. Si l'on doit l'en croire en tout, elle réunissait dans son enseignement les inconvéniens de l'empirisme à ceux de l'esprit d'hypothèse.

L'école italique, qui forma des esprits distingués dans différens genres, produisit aussi plusieurs grands médecins : mais enfin la décadence de la puissance de la Grèce amena celle des sciences et des arts qu'elle cultivait, et particulièrement celle de la médecine.

Cette science trouva les plus grands obstacles à s'introduire dans Rome; mais enfin elle en triompha, et y fut exercée avec honneur. Asclepiade fut l'un des médecins qui s'y distinguèrent/ le plus : il fit de la philosophie corpusculaire de Démocrite, développée par Epicure, le fondement de sa doctrine médicale. Par le moyen des petits corps et des petits pores, il expliquait tout,

étonnait

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