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à dégager une action dramatique des ingénieuses combinaisons du roman. Le prologue, si pittoresque avec son auberge alicienne, les amours de Samuel et de la petite Kasia, l'odeur du kwas répandue et flottant sur tout ce peuple en grandes bottes et bonnets d'astrakan noir, a la couleur et l'animation d'une page de Sacher-Masoch; mais les proportions données à ce préambule, la solennité dont on entoure les débuts de Samuel, laissent supposer à ceux qui n'ont pas lu le livre que le jeune Brohl est destiné à devenir quelque chose d'extraordinaire et non pas un de ces vulgaires coureurs de dot qui rabattent dans les salons de conversation, sur les plages, aux tables d'hôte, de compte à demi avec un bon tailleur.

Dans le roman, le type est très-fouillé, très-curieux, de cet industriel aux allures byroniennes, de ce lyrique marchand de lorgnettes, dont la correspondance d'Henri Heine pourrait donner vaguement l'idée; mais au théâtre, cette physionomie si compliquée ne sort pas, comme on dit, et nous assistons pendant cinq actes aux plats agissements d'un aventurier qui

s'est affublé d'un nom et d'un titre d'emprunt pour surprendre la fortune et le cœur de Mile Moriaz. Un seul cri vraiment humain, un seul élan vraiment dramatique en ces cinq actes, c'est le cri, c'est l'indignation de l'exaltée jeune fille quand elle apprend le nom du gredin qu'elle allait épouser. Me Julien, une débutante que nous avions déjà vue et applaudie dans Joseph Balsamo, traduit avec une rare éloquence le désespoir de cotte pauvre enfant, dont le roman s'écroule en plein ruisseau. La voix est bonne, la figure expressive, trop expressive même, car l'actrice a le toit de souligner chacune de ses paroles d'un jeu de physionomie correspondant. Rien n'est fatigant à regarder comme ce papillottement du visage qui enlève au langage sa simplicité, au sentiment toute sa force, et vous montre à chaque tournant de phrase la comédienne étudiant ses mines devant

un miroir.

Ce défaut rectifié, Mlle Julien pourra compter comme une de nos premières ingénues dramatiques. Mile Antonine, dans son personnage de grande dame russe, est d'une spirituelle et joyeuse effronterie. Comme elle vous lorgne son jeune Moujik avec quelle expérience de maquignon elle se fait détailler ses performances! Le rôle est dangereux et dur; mais elle l'enveloppe, elle l'entortille dans tant de grâce, de coquetterie et de belle humeur! Nous aimons moins la façon dont Mile Picard joue la romanesque gouvernante d'Antoinette. Il est vrai qu'un type aussi convenu, d'un comique purement littéraire, doit être bien difficile à habiller et à faire vivre. Et Samuel Brohl, quel rôle lourd à porter! M. Marais donne à l'aventurier une physionomie originale et saisissante, avec ses yeux longs remontés vers les tempes, sa pâleur orientale, son visage énigmatique, fermé et dur comme un galet. Malheureusement l'énigme n'a pas de mot, et c'est un simple filou qui se cache sous ce masque romantique que le comédien a le tort de ne pas soulever quelquefois.

| exemple, ces airs de Madgyar pour nous | caniche, qui secoue des perles et des
dire qu'il a été portefaix dans sa jeunesse fondants, très-fier d'être tutoyé du régis-
et qu'il saurait commander le respect seur et de s'entendre dire par les machi-
rien qu'avec l'aide de ses deux poings? nistes: « Lève-toi de là, la grande Bis-
Il faudrait ici, au contraire, un geste, une
Il faudrait ici, au contraire, un geste, une que!» Il y a aussi le maire adjoint Mont-
intonation qui trahit l'ancien Samuel, fit désir, qui comprime si drôlement avec
craquer le drap fin de sa redingote serrée son écharpe de magistrat municipal ses
à la taille. Porel, le brillant, l'incisif Po- douleurs et ses transes de directeur de
rel, joue cette fois un bon garçon, un peu théâtre, figure bien parisienne que le
balourd, qui l'oblige à éteindre la malice comédien Montbars anime et conges-
de son rire et ne lui permet guère d'utili- tionne de la façon la plus plaisante; le
ser ce joli geste d'avant bras avec lequel vicomte de Champ-d'Azur, très-finement
l'habile diseur envoie les mots comme des joué par M. Guillemot; Lambertier, le
palets par dessus la rampe. Deux amu- mari-Janus, dont M. Calvin nous dessine
santes silhouettes: celle du père Brohl fort habilement la double face. Qui en-
au prologue, et un vieux guide, tout per- core? Eh, parbleu! Me Legault, la débu-
clus et craquant de rhumatismes, que M. tante, qui chante « la petite Poularde » à
Tousé accroupit spirituellement devant le grands cris et à grands bras, mais dont le
feu, avec un sourire hébété de bien-être talent gracieux et fin nous semblait bien
et de lassitude.
plus à sa place dans le cadre du Gym-
nase et ces rôles de demi-teinte où nous
l'avons si souvent applaudie.

M. Meilhac n'a pas été long à prendre une revanche de son échec de l'Odéon. Le Mari de la débutante, qu'il vient de faire jouer au Palais-Royal en collaboration avec Ludovic Halévy, a beaucoup réjoui le public, surtout pendant les trois premiers actes. On s'est montré un peu froid pour le dernier, qui, cependant, vaut bien les autres, s'il ne vaut pas mieux, mais qui a le tort de commencer une nouvelle pièce, le Mari de la diva, plus originale, plus cruelle aussi que le Mari de la débutante. Et puis il est si bon, si touchant ce pauvre Lambertier, le mari de Nina; il est si fier qu'elle ait consenti à vivre avec un petit employé comme lui, au lieu de monter dans les carrosses de M. le vicomte de Champ-d'Azur; son désespoir est si vrai, si sincère lorsqu'il voit sa Ni̟nette demi-nue débiter et mimer des grivoiseries à la foule; il escalade la scène avec une telle colère d'honnête homme, que, ma foi, nous avons tous fini par prendre sa peine au sérieux; et c'a été une désillusion véritable lorsque le rideau s'est levé au quatrième acte sur le ménage de la diva, de trouver dans Lambertier non plus un amoureux, non plus un mari, mais une sorte de « gentlemanfarmer» qui exploite le talent et la beauté de sa femme comme une terre de produit.

En somme, il y avait un drame, et un beau drame, dans ce sujet où MM. Meilhac et Halévy n'ont voulu voir qu'un vaudeville; et c'est parce qu'il a compris cela vaguement que le public s'est senti gêné devant certaines scènes et, sans qu'il s'en doutât, plus près des larmes que du rire. La pièce aura malgré tout beaucoup de succès. Les auteurs de la Boule et de FrouFrou n'en ont jamais écrit de plus parisienne, de mieux observée. L'acte de la mairie vaut les meilleures inventions de Labiche, et dans sa galerie de bourgeois importants et sots il n'en a pas de mieux campé, de plus creux et de plus irrémédiablement fêlé que M. le comte Escarbonnier, sous-directeur de la compagnie des comptes aléatoires. Si la bêtise humaine n'était pas incurable, l'admirable satire que fait Geoffroy de la solennité administrative en délivrerait pour toujours nos bureaux. Lhéritier est délicieux dans le banquier Biscarat, un habitué des coulisses qu'on voit gambader et frétiller derPourquoi Samuel Brohl prend-il, parrière les portants avec un air ahuri de bon

« Racine assurément ne peut être comparé à Corneille pour le génie dramatique. Il n'aime ni ne connaît la politique et la guerre. Quand il imite Corneille, par exemple dans Alexandre et même dans Mithridate, il l'imite assez mal. La scène si vantée de Mithridate exposant son plan de campagne à ses fils est un morceau de la plus belle rhétorique qui ne peut entrer en parallèle avec les scènes politiques et militaires de Cinna, de Sertorius, surtout avec cette première scène de la Mort de Pompée, où vous assistez à un conseil aussi vrai, aussi grand, aussi profond, que l'a jamais pu être aucun des conseils de Richelieu ou de Mazarin. Racine n'était pas né pour peindre les héros. Ainsi parle Victor Cousin dans une de ses plus éloquentes leçons, dont le souvenir nous hantait l'autre soir pendant la représentation de Mithridate à la Comédie-Française. Eh! oui, certainement, Racine ne sait pas peindre les héros, et son vieux roi de Pont, non plus que Pharnace ou Xipharès, ne nous émeuvent guère, malgré les beaux élans de M. MounetSully. Mais Racine a su peindre Monime, et cette délicieuse figure, la plus pure, la plus vraiment femme de tout le répertoire, fera vivre éternellement l'œuvre didactique et morne où elle s'encadre, tant qu'il y aura sur la scène française une Clairon ou une Sarah Bernhardt capable de sentir et de rendre le charme, la mesure, la sonorité délicate de ce rôle admirable de la première à la dernière ligne et l'un de ceux que Rachel no tenait pas. Grâce à Monime et à son éloquente interprète, la reprise de Mithridate a enthousiasmé le public et nous-même, malgré le souvenir de la dixième leçon

de Cousin.

