Chrestomathie française du XIXe siècle, Volume 1Payot & cie, 1902 - French literature |
From inside the book
Results 1-5 of 84
Page viii
... Chants du pays , M. A. Imer - Cuno et à M. Hebmann , directeur de la maison Payot & Cie , qui m'ont beaucoup facilité la revision de ce volume . Lausanne , décembre 1901 . HENRI SENSINE . CLASSIFICATION DES AUTEURS ET TABLE DES MATIÈRES ...
... Chants du pays , M. A. Imer - Cuno et à M. Hebmann , directeur de la maison Payot & Cie , qui m'ont beaucoup facilité la revision de ce volume . Lausanne , décembre 1901 . HENRI SENSINE . CLASSIFICATION DES AUTEURS ET TABLE DES MATIÈRES ...
Page xi
... chant de l'esclave III . Les derniers romantiques . SECOND EMPIRE ( 1850-1870 . ) Pages 153 160 162 167 168 168 170 172 173 173 174 176 176 179 179 183 184 185 186 187 188 188 189 192 192 193 196 DE LAPRADE ( VICTOR ) Vers l'idéal La ...
... chant de l'esclave III . Les derniers romantiques . SECOND EMPIRE ( 1850-1870 . ) Pages 153 160 162 167 168 168 170 172 173 173 174 176 176 179 179 183 184 185 186 187 188 188 189 192 192 193 196 DE LAPRADE ( VICTOR ) Vers l'idéal La ...
Page xix
... 673 674 675 Le silence Chant de guerre . Tristesses d'autrefois Larmes refoulées Chansons roumaines 675 676 La cloche pour les morts . 677 677 678 678 ( POÈTES ) I Derniers classiques et semi - romantiques CLASSIFICATION ET TABLE XIX.
... 673 674 675 Le silence Chant de guerre . Tristesses d'autrefois Larmes refoulées Chansons roumaines 675 676 La cloche pour les morts . 677 677 678 678 ( POÈTES ) I Derniers classiques et semi - romantiques CLASSIFICATION ET TABLE XIX.
Page 4
... chant de douleur . Le poète mourant1 . : Le poète chantait de sa lampe fidèle S'éteignaient par degrés les rayons pâlissants ; Et lui , prêt à mourir comme elle , Exhalait ces tristes accents : « La fleur de ma vie est fanée ; Il fut ...
... chant de douleur . Le poète mourant1 . : Le poète chantait de sa lampe fidèle S'éteignaient par degrés les rayons pâlissants ; Et lui , prêt à mourir comme elle , Exhalait ces tristes accents : « La fleur de ma vie est fanée ; Il fut ...
Page 5
... chants imparfaits recueillez l'héritage , Et sauvez de l'oubli quelques - uns de mes vers . Et vous par qui je meurs , vous à qui je pardonne , Femmes ! vos traits encore à mon œil incertain S'offrent comme un rayon d'automne , Ou comme ...
... chants imparfaits recueillez l'héritage , Et sauvez de l'oubli quelques - uns de mes vers . Et vous par qui je meurs , vous à qui je pardonne , Femmes ! vos traits encore à mon œil incertain S'offrent comme un rayon d'automne , Ou comme ...
Contents
333 | |
339 | |
346 | |
355 | |
366 | |
396 | |
417 | |
426 | |
168 | |
179 | |
188 | |
198 | |
214 | |
223 | |
232 | |
249 | |
256 | |
264 | |
282 | |
307 | |
316 | |
325 | |
432 | |
445 | |
461 | |
477 | |
511 | |
526 | |
537 | |
544 | |
550 | |
559 | |
568 | |
575 | |
583 | |
Other editions - View all
Chrestomathie Française Du Xixe Siècle: Prosateurs (Classic Reprint) Henri Sensine No preview available - 2017 |
Chrestomathie Française Du Xixe Siècle: Prosateurs (Classic Reprint) Henri Sensine No preview available - 2017 |
Common terms and phrases
ailes aime âme amour baiser beau blanche bleu bois bras brise bruit chant charme ciel cieux cœur Critiques à consulter CYRANO d'or deuil Dieu divin dormez douce douleur doux éditeur ELÉNA enfant éternel étoiles Eugène Rambert Euvres à lire Extrait des Poèmes FALIERO fleurs flots frémissant frisson front Gérald gloire Hélas HÉLÈNE VACARESCO Henri Warnery HERNANI j'ai jour joyeux Jules Lemaître l'air l'âme l'amour l'azur l'homme l'horizon l'ombre là-bas Leconte de Lisle littéraire lointain main Marino Faliero mère MICHEL CONSTANTIN monde Montfleury mort mourir neige noble noir nuit œuvres ombre OTBERT pâle parfums parnassiens passe pensée père peuple Philippe Godet pieds plaine pleurs poésie poète poétiques qu'un rayons regard rêve rien romantisme roses Sainte-Beuve sang sanglots Seigneur sent seul soir soleil sombre souffle Sully Prudhomme symbolisme terre tombe tombeau tremble triste vague vent Victor Hugo vieux Virgile Rossel Voici voiles voix yeux ZEUS
Popular passages
Page 220 - La Nature est un temple où de vivants piliers Laissent parfois sortir de confuses paroles ; L'homme y passe à travers des forêts de symboles Qui l'observent avec des regards familiers.
Page 51 - O temps ! suspends ton vol ! et vous, heures propices, Suspendez votre cours ! Laissez-nous savourer les rapides délices Des plus beaux de nos jours!
Page 498 - O qui dira les torts de la Rime? Quel enfant sourd ou quel nègre fou Nous a forgé ce bijou d'un sou Qui sonne creux et faux sous la lime?
Page 220 - Voici venir les temps où vibrant sur sa tige Chaque fleur s'évapore ainsi qu'un encensoir ; Les sons et les parfums tournent dans l'air du soir ; Valse mélancolique et langoureux vertige ