causes de l'émigration dans ce quartier du commerce considérable qui jusque-là avait fait la fortune de la rue Saint-Honoré. On sait que les grandes corporations marchandes de Paris rejetaient autrefois de leur sein tous les éléments étrangers; cette exclusion expliquait en même temps la richesse de ces corporations et la convoitise des commerçants de nos provinces qui aspiraient à fonder ouvrit au profit de ces derniers un champ parfaitement libre, et un grand nombre d'en tre eux fondirent sur la capitale. Fait à Rome, en double original, le 15 jan- des établissements à Paris. La Révolution vier 1879. Les jeunes gens qui désirent entrer en qualité de surnuméraires dans l'administration des manufactures de l'Etat sont prévenus que, le jeudi 17 avril prochain, il sera ouvert un concours pour le recrutement du personnel de` la culture du tabac (2a série). Pour prendre part à ce concours, ils doivent se faire inscrire, avant le 30 mars, dans l'une des dix-sept manufactures de tabac ci-après désignées : Bordeaux, Châteauroux, Dieppe, Dijon, Le Havre, Le Mans, Lille, Lyon, Marseille, Morlaix, Nancy, Nantes, Nice, Paris, Riom, Tonneins, Toulouse. Les inscriptions seront également reçues par tous les autres chefs de service de l'administration, près de qui les candidats pourront d'ailleurs prendre connaissance du programme. Ils auront alors à faire connaître, dans leur demande d'inscription, la manufacture qu'ils auront choisie comme centre d'examen. INFORMATIONS ET FAITS On voit figurer sur le tableau officiel de classement des grands travaux de la ville de Paris le prolongement de la rue Réaumur. C'est dans la section intéressant le 2e arrondissement, c'est-à-dire entre la rue SaintDenis et la place de la Bourse, que ce prolon gement doit être exécuté. De la place de la Bourse, la rue Réaumur se fusionnera avec la rue du Quatre-Septembre pour former une magnifique voie de communication dont le point de départ sera au boulevard des Fillesdu Calvaire, et le point d'arrivée au boulevard des Capucines, sur la place, au midi de l'Opéra. Deux grands quartiers de Paris vont principalement bénéficier de ce prolongement: les quartiers du Mail et de Bonne-Nouvelle. Leur construction remonte au règne de Louis XIII, vers l'année 1634, à l'époque où fut démoli le mur de l'enceinte de Paris, élevée sous Charles V et Charles VI. C'est sulement vers la fin du siècle dernier que les fortes maisons de commerce de draperies, de dentelles, de tissus de toute nature prirent possession de cette partie du 2 arrondissement. Il est curieux, disent les Débats, à qui nous empruntons cet historique de connaître les Alors, qu'arriva-t-il? Le nombre des grands établissements subit une diminution considérable, et celui des petits augmenta bientôt dans une énorme proportion. La rue SaintHonoré devint insuffitante pour contenir dans ses maisons à pignons historiés les anciens et les nouveaux commerçants. Le trop-plein se déversa d'abord dans la rue Croix-des-PetitsChamps, pour se répandre ensuite dans les quartiers qu'on désigna sous les noms de Mail et de Bonne Nouvelle. Un mot pour indiquer l'origine de cette dernière dénomination. Avant le dix-septième siècle ce quartier qui n'avait que quelques rares habitations était nommé la vile neuve. Il prit rapidement de l'importance, et l'on construisit sous Henri IV une chapelle sous l'invocation de