Les matinées internationales attirent toujours beaucoup de monde au théâtre de la Gaîté. Celle d'hier dimanche était particulièrement intéressante; on y donbait le Phormion, de Térence, traduit ou plutôt adapté à la scène française par un poète habile et érudit, M. Jacques Normand, qui a fait précéder sa pièce d'un prologue spirituellement dit par Mile Marie Dumas. En voici quelques vers fort applaudis:

Laissez, ô spectateurs, sur les ailes du réve
S'envoler votre esprit, grisé d'illusion,
Vers les temps et les lieux où notre Phormion
Eut, la première fois, les honneurs de la scène.
Pour le Tibre aux flots jaunes abandonnez la
Oubliez un moment Paris, votre cité, Seine,
Pour Rome, pour ses dieux et son éternité.
Et tenez... nous voilà dans le théâtre antique
Sur le proscenium, couronné d'un portique,
Faisant naître le rire ou les pleurs tour à tour.
Les acteurs vont bientôt apparaître en plein jour;
Au lieu d'un dôme en plâtre et d'un ciel en pein-
[ture,
Le grand ciel bleu tapisse une large ouverture;
Le soleil verse à flots ses rayons tamisés
Par des velums de soie artistement posés.
Sur les gradins de pierre une foule idolâtre
Iaonde les contours d'un vaste amphithéâtre...

Entendre cela à deux heures de l'aprèsmidi, dans une salle étouffée de monde, aveuglante de faux or, de poussière et de gaz, avec des trombes d'eau qui vous guettent à la sortie... Ah! ces poètes sont quelquefois d'une cruauté !

ALPHONSE DAUDET.

Préfecture du département de la Seine

ÉTAT SANITAIRE DE LA VILLE DE PARIS

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Le marché est abondamment fourni en issues de blé, et les cours sont très-bas comme suit gros sons, de 13 25 à 13 fr. 50; sons trois cases, de 12 fr. 75 à 13 fr. 25; sons fins, de 12 fr. 50 à 12 fr. 75; recoupettes, de 12 fr. 50 à 13 fr. 50; remoulages, de 17 à 19 fr., suivant blancheur.

Avec un bon courant d'affaires, les graines fourragères valent, par balle de 100 kilogr.: trèfle violet, de 90 à 100 fr.; dito, de choix, de 105 à 115 fr.; trèfle blanc, de 140 à 160 fr.; trèfle hybride, de 140 à 160 fr.; luzerne de Provence, de 120 à 130 fr.; de choix, de 135 à 145 fr.; de Poitou, de 90 à 110 fr.; d'Italie, de 120 à 125 fr.; minette, de 38 à 45 fr.; ray-grass anglais, de 40 à 45 fr.; dito d'Italie, de 38 à 42 fr.; vesces de printemps, de 19 à 21 fr.; sainfoin à une coupe, les 50 kilog., de 16 à 17 fr.; sainfoin à deux coupes, de 17 à 18 fr.

Les légumes secs ont une vente facile aux BULLETIN AGRICOLE & COMMERCIAL prix ci-contre: haricots flageolets, de 75 à

119 fr. l'hectolitre 1/2; de pays, de 40 à 45 fr.; Soissons, de 62 à 64 fr.; Liancourt, de 52 à Les apports en blé commencent à deveni 54 fr.; gros pieds, de 40 à 41 fr.; nains, de plus importants sur les marchés de l'intérieur, 35 à 38 fr.; suisses blancs, de 41 à 42 fr. ; sans qu'il en résulte pourtant un mouvementr suisses rouges, de 42 à 41 fr.; Chartres, de sensible de reprise dans les transactions. Les 44 à 45 fr.; cocos roses, de 34 à 39 fr.; cocos affaires ont donc été très-calmes cette se- blancs, de 40 à 42 fr.; plats du Midi, les 100 maine, et sur la plupart des places les prix kilogr., de 28 à 32 fr., suivant grosseur; lensont restés sans changements. Ils ont été très-tilles, de 40 à 60 fr.; pois ronds, de 27 à 29 fr.

Population (recensement de 1876), 1,988,806 hab. fermes à la Halle de mercredi à Paris. On a coté les blés indigènes de 23 à 27 fr. 50 les 100 k. en gare de Paris; les blés étrangers, de 25 50 à 26 fr. 50, sur wagon au Havre.

Pendant la semaine finissant le 6 février, on a déclaré 1,026 décès: soit 26.8 décès par mille habitants et pour l'année

Fièvre typhoïde.... 12 Affections puerpe-
Rougeole.......

9 rales....

3

Scarlatine...

5 Erysipele...

3

Variole......

Croup...

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7 Autres affections aiguës.......

242

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464

Pneumonie.....

98

dont 162 dues à la

Diarrhée cholérif

phthisie pulmon".

19 Affections chroni

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Affections chirurgicales..

50

Causes accidentell" 29
Certifié :

Le médecin de la préfecture Dr J. WORMS. Renseignements sur quelques autres villes.

