Chrestomathie française du XIXe siècle, Volume 1Payot & cie, 1902 - French literature |
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... regrette et qu'il aime ; Extrait des Poèmes et Poésies . Ces vers sont de 1817 ; ils ont certes une belle allure et de la profondeur . Hors de lui - même , ici porté de toutes PIERRE LEBRUN 11 PIERRE LEBRUN 11 HEREFOR8855833 L'océan.
... regrette et qu'il aime ; Extrait des Poèmes et Poésies . Ces vers sont de 1817 ; ils ont certes une belle allure et de la profondeur . Hors de lui - même , ici porté de toutes PIERRE LEBRUN 11 PIERRE LEBRUN 11 HEREFOR8855833 L'océan.
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... aime l'image , L'habit qu'il y portait , il le revêt encor ; Il a mis ses éperons d'or Pour le dernier combat et le dernier voyage . Ces yeux , ces traits éteints , ce front creux et plombé , D'une mort domestique ont donc subi l'injure ...
... aime l'image , L'habit qu'il y portait , il le revêt encor ; Il a mis ses éperons d'or Pour le dernier combat et le dernier voyage . Ces yeux , ces traits éteints , ce front creux et plombé , D'une mort domestique ont donc subi l'injure ...
Page 22
... aime à flétrir la palme des poètes , Tandis qu'il mûrit les poisons ! N'invoquez pas les flots des fontaines sacrées ; Ils brûlent tôt ou tard les lèvres inspirées Pour qui semblaient couler leurs dons ! N'invoquez pas les dieux ; ils ...
... aime à flétrir la palme des poètes , Tandis qu'il mûrit les poisons ! N'invoquez pas les flots des fontaines sacrées ; Ils brûlent tôt ou tard les lèvres inspirées Pour qui semblaient couler leurs dons ! N'invoquez pas les dieux ; ils ...
Page 33
... aime ! FALIERO Toi que j'ai tant aimée , ELÉNA Sans espoir , de remords consumée , Je vivrai , si je puis , je vivrai pour souffrir . FALIERO Songe à ces malheureux qui viennent de périr ; Veille sur leurs enfants dont je plains la ...
... aime ! FALIERO Toi que j'ai tant aimée , ELÉNA Sans espoir , de remords consumée , Je vivrai , si je puis , je vivrai pour souffrir . FALIERO Songe à ces malheureux qui viennent de périr ; Veille sur leurs enfants dont je plains la ...
Page 52
... aimé ! » Le coquillage au bord de la mer 1 . Quand tes beaux pieds distraits errent , ô jeune fille , Sur ce sable mouillé , frange d'or de la mer , Baisse - toi , mon amour , vers la blonde coquille Que Vénus fait , dit - on , polir au ...
... aimé ! » Le coquillage au bord de la mer 1 . Quand tes beaux pieds distraits errent , ô jeune fille , Sur ce sable mouillé , frange d'or de la mer , Baisse - toi , mon amour , vers la blonde coquille Que Vénus fait , dit - on , polir au ...
Contents
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Chrestomathie Française Du Xixe Siècle: Prosateurs (Classic Reprint) Henri Sensine No preview available - 2017 |
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Common terms and phrases
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Popular passages
Page 220 - La Nature est un temple où de vivants piliers Laissent parfois sortir de confuses paroles ; L'homme y passe à travers des forêts de symboles Qui l'observent avec des regards familiers.
Page 51 - O temps ! suspends ton vol ! et vous, heures propices, Suspendez votre cours ! Laissez-nous savourer les rapides délices Des plus beaux de nos jours!
Page 498 - O qui dira les torts de la Rime? Quel enfant sourd ou quel nègre fou Nous a forgé ce bijou d'un sou Qui sonne creux et faux sous la lime?
Page 220 - Voici venir les temps où vibrant sur sa tige Chaque fleur s'évapore ainsi qu'un encensoir ; Les sons et les parfums tournent dans l'air du soir ; Valse mélancolique et langoureux vertige ! Chaque fleur s'évapore ainsi qu'un encensoir ; Le violon frémit comme un cœur qu'on afflige ; Valse mélancolique et langoureux vertige ! Le ciel est triste et beau comme un grand reposoir.
Page 48 - Souvent sur la montagne, à l'ombre du vieux chêne, Au coucher du soleil, tristement je m'assieds ; Je promène au hasard mes regards sur la plaine, Dont le tableau changeant se déroule à mes pieds.
Page 151 - Regrettez-vous le temps où le ciel sur la terre Marchait et respirait dans un peuple de dieux ; Où Vénus Astarté, fille de l'onde amère, Secouait, vierge encor, les larmes de sa mère, Et fécondait le monde en tordant ses cheveux...
Page 166 - Les plus désespérés sont les chants les plus beaux, Et j'en sais d'immortels qui sont de purs sanglots.
Page 221 - Quand le ciel bas et lourd pèse comme un couvercle Sur l'esprit gémissant en proie aux longs ennuis, ( . , Et que de l'horizon embrassant tout le cercle II nous verse un jour noir plus triste que les nuits...
Page 49 - Que me font ces vallons, ces palais, ces chaumières, Vains objets dont pour moi le charme est envolé? Fleuves, rochers, forêts, solitudes si chères, Un seul être vous manque, et tout est dépeuplé...
Page 51 - S'envolent loin de nous de la même vitesse Que les jours de malheur? Hé quoi ! n'en pourrons-nous fixer au moins la trace? Quoi! passés pour jamais? quoi! tout entiers perdus? Ce temps qui les donna, ce temps qui les efface, Ne nous les rendra plus?