Notre-Dame d Bonne-Nouvelle, en mémoire de l'annonciation de la Vierge Angelus Domini nuntiavit Mariæ... Cette chapelle, démolie en 1793, a été remplacée en 1828 par une nouvelle église qui prit le même nom et qui donna sa dénomination au quartier qu'elle domine. La rue Beauregard où elle est située et la rue Notre-Dame de Bonne-Nouvelle étaient anciennement désignées : Montagne du Moulin. Les trois quarts des maisons des quartiers du Mail et de Bonne-Nouvelle, dans lesquelles on peut dire que le commerce s'est engouffré, sont incommodes et impropres à l'industrie qui les occupe, car elles n'ont pas été bâties pour ce genre d'installation, et aujourd'hui le commerce s'y trouve gêné. Il lui faut à tout prix de l'air et de l'espace, et le prolongement de la rue Réaumur va les lui fournir libéralement. Dès que la trouée sera faite entre la rue Saint-Denis (rue Thévenot) et, la place de la Bourse (angle des rues Notre-Dame-des-Victoires et Joquelet), la voie sera bordée de constructions sinon somptueuses comme sur l'avenue de l'Opéra, du moins largement amé. nagées pour le grand commerce qui s'y établira. Ce prolongement important forme une section qui est de plus de 800 mètres entre la rue Thévenot et les rues Joquelet et Notre Daniedes-Victoires. On annonce que la compagnie des chemins de fer de Paris à la Méditerranée, après avoir fait suivre avec grand soin les expériences poursuivies en Angleterre sur les divers systèmes de freins par le capitaine Galton, va entreprendre sur la ligne une série d'essais de même nature. Dans ce but, on formera deux trains, composés chacun d'une machine et de vingt-quatre voitures, lesquels seront munis l'un du frein Smith-Hardy et l'autre du frein Westinghouse. Le frein Smith est un frein par le vide; le frein Westinghouse est un frein automatique qu: a reçu récemment d'assez grands perfectionnements. D'après les essais da capitaine Galton, on avait obtenu, suivant la vitesse, l'arrêt d'un train après un parcours de 96 à 176 yards; le premier chiffre correspond à une vitesse de 46 milles anglais à l'heure; le second à une vitesse de 62 milles. On prétend que le frein Westinghouse perfectionné permet ces brusques arrêts, sans occasionner aucune secousse au moment de l'arrêt complet, ce qui serait dû à une disposition modifiant automatiquement l'effort exercé par le frein sur chaque roue, suivant la vitesse qui varie depuis le moment où le frein est serré jusqu'à celui où le mouvement cesse. Il sera, dans tous les cas, très intéressant de connaitre ces expériences auxquel-ba les nos voisins s'intéressent d'autant plus que jusqu'à présent les compagnies anglaises n'ont adopté aucun système et que leurs ingénieurs sont très-divisés d'opinion à cet égard. viier: On mande de Saint-Thomas, le 8 fé Le paquebot-poste de la compagnie transatlantique Ville-de-Bordeaux, capitaine Durand, lieutenant de vaisseau, venant de SaintNazaire, est arrivé ici le 5 février et en a relevé le 6 pour la Vera-Cruz et escales. (Havas.) On mande de Saint-Pétersbourg, le 8 février: Une dépêche officielle d'Astrakan, en date du 7, fait ressortir que les médecins et les fonctionnaires de la police continuent de faire leurs efforts pour désinfecter tous les objets suspects et pour centraliser l'exécution des mesures sanitaires. Les maisons où il y a eu des morts et des malades sont désinfectées une seconde fois. On