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Sur le marché libre, on fait : février, de 26 fr. 50 à 26 fr 75; mars, 26 fr. 75; marsavril, de 26 fr. 75 à 27 fr.; mai-juin, de 27 à 27 fr. 25; quatre mois de mai, de 27 fr. 25. Mêmes cours qu'il y a huit jours pour les farines de consommation: marque D, 59 fr.; marque T, 60 fr.; autres marques, de 56 à 58 fr. La cote des farines de commerce est de 59 fr. 50 pour les huit-marques, et de 56 fr. 75 pour les farines supérieures.

Les seigles sont bien tenus au cours de 16 à 16 fr. 50 les 100 kilogr., en gare de Paris. Pas de changement sur les orges; elles restent au taux de 19 à 20 fr. 50, suivant qualité. Avec des offres un peu moins rares, les escourgeons se cotent de 18 fr. 50 à 19 fr. 50. Baisse de 50 centimes sur les sarrasins. Les provenances de Sologne, valent de 15 fr. 25 à à 15 fr.; celles de Bretagne, de 15 fr. 50 à 16 fr.

En avoines, les belles qualités sont fermes. On paye avoines noires de choix, de 18 fr. 50 à 19 fr.; bonnes qualités noires, de 18 à 18 fr. 50; avoines grises, de 16 fr. 75 à 17 fr. 50; avoines étrangères, de 16 à 17 fr. Scarlatine, 33. 50. Le tout aux 100 kilog., entrée en sus.

Population: 3,620,868.

1821 26.2 Diphthérie, 14. Population: 1,049,554.

janvier. | 540 | 27.3

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Scarlatine, 9. Diphthérie, 30. Population : 737,285.

janvier. | | 421 29.7 Scarlatine, 6.

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Diphthérie, 21

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Au marché du boulevard de l'Hôpital, du 5 février, les cours des fourrages ont été établis comme suit pour la 1re qualité: foin, de 49 à 51 fr. les 500 kilog.; luzerne, de 46 à 48 fr.; regain de luzerne, de 42 à 44 fr.; paille de blé, de 30 à 32 fr.; paille de seigle, de 28 à 30 fr.; paille d'avoine, de 24 à 26 fr.

Voici les prix qui ont été pratiqués le même jour au marché de la Chapelle: foin, de 47 à 49 fr.; luzerne, de 43 à 45 fr.; regain de luzerne, de 41 à 43 fr.; paille de blé, de 29 à 31 fr.; paille de seigle, de 26 à 28 fr.

Enfin au dernier marché de Charenton, on a payé foin, de 48 à 50 fr.; luzerne, de 45 à 47 fr.; regain de luzerne, de 39 à 41 fr.; paille de blé, de 31 à 33 fr.; paille de seigle, de 27 à 29 fr.; paille d'avoine, de 23 à 25 fr.

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On paye les riz par 100 kilogr. brisures, de 31 à 38 fr.; Rangoon, de 37 à 44 fr.; Pégu, de 35 à 40 fr.; Piémont, de 50 à 60 fr.; Java, de 70 à 85 fr.; Bassein glacé, de 47 à 55 fr.; Caroline d'Europe, de 53 à 72 fr.

La situation des fécules reste ce qu'elle était la semaine dernière. Les fécules de l'Oise et du rayon de Paris ne dépassent pas le taux de 35 fr. 50 à 36 fr. dans l'Oise, et de 37 à 37 fr. 50 à Paris. L'article est pareillement en baisse dans les Vosges.

Abondammant offerts et peu demandés par la consommation : les sirops se cotent: premier blanc de cristal, de 53 à 55 fr.; sirop massé de fécule, 40 degrés, de 46 à 48 fr.; sirop massé de maïs, 40 degrés, de 44 à 45 fr.; sirop liquide, 33 degrés, de 39 à 40 fr.; ordinaire, de 40 à 41 fr. Le tout aux 100 kilogr., droits de 11 fr. 44 en sus.

Les amidons sont calmes et valent: pains de Paris, de 80 à 38 fr.; pains de province, de 70 à 75 fr.; briques d'Alsace, de 60 à 62 fr.; amidons de maïs, de riz et autres, de 55 à 70 fr.

On constate une hausse marquée sur l'huile de colza. Les derniers cours sont ceux-ci par 100 kilogr. nets, fût compris, en entrepôt : disponible et février, 82 fr.; mars, 83 fr.: avril, 83 fr. 75; quatre mois chauds, de 33 fr. 75 à 84 fr.; quatre derniers de 85 fr. 75 à 86 fr.

L'huile de lin est sans variation sensible et ferme aux prix suivants : disponible et février, 68 fr. 25; mars de 68 fr. 75 à 69 fr.; avril, de 69 à 70 fr.; quatre mois chauds, 70 fr. 50; quatre derniers, 70 fr. 50.

Voici la dernière cote de Lille huile de colza disponible, 76 fr. 25 l'hectolitre; la même, épurée, 82 fr. 25; huile de lin de pays disponible, 64 fr.; huile de lin étrangère, 61 fr. 75.

A Rouen, les cours de l'huile de colza s'établissent ainsi par 100 kilogr.: disponible et courant du mois, 80 fr. 50; mois prochain, 81 fr.; mois suivant, 83 fr.; quatre mois chauds, 83 fr. 75; quatre derniers, 86 fr.

A la Bourse de Paris, la baisse des alcools continue. En disponible et sur février, l'article

n'est plus qu'à 58 fr. 50. On cote: mars-avril, 58 fr. 25; mai-aôut, 57 fr. 50; mélasse disponible, de 12 fr. 50 à 12 fr.; à livrer sur 1879, de 12 à 11 fr. 50.

Sur le marché de Lille, la cote officielle du trois-six de betterave ne dépasse pas 58 fr.

Les cours des sucres n'ont pas varié sensiblement cette semaine à Paris. La dernière ctoe officielle accuse: titre 88 degrés saccharimétriques 7-9, de 57 fr. 75 à 57 fr. 50; dito, dito, 10-13, 51 fr. 50; blanc type no 3, de 61 fr. 25 à 61 fr.; raffinés bonne sorte, 139 fr. 50; belle sorte, 140 fr. 50; certificat de sortie, de 74 fr. 75 à 75 fr.; mélasse de fabrique, 12 fr. 25; mélasse de raffinerie, 14 fr. 25.

En commerce, on cote: 7-9 disponible, de 57 fr. 75 à 57 fr. 50; 10-13, 51 fr. 50; blanc n° 3, février, 61 fr. 50; mars, de 61 fr. 75 à 61 fr. 50; mars-avril, de 61 fr. 87 à 61 fr. 75; quatre mois de mai, de 62 fr. 50 à 62 fr. 25; quatre mois d'octobre, de 61 fr. 25 à 61 fr. Les raffinés se soutiennent dans les prix de

139 fr. 50 à 140 fr. 50.

Le nombre des animaux de boucherie qui figuraient au marché de la Villette, le 6 février dernier, était de 21,060 et se répartis ait de la manière suivante: 2,341 benfs; 452 vaches; 109 taureaux, 869 veaux; 12,933 moutons, 4,356 porcs.

Voici les prix qui ont été pratiqués: bœufs, de 1 fr. 35 à 1 fr. 80 le kilogamme; vaches, de 1 fr. 14 à 1 fr. 68; taureaux, de

1 fr. 28 à 1 fr. 56; veaux, de 1 fr. 70 à 2 fr. 35; moutons, de 1 fr. 50 à 2 fr. 20; porcs gras, de 1 fr. 10 à 1 fr. 32; porcs maigres, de 1 fr. à

1 fr. 10.

A la vente à la criée des viandes, on a payé par kilogr. boeuf ou vache, quart de derrière, de 1 fr. 04 à 1 fr. 80; quart de devant, de 0 fr. 90 à 1 fr. 60; aloyau, de 1 fr. 10 à 2 fr. 26; basse boucherie, de 0 fr. 26

à 1 fr. 30.

Veau, 1r qualité, de 1 fr. 98 à 2 fr. 26 ; 2o qualite, de 1 fr. 58 à 1 fr. 96; 3 qualité, de 1 fr. 20 à 1 fr. 56; pan, cuissot, de 1 fr. 40 à 2 fr. 40.

Mouton, 1 qualité, de 1 fr. 72 à 1 fr. 86; 2. qualité, de 1 fr. 36 à 1 fr. 70; 3° qualité, de 1 fr. 10 à 1 fr. 34; gigots, carrés, de 1 fr. 50 à 2 fr. 70.

Les quantités de viandes adjugées dans ces différentes ventes ont été de 49,528 kilogr.

Le dernier marché des suifs frais fondus de la boucherie de Paris a été signalé par une nouvelle baisse de 1 fr. sur cette sorte, comme sur le suif de boeuf de la Plata. La cote du premier a été fixée à 84 fr., et celle du second à 90 fr.

Cette baisse des matières premières influe naturellement sur les produits fabriqués dont les cours se traduisent ainsi : stéarine de saponification, de 139 à 143 fr.; stéarine de distillation, de 135 à 140 fr.; oléine de saponifica tion, de 80 à 81 fr.; oléine de distillation, de 71 à 71 fr. 50; petits suifs, de 72 à 75 fr.; suifs d'os purs, de 74 à 76 fr.; suifs en branches, 63 fr.; huile de palme, de 83 à 92 fr.; huile de coco, de 100 à 115 fr.; palmistes, 96 fr.; saindoux, 84 fr.

Suivant la Halle aux cuirs, les marchés aux laines ont été un peu moins mouvementés que la précédente semaine, non pas que les demandes aient été moins actives en laines peigaées, mais parce que les offres étaient tellement basses qu'elles rendaient les transactions presque impossibles.