brûle tous les vêtements suspects, et on crée en même temps des cimetières spéciaux pour les victimes de l'épidémie. On munit de médicaments et de moyens de désinfection les endroits populeux. Grâce aux mesures prises, on est sûr de pouvoir localiser complètement l'épidémie. Havas.) - Une publication très-importante vient d'être faite en Espagne par les soins du ministre de l'instruction publique, c'est une collection de lettres de Christophe Colomb et de ses contemporains, ainsi que des rapports adressés, durant le seizième siècle, par les gouverneurs des nouvelles provinces américaines. Les originaux de ces lettres et de ces rapports ss trouvent maintenant dans les archives de l'Etat à Séville. L'ouvrage qui vient d'être publié a pour titre Carlas de India, lettres de l'Inde; il forme un gros volume de 877 feuilles in-folio et contient. les documents suivants, qui sont d'un haut intérêt : 1° Deux autographes de Colomb, adressés en 1502 au roi Ferdinand et à la reine Isabelle, le premier insistant sur la nécessité de mesures propres à augmenter la population de l'ile d'Espanola (Saint-Domingue), le second contenant une dissertation sur l'art de la navigation; 20 Une lettre d'Amerigo Vespuchi au cardinal Ximenes di Caneros, archevêque de Tolède, datée de Séville, 1508, et ayant pour objet des marchandises à envoyer aux Antilles; 3° Deux lettres de Fra Bartolomeo de Las Casas, archevêque de Nicaragua, à l'infant don ་ཏུའུ W 9 Février 1879 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE la voiture qui continue d'avancer, mais on a Filipppo, datées de Gracias à Dios, dans le | la voiture qui continue d'avancer, mais on a soin de déduire le chemin accompli ainsi du Guatemala; chemin à parcourir à pied, tandis qu'on tient compte du temps qui s'est écoulé pendant les quelques minutes de repos ou de sommeil de Weston. 4o Deux lettres de Bernaldo Diaz del Castillo, un des guerriers de la petite armée de Cortès et l'auteur d'une histoire de Mexico; ces deux lettres sont adressées à Charles V, 1552, et à Philippe II, 1558; 5o Des lettres des bacheliers, don Pedro de Gasca et don Christophor Vaca. de Castro, datées de Quito, 1541, et de Cusco, 1542, annonçant à Charles V la mort du marquis Don Pizaro et l'insurrection de Don Diego de Almagro; toutes ces lettres sont très-intéressantes, étant écrites par des témoins oculaires des faits qu'elles racontent; 6o Une lettre très-curieuse de Donna Isabella Quivara, relative au courage remarquable dont les femmes ont fait preuve pendant l'expédition de Cortès, tandis que tous les hommes étaient accablés par la maladie. L'ouvrage contient 652 pages de texte et 225 pages d'un appendice dans lequel nous trouvons: 29 lettres autographes et des rapports de différents personnages historiques; 28 pages autographes de Colomb, de Vespuchi, de Las Casas, de Díaz del Castello, de Ximenes, etc.; une carte de la forteresse dans laquelle les pierres précieuses des Incas ont été trouvées, et enfin des cartes de l'Amazone, de l'archipel des Antilles, du détroit de Magellan, exécutées au seizième siècle. Un spectacle assez rare pour être mentionné a eu lieu le 3 février à Munster (Wesphalie). Une société d'élèves de l'académie a représenté sur le théâtre de cette ville l'OEdipeRoi, de Sophocle, dans le texte grec original. Tous les chœurs ont été parfaitement chantés et les passages à effet ont été déclamés d'une manière tout à fait dramatique. --L'Américain Weston, qui s'est engagé, en Angleterre, à parcourir 2,000 milles en 1,000 heures, et chemin faisant à donner 50 conférences dans les villes qu'il traversera, Weston, disons-nous, continue sa marche. Parti de Londres, ainsi que nous l'avons dit, et ayant visité d'abord les villes du comté de Kent, il s'est dirigé ensuite vers l'ouest de l'Angleterre. De Winchester, où nous l'avons laissé dans les dernières lignes que nous lui avons consacrées, Weston s'est dirigé sur le comté de Devon et la principauté de Cornouailles. Il est resté à Newton Abbot toute la journée de dimanche (26 janvier), ayant parcouru 36 milles de moins qu'il n'avait calculé pour le temps qui s'est écoulé depuis son départ. A minuit cinq, il s'est mis en route ponr Totnès. Après avoir touché à plusieurs bourgs qu'il est inutile de nommer, il est entré à Plymouth, et il y a harangué la foule du haut du balcon d'un hôtel. Il est alié de là à Truro et à Falmouth, où il a fini d'accomplir 502 milles (c'est-à-dire un peu plus du quart de la distance) en 252 heures. Il a pris une heure de sommeil à Plymouth, après quoi il s'est remis en marche, se dirigeant vers Nelston, Il a ensuite traversé Penzance, qui est la ville la plus occidentale de Cornouailles, puis, tournant vers le nord-est, Camborne, Redruth et d'autres localités. Aux derniers avis, il avait parcouru 575 milles depuis son départ de Londres. Weston est accompagné des juges de son pari avee sir John Astley. Ces juges, au nombre de trois, sont dans une sorte d'omnibus. Quand Weston est trop fatigué ou qu'il se sent accablé de sommeil, les juges le reçoivent dans Le réseau des voies ferrées aériennes de New-York se complète chaque jour. Ces railways, construits au-dessus des rues, sur des colonnes ou piliers métalliques, sont actuellement au nombre de deux le Metropolitan Elevated railroad et le New-York Elevated railroad. Ils partent du même endroit, c'est-àdire de la Batterie, point le plus méridional de l'ile de Manhattan, et vont aboutir à son extrémité septentrionale, à Harlem River. Les deux compagnies font exécuter en ce moment des travaux importants dans un grand nombre de rues et d'avenues afin d'étendre leurs lignes. Entre Greenwich street et Broadway, le Metropolitan s'est rendu acquéreur de blocs de maisons d'une valeur d'environ 6 millions de francs pour y établir des remises et des ateliers de réparation; il doit pousser son chemin de manière à entourer la 8 avenue jusqu'à Kingsbridge. D'après le rapport que vient de publier le New-York Elevated, le nombre des voyageurs transportés en 1878 par cette ligne a été de 10,079,625, ainsi répartis : premier trimestre, 932,581, deuxième trimestre, 983,833; troisième trimestre, 2,075,107; quatrième trimestra, 6,088,625. La voie entière, dont le développement actuel dépasse 27 milles, a été achevée jusqu'à Harlem le 30 décembre dernier. Lorsqu'on aura construit l'extension de Chatam square à City Hall, elle aura une longueur totale de 38 milles, c'est-à-dire d'une douzaine de lieues anciennes. Les riverains de ces chemins de fer aériens A la suite de procès qui leur ont été intentés Il a été donné lecture, ces jours derniers, à la section africaine de la société des arts, a Londres, d'un mémoire de M. Cotterill sur la contrée au nord du lac Nyassa, avec des