Voici le prix moyen des peignés qui ont été payés en laines fines de Brie ou de Beauce:

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Les peignés Sydney et Zélande se sont vendus de 7 fr. 50 à 7 fr. 65.

Les blousses sans défauts, d'Australie, sont toujours recherchées pour Elbeuf, dans les prix de 4 fr. 25 à 4 fr. 75. Il s'en est traité quelques lots à Roubaix en qualité croisées.

Les peignés provenance de pelures commen-
cent à se redemander, principalement pour le

Santerre. On les a vendus sur la base de 5 fr.
40 c. à 5 fr. 50 les bas-fins en laines un peu
courtes, et sur celle de 5' fr. 75 à 5 fr. 80, lai-
nes à mèches plus longues.

Les détenteurs de laines brutes sont tou-
jours peu visités; leur stock est encore assez
important, surtout en qualité de laines croi-
sées. Celles provenant de Tours sont princi-
palement abondantes et offertes à très bas-
prix.

En ce qui concerne les écorces et tans, les marchés connus dans le Berry sont faits aux conditions' suivantes :

1° Un lot de 500,000 kilog. environ, divisé en plusieurs lots de plusieurs âges, jusqu'à 26 ans, a été vendu à 100 fr. les 1,040 kilog.

rendus ;

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6° Il y a enfin de petits lots de 10 à 20,000 kilos de 16 à 18 ans, vendus soit 90 et 95 fr. pris au bois, ou 100 à 105, rendus les 1,040 kilos.

En présence de ces marchés, il est à supposer que, s'il y a quelques petits lots vendus à 92 fr., c'est pris au bois. Tous ces marchés pour taillis pur, de 16 à 26 ans, conditions usuelles.

La Halle aux cuirs ajoute :

d'Isigny en mottes, fin 1er, de 5 à 7 fr. le kilogr.; dito, fin 2o, de 4 fr. à 4 fr. 80; dito, courant, de 2 fr. 50 à 3 fr.; Gournay, fin 1er, de 4 fr. 50 à 5 fr. 25; dito, fin 2o, de 3 fr. 80 à 4 fr.; dito, courant, de 2 fr. 50 à 3 fr.; petits beurres, de 1 fr. 70 à 2 fr. 70; en demikilog., de 2 fr. 20 à 4 fr.; beurre salé et fonda, de 0 fr. 70 à 1 fr. 12.

Fromages de Brie, la dizaine, de 10 fr. 95 à 50 fr.; Montlhéry, de 9 à 12 fr.; Neuchâtel, le cent, de 8 à 30; Livarot, de 37 à 89 fr.; Mont-Dore, de 22 à 30 fr.; fromages divers, de 7 à 127 fr.

CEufs de choix, le mille, de 117 à 125 fr.; ordinaires, de 72 à 119 fr.; petits œufs, de 60 à 62 fr.

Pommes de terre, Hollande, de 11 à 13 fr. l'hectolitre; jaunes de 8 à 9 fr.

Le marché aux vins de Bercy est pour le moment au grand calme. Voici, d'après l'Echo agricole, les prix auxquels on vend couramment 'depuis une quinzaine :

Vins du Midi. - Montagne, 1er choix, 15 degrés, de 40 à 42 fr. l'hectolitre; 2° choix, de 37 à 38 fr.; Narbonne, 1er choix,de 43 à 45 fr.; 2o choix, de 40 à 42 fr.; Roussillon, 1er choix, 15 degrés de 52 à 55 fr.; 2e choix, de 50 à 52 fr.

Vins du Centre.

Cher, la pièce de 245 litres, 1er choix, de 96 à 100 fr.; bons ordinaires, de 90 à 95 fr.; Basse - Bourgogne, bonne qualité, le muid de 265 litres, de 95 à 98 fr.; petites qualités, de 90 à 95 fr. Vins vieux. Bordeaux, la pièce de 223 litres, bon ordinaire, de 145 à 170 fr.; qualité ordinaire de 135 à 145 fr.; Mâcon, la pièce de 214 litres bon ordinaire, de 160 à 185 fr.; qualité ordinaire, de 145 à 160 fr. Le tout en entrepôt, droits d'octroi en sus pour Paris.

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On paye les vins de soutirage, dans Paris, c'est-à-dire droits compris : 1er choix, 165 fr.; 2 choix, de 160 à 165 fr.; et de 158 à 160 fr. les qualités ordinaires.

Paris Lyon-Méditerranée.

Train de plaisir de Paris à Marseille et à Nice. Un jour de séjour à Marseille; quatre jours à Nice. Prix du voyage, aller et retour 60 francs en 2 classe; 44 francs en 3. classe.

A l'occasion des fêtes du carnaval de Nice, la compagnie des chemins de fer de Paris à Lyon et à la Méditerranée organise un train de

Il a été acheté plusieurs lots du Berry 95 fr. plaisir dans les conditions suivantes : en très-belles écorces.

Dans la Nièvre, nous connaissons des marchés très - importants faits à 90 fr. les 1,040 kilos, avec 5 p. 100 en plus de surtaillis, écorces rendues sur wagon ou en voiture aux usines: ce qui n'empêche point qu'il en ait été payé à 85 fr. et même à moins, nous assure-t-on. Il y a des lots qui offrent, en raison de leur situation, des avantages qui peuvent se chiffrer par 5, 6 et même 10 fr.

En Bourgogne, nous citions un marché fait 140 fr. les 104 bottes. Depuis on pourrait acheter à 130 fr., paraît il, et ce qui est certain c'est qu'on en a vendu déjà à 135 fr. les 104 bottes de 140 de tour sur 1m15 de long, prises en gare.

Il n'y a plus de cours pour les tans de la place. On les cote suivant provenance et qualité de 90 à 120 fr. les 1,040 kilos.

Aux Halles centrales de Paris, on paye les denrées de consommation ménagère beurre

Aller.

Départ de Paris, le jeudi 20 février, à neuf heures du matin.

Arrivée à Marseille, le vendredi 21 février, à neuf heures quinze.

Départ de Marseille, le samedi 22 février, à onze heures quarante.

Arrivée à Nice, le samedi 22 février, à six heures du soir.

Retour.

trois heures douze du soir.
Départ de Nice, le mercredi 26 février, à

Arrivée à Paris, le jeudi 27 février, à onze heures cinquante du soir.

Le nombre des places sera limité. Les voitures du train seront chauffées.

On peut se procurer des billets aux prix cidessus indiqués, à partir du 5 février, à la gare de Paris et dans les bureaux succursales de la compagnie.

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TRUFFES DU PÉRIGORD

La maison Laforest, de Périgueux (Dordogne), se recommande à l'attention des gourmets pour ses volailles, gibiers, pâtés de foie gras et autres produits traffés dont elle a la spécialité.

Cette maison, qui a obtenu en 1864 le premier prix à l'exposition régionale de Férigueux, tient sans conteste le premier rang. Son usine à vapeur, établie sur un très-grand pied, lui permet de satisfaire, dans le plus bref délai, à toutes les commandes. Ainsi, elle est à même de fournir, dans les vingt-quatre heures, chapons, poulardes, dindes et toutes pièces dé gibier truffées. Elle a aussi un approvisionnement considérable de toutes les conserves alimentaires, petits pois, asperges, haricots verts,

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CAPITAL 12,000,000 DE FRANCS EN 24,000 ACTIONS DE 500 FR. Constituée par actes chez Me Segond, notaire à Paris

CONSEIL D'ADMINISTRATION

Président M. WELCHE, C., ancien ministre
MM.
MM.

BAUDOUIN DE MORTE

MART, O. .
TERME, ancien consul

de France.
LEON SAVARY. propriét.
Le bardn DES FORETS, an-

GOUDCHAUX conseiller
municipal de Paris.
BUCHOT, ancien préfet,
CHOPPIN D'ARNOUVILLE,
administrateur de l'an-
cienne C des Message-
ries parisiennes.

cien officier des naras.
Directeur, M. A. CAMILLE AINE, de la Société
Urbaine (Camille et C1)

Emission de 5,000 Actions

DE LA SOCIÉTÉ FRANÇAISE & ITALIENNE DES HOUILLÈRES DE DOMBROWA

SOCIÉTÉ ANONYME FRANÇAISE

Au capital de six millions de francs Divisé en 12,000 actions libérées et souscrites, Constituée par acte passé devant Me PERARD, notaire à Paris, en date du 31 décembre 1878. Les Houillères de Dombrowa sont aujourd'hui en pleine exploitation.

L'extraction atteint dès maintenant 250,000 tounes par an, et s'élèvera graduellement, sous peu d'années, au chiffre prévu de 500,000 à 600,000

tonnes.

La vente est assurée par des traités avantageux, et, pour les excédants non retenus d'avance, par les besoins sans cesse croissants de la clientèle courante.

Une brochure contenant un exposé détaillé de cette magnitique entreprise est envoyée gratis sur demande,

Sur les bénéfices nets, les actionnaires reçoivent un dividende de 6 0/0, net d'impôt Le surplus, déduction faite de la rétribution des administrateurs, est employé au remboursement des actions, qui seront, par conséquent, rapidement amorties.

Toute action remboursée est remplacée par une action de jouissance.

Prix d'Emission: 552 fr. 50 par Action

PAYABLES

152 f. 50 en souscrivant et 400 f. à la répartition ON SOUSCRIT

LE JEUDI 20 FEVRIER A PARIS: A la Maison de Banque et de Commission I. KOLISCH, 1, rue du DANS, LES DÉPARTEQuatre Septembre. MENTS: Chez tous les Banquiers et Agents de change, ses Correspondants.