notes sur une récente expédition dans ce pays en compagnie du capitaine Elton. En mars 1877, M. Cotterill se mit en marche dans la direction du Zambèse, pour explorer la route de l'extrémité nord du lac Nyassa à Quiloa; dans le cours de son expédition, il réjoignit la capitaine Elton, consul anglais à Mozambique. Il partit avec lui de Livingstonia et visita la côte orientale du lac dans le bateau à vapeur l'Ilala. Après avoir traversé le Mont-Chombe, haut de 4,000 pieds, les voyageurs se réfugièrent dans un îlot du lac situé à 9.40 degrés de Ils repartirent de là avec cinquante porteurs Après avoir gravi une chaine élevée, les voyageurs eurent devant eux une grande plaine, bornée par une chaine de montagnes que les indigènes appellent les montagnes da Kondi, et qui sont évidemment une continuation vers le nord-ouest des montagnes de Livingstone, bordant les côtes orientales du Nyassa. Plusieurs rivières descendent vers le lac. Les pentes des montagnes sont cultivées et de bestiaux et les fleurs sauvages rappellent la très-belles; la fraicheur de l'air, les troupeaux Suisse. Le pays cependant est infesté de pillards des tribus makanka. L'expédition fut ensuite abandonnée par les un guide, et, après avoir gravi à travers des foporteurs; elle, repartit avec cinq hommes et rêts de bambous, elle passa la chaîne de Kondi, par un défilé à 8,000 pieds d'élévation audessus du niveau de la mer, et elle arriva à un vaste plateau dont l'élévation est de 7,000 virent la grande plaine d'Usangi qui est trapieds. Au delà de ce plateau, les voyageurs Tout le pays était déchiré par la guerre. A versée par le Ruaha et d'autres cours d'eau. l'endroit où ils traversèrent le Ruaha, cette rivière a 100 mètres de large. Après différents incidents et notamment de grandes souffrances causées par la famine, la santé du capitaine Elton ne put résister aux quante heures sans connaissance, il mourut et attaques de la fièvre et, après avoir été cinfat inhumé sous un boabab, dans un village du pays d'Hgogo, à dix milles de la route des caravanes de Zanzibar à Unanyembe. Ayant ainsi perdu son ami, M. Cotterill se décida à rétrograder et, après avoir traversé les l'eau jusqu'au cou, il arriva à Bayamoyo où marécages de Mkata, ayant quelquefois de l'attendait le Vulture, de la marine royale, et il atteignit Zanzibar le dernier jour de février, ayant, en quatre mois et demi, traversé plus pays inexploré. de 1,000 milles, presque constamment dans un - Les journaux belges nous apprennent que M. Stanley, le célèbre explorateur de l'Afrique centrale, a pris part, le 29 janvier, à la conférence de l'Association internationale pour la civilisation de l'Afrique, conférence réunie au palais et présidée par le roi. Une vingtaine de personnes y assistaient. Le roi a retenu les membres de la conférence à déjeuner. M. Stanley serait le chef désigné de la prochaine expédition en Afrique, expédition dans laquelle il serait accompagné de quatre officiers belges. Ces messieurs seraient chargés de créer de nouvelles stations reliant à la côte la colonie que doivent fonder MM. Cambier, Wauthier et Datrieux, aux environs du lac Tanganyika. Ces derniers se trouvent actuellement dans le Mouezi; ils y sont précédés par l'expédition du P. Daplechin et suivis par une expédition française. On lit dans le Globe de Londres: JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Un savant américain vient de mettre en lu tune publique de la France. finances portugaises. Les gains des mière un curieux petit insecte qui, quoique L'insecte a environ un pouce de long et il est de couleur jaune; sa graisse a une teinte jaunâtre brune; elle a une odeur d'huile particulière et sa consistance a quelque analogie avec celle de l'axonge ou du suif, selon la température. Mais son point de fusion est beaucoup plus élevé que celui du beurre, et lorsqu'elle est exposée à une grande élévation, une partie de la matière huileuse s'évaporant, ses conditions se modifient, et elle forme alors une masse compacte mais flexible, gélatineuse, insoluble dans l'huile essentielle de térébenthine, et qui n'est plus attaquable par la chaleur ou le froid, ce qu: la rend précieuse pour le mélange des couleurs, ainsi que pour les laques et vernis. En brûlant ce produit, on obtient une huile résineuse, épaisse, qui possède une force d'adhésion étonnante, à peu près comme la gutta-percha, et qui conserve sa demi-fluidité pendant plusieurs jours. A son état naturel, au moment de la récolte et à une température ordinaire, la graisse du nün est facilement soluble. En dehors de l'usage comme vernis auquel les habitants du Yucatan l'emploient, on dit qu'elle est fort estimée au point de vue médical pour l'usage externe. On suggère divers autres usages auxquels cette substance pourrait être utilement affectée. Elle peut rendre le papier et les tissus imperméables; elle peut être utilisée comme mucilage dans les cas où la glu ou les gommes ne conviennent pas. On dit que cet insecte pullule dans les provinces de l'Amérique centrale, et comme il tire sa nourriture de plantes qui ont ellesmêmes une valeur commerciale, sans leur nuire en aucune façon, sa graisse est appelée à devenir un produit aussi important que la cochenille ou la laque, qui sont fournies par des insectes d'une espèce analogue. Nouvelle-Calédonie, Taïti, Japon, Chine, Ton- Partie commerciale. Partie financière. -- Bureau central météorologique de France. Situation générale au 7 février 1879 Baltique. Une légère hausse a eu lieu dans la Le vent est généralement fort du sud-ouest La température a subi une nouvelle hausse en France; le temps doux et à la pluie va continuer. France Service maritime : Bretagne. Comme la précédente. Méditerranée. siste sur Italie sud (Naples 758). Situation Observations de Paris (parc de Saint-Maur), Heures. 6 février 1879. Départ de Nice, le mercredi 26 février, à trois heures douze du soir. Arrivée à Paris, le jeudi 27 février, à onze heures cinquante du soir. Le nombre des places sera limité. Les voitures du train seront chauffées. On peut se procurer des billets aux prix cidessus indiqués, à partir du 5 février, à la gare de Paris et dans les bureaux succursales de la compagnie. KALLES et MARCHÉS (Bulletin authentique du 8 févr.) 755.28 6.8 6.2 91 S. Hvile de Colza disponible, en tonnes 84 75 daile de Colza épurée, on tonnes 92 75 Huile do Lin, on fats...... 68 25 Huile de Lin, en tonnes.. 20 25 Jacres bruts Titre saccharimétr. 88, non xes, 7/9. 57 50 10/13. 51 50 Everes blancs en poudre, titre no 3.. 61 25 61. Sacres rafinés. - Bonne sorte... Sucres rafinés. Belle sorte... · · Esprit 3/6 disponible, fin, 1r qualité, 39. Seifs de France.. COURS COMMERCIAUX 1 Prix moyon da quintal. 139 50 à 149 50 58 50 84 35 73 1 60 27 50 27 23.26 འ· 2.6 10 10 Farines. 