On peut souscrire dès maintenant par lettre chargée. Les souscripteurs peuvent aussi verser le montant au crédit du compte de chèques de la M" I. KOLISCH

copes. à l'huile et en nature, champignons de 13,400 Actions dé 500 francs DANS TOUTES LES AGENCES & SUCCURSALES

couches en boîte, etc., etc.

Quant à la qualité de ses produits et aux soins qu'il apporte à leur préparation, M. Laforest ne craint sous ce rapport aucune comparaison. It tient à maintenir intact l'honneur de son blasoa, sur lequel il a fait inscrire en lettres d'or cette alléchante devise:

A LA TRUFFE DU PÉRIGORD Adresser les commandes à l'usine Laforest, rue Traversière-Saint-Martin, 12, à Périgueux (Dordogne),

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Formations, medifications, dissolutions de société, Formations. Cellier et Beaugolin, bronzes, r. Vieille-du-Temple, 20. (Acte s. s. p., 15 janv.) C des gaz de l'Ouest, ville d'Orbec, etc., r. La val, 14. (Acte s. s. p, 30 déc.)

Rouard et Rigelot, farines, r. Babille, 6. (Acte s. s. p, 21 janv.)

Wagner et C, agence maritime, r. d'Hauteville, 62. (Acte s. s. p., 23 janv.)

Debitte et C, vins, etc., q. d'Ivry, 14. (Acte s. s. p, 10 janv.)

Grouet et Bouchinet, distillerie, r. de la Glacière. 95. (Acte s. s. p., 30 déc.)

Jeandel et C, chaussures, r. Palikao, 26. (Acte s. sp., 5 janv.)

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AU

Entièrement libérées. Jou ssance 1er ja vier 1879
Sont mises à la disposition du public
PRIX DE 517 FR. 50

PAYABLES

100 fr. en souscrivant. 417 fr. 50 à la répartition. Coupons de dividende payables les 1er janvier et 1" juillet

La Compagnie Parisienne de Pelites Voitures et Messageries est la réunion d'entreprises dont la prospérité est de notoriété publique :

La C de Voitures l'Urbaine (Camitte et C). La C anonyme des Messageries Parisiennes. Les Transports des Abattoirs de Paris. Les Voitures de l'Urbaine (chapeaux blancs) jouissent de la préférence du public.

Les Messageries Parisiennes ont constam ment distribue a leurs actionnaires des dividendes de près de 9 0/0

Le Service des Transports des Abattoirs de la Ville de Paris est affermé à une Société d'Exploitation, moyennant le prix de 120,000 francs par an, pendant 60 ans.

ÉVALUATION DES BÉNÉFICES

Le rendement net des Voitures, des Messageries et du Service des Abattoirs peut être évalué à 1.327.090 francs par an. (Voir le Prospectus.) SOIT 11.05 0/0 DU CAPITAL SOCIAL

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Des travaux à exécuter pour la construction de bâtiments et usines destinés à compléter la poudrerie, montant à 392,570 fr. 91.

Le lundi 20 février 1879, à une heure et demie de relevée, il sera procédé à la mairie de Sevran (Seine-et-Oise), à Tadjudication publique, en un seul lot, sur soumissions cachetées, des travaux de construction de bâtiments et usines, évalués comme il suit:

Terrassements généraux et travaux
d'appropriation....
Maçonnerie de toute espèce..
Pavage et bitumago..
Charpente....

Couverture, plomberie et zingage.
Menuiserie..
Serrurerie

Peinture et vitrerie.....

Ensemble........

54.430 74 185.721 25 16.853 68

38 364 66

23.495 17

30.139 85

28.405 04

14.960 52

392.370 91

Les entrepreneurs qui désireront soumission

per pourront prendre connaissance des plans, Sevran-Livry, dans le bureau de l'agent spécial, devis et cahiers des charges à la poudrerie de riés, de huit heures à onze heures du matin et de tous les jours, excepté les dimanches et jours féune heure à cinq heures du soir. Sévran-Livry, le 20 janvier 1879.

Le sous-intendant militaire,

E. CAHEN.

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F. M. MAHON la peau, des chev. De 1-à 5 h.

r. du Havre,7. Sp.des guér. de

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DEPARTEMENTALE & COMMUNALE LOIS, DÉCRETS & JURISPRUDENUS CONSEIL D'ÉTAT. COUR DE CASSATION. DECISIONS ET CIRCULAIRES MINISTÉRIELLES Publication spéciale pour les Conseils généraux les Conseils municipaux et le Personnel administratif. Deuxième édition, revue, corrigée et considérablement augmentée.. Ouvrage honoré de la souscription de st. le Ministre de l'intérieur.

Un volume grand in-4 à 3 colonnes, avec le nouvORE Supplément. Prix: br., 18 fr.; rel., 22 B.

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