1 qualité. 9 10 6. Choix. l'hoot. 4 32 40 à 3? 10 1* qualité, 31 2032 40 an rayon, 27 69 à 31 20 ? qualité 27 60 1 29 40 10 29 40 à 31 20 26 &toines. Choix, 3 hoet. 28 50 # 39 1 qualite. 27 * 28 11 25 50 à 26 25 maxima, 8o9; 18 75 17.50 16 A 16.50 (2 Supplément) du Gothard; la situation passés et présente gleterre les sociétés coopératives. Inférieure, d5f 772 50 771 25 d10 .. d5f .. dio 9 Février 1875 VALEURS AU COMPTANT PLUA UANTI BAS : .. Nord (Soc. civ. pr rec), t. 500f., t.p. 335 Banque de Algérie, act. 500 fr., t.p. Banque Nouv.-Caléd., a. 500 f., t.p. Banquc ch. d'int. local, a.500 f., 250p. Banque Indo-Chine, a.500 (., 125, p. B. Union Fr.-Belge, a. 500 f., 2501 p. Caisse Lécuyer, actions 500 fr..... Crédit Mob., a. anc.500f.,t.p.(ex-.2) Sous-Coir.Com.et Ind.,a.500 f..125p 410 Crédit rural de Fr.. a. 500ft., 200 p. Sous-Compte des Entrepr. (ex-c. 22), 200 25 198 Cie Franco-Alger., a. 500 fr., 300 f. p. Guilloteaux, Bouron et C. a.500,t.b. Moitessier nev, et Cle, a.500 f.. Comptoir Naud, act. nouv. 100 f., t.p. Société França se financière... Docks et Entr. Havre, a. 1/8000, t.p. Entrepôts libres, P-L-M., a.500 f.,t.p. Halle aux cuirs, act. 500 fr., t.p.... Halles, Marchés Naples, a. 500 f., t.p. Magasins gen.Bordeaux, a.500 f., t.p. Marchés (Comp. gén.), a.500 C,t.p. dio en liq.. 770.. 765. 765 766 25 fin ct... 766 23 767 50 785 767 50 Pe fin c. 440 775 Pa fin c. Po fa p. P. fin p. en liq.. 440 820 din ct... Pin c. en liq.. 100 510 509 t. 100 f 102 102 I. 600 f. 530 3%.... 530 T. 120 fr 107 50 107 50 508 506 500 3. 465 470 465 397 fr. :3 94 75 94 75 de Temple et St-Hon., a. 500 f., t.p. do Chevaux et Fourr., a. 500 f., t.p. Cie da Parc de Bercy, act. 500 f., 1. p. C gén. des Eaux, act. 500 fr., t.p. Eaux banlieue de Paris, a. 500 f., t.p. de de Vichy, a.1/S000, t.p.(ex-c.). Industrie linière (ie), a. 500 f., t.p. Lin Maberly, action 500 fr., t.p.... Pont-Rémy (ex-coup. 22). Gaz Marseille, a. de ouiss. (ex-c. 4). Gaz de Mulhouse, ct. 500 fr., t.p. Gaz (Cie Parisienie), et. de jouiss. 998 75 Gaz (Union), a.500 f.ftior, fresc,top. (63) Ahun (Houillères d'). act. de 1/300. L'Arborèse, a.500 f., t.p. (en liquid.). L'Aveyron (Soc. nouv.), a. 500 f., t.p. Belmez (houil. et métal.),a.500 f., t.p. Mines de Béthune, a. de 1/18000,t.p. Houillères de la Haute-Loire.... Epinac (Mines et Chemins de fer d'). d10 Graigola Merthyr (Cieh.),a.500 f.,t.p. 410 S-Eloi (Houillères de), a.1/600, t.p. Mines Basse-Loire, act. 500 r., t.p. Mines Campagnac, a. 1,000 r., p. Mines Carmaux, act. 500 fr., t.p.. d10 Mines Grand-Combe, act. 1/24000. Mines de Huelva, a. de cap. r. 250 f. Mines d Huelva, act. de jouissance. Mines Laurium, act. 500 fr., t. p... 686 Mines de la Loire.. d10 d10 Mines de Saint-Étienne.... ... ... Peau 15 Peau 28 107, 70BÁPOJE ET COMPTES COURANTS (80) uělé del action 500 fr.. 125 fr. p. 608 75 657 50 670 eat. 78. 80CITÉ FINANCIERA DE PARIS, aet. Pea en lig.. ..au 15. Pe at 15 ... d5f et. 78. 500 fr. 250 fr. payés (ex-coup, n°12). 491 25 483 75 490 SOCIÉTÉ GÉNÉRALE pour le dévelop pement du commerce et de l'industrie on Francs, act de 500 tr., 250 tr. payán.. 475 75 477 50 478 75 477 50 au 15.. en liq.. 491 au 15 (any. 79 BANQUE FRANCO-ÉGYPTIENNE, act. de 500 fr., 250 fr. payés (ex-coup. n. 3. de Grosses coupures...... fên. 75 BANQUE FRANCO - HOLLANDAISE, • act. 500 fr., 250 fr. payés (ex-coup. no 1). &::::::: Pe au 15 Peau 15 d5f d5f ... daf d5f d10 d10 543 50 537 50 535 en liq.. au 15.. 437 50 Mines de Montrambert.................. Pe au 15 d5f en liq.. ::: ... d5f ast. 78. 580 687 50 683 75 685 ..en liq.. fin ct... 681 25 P An c. en liq.. 1097 50 1095 ..1100..1098 75 P. in c. in ct... ..en liq.. fin ct... ::: d5f d5f 1385 Pe fin c. .... en liq.. 541 25 516 25 541 25 Pe in c. fin ct... 1192 50.... Pe fin c.... 812 50 828 75 833 75 833 75 P. fin p. Janv. 79 NORD, action de 500 fr, libérée, r. 400 fr.. 1385 set. 78. ORLÉANS, action de 500 fr., tout payé... 1192 50 1190..1192 50 1190 août 78. ORLEANS A CHALONS.—Annultés dues par l'Etat, P.... (Impôts à la charge de la Comple) eet. 78. QUEST, action do 500 fr., tent payé............. 'any. 77 VENDÉE, act. 500 fr., t. p. (6X«6. no 24). Juill. 65 SAINT-OUEN (Chemin de fer et Docks), act. 500 fr., lont payé (en liquidation). DOCKS ET ENTREPOTS MARSEILLE, act. 500 fr., tout payé (ex-coup, no 10).. anv. 79 ENTREPOTS ET MAGASINS DÉNÉR. DE PARIS, 4. 1/31000, t.p. (ex-a. •?). Til 75 ALLUMETTES CHIMIQUES (C génér. de), action de 500) tr., 225 tř. payés... 41.78 COMPAGNIE PARISIENING DU GAL, action de 250 tr., tout payé... fin ct... 1385 an ct... ... .. .... .. d20 ..au 31... ... 465 ... en liq.. ... 760 .. P. fin c. .. d20 ..en liq.. An ct... 490 ... ... 100 123 75 565 95 555 ..Jen liq.. au 15... en lig.. Mines Malfidano, act. 500 fr., t.p... 600 Mines Malfidane act. de jouissance. d10 Mines Mokta-el-Hadid,a.500 f.,400 p. Mines Mokta-el-Hadid, a. 500 f., t.p St-Elie (Gisem. d'or d), a. 500 f.,t.p. d10 Mines de Santander et Quiros... Mines de Soumah, a. 500 fr., 375 f. p. Mines de Soumah, a.nouv., 250 f. p. 310 Vallenar (min. arg.), a. 500 f., 250 p. Alais (Forges et Fonderies d'). Cailet Cie (Scc. nouv.). a. 500 fr., t.p. Châtillon et Commentry (Forges de). Fives-Lille, act. 500 fr., t.p... 590 d10 Hauts-fourn., Forges et Aciéries do la Mar. et Ch. de fer, a.500 fr., t.p. Liverdun (Forges de), a. 500 fr., t.p. d10 Océan (Chant. et Atel.), a. 500 f., t.p. Bateaux à vap. omnibus, a. 500 f., t.p... Chargeurs réun.(Cie fr.), a.500 f.,t.p. dió Cie génér. des Omnibus, a. 500 f., t.p. 1350 Cie génér. des Cmnibus, a. de jouiss. 860 Voitures à Paris, act. de jouissance. 410 Touage B Seine et Oise,a. 500 f..t.p. Touage de Conflans, act. 500 fr., t.p. Transports maritimes, a. 500 fr., t.p. Valery (Ce marit.), act. 500 fr., t.p. Société Chameroy, a. 500 fr..., t.p.... *** Cotons, etc.,Algériens, a. 500 fr., t. p. d10 Deux-Cirques, act. 200 fr., t.p.... Etablissements Duval, a. 500 fr., t.p. 745 Etablissem. Maletra, a. 500 fr., t.p. Le Figaro, a. 62 fr. 50, t. p...... Soc. gen. Forest., etc., a. 500 fr., t.p. d10 Glacières de Paris, act. 500 fr., t.p. Lits militaires, action 500 fr., t.p. 120 Matériel.ch. de fer (Cie), a. 500 f., t.p. 700 Pantographie Voltaique,a. 500 f., t.p. 390 Raffineries Nantaises, a. 500 fr., t.p.) Salins du Midi, a. 500 fr. t p...... Télégr. s-mar.fr.-angl.,a.500 f., t.p. dio VidangesetEng.(Cie),a.500f.,2501.p. 596 25 590 an 15... 565 Peau 15 56 410 ... Pau 31 457 30 455. 323 7a 321 25 452 50 440 en liq.. 320 40 31.. en lig.. au 15.. 320 Pe an 15 1297 30 en la.. d5r Charentes, 3%, remb, 509 fr. 40 39 75 au 15.-1300 Peau 45 1300 1295 1236 25 Charentes, Bons 6%, remp 250 fr. 40 420 .. Fan 28 420 dio Eat Algérien."...SPOT (TBL). 331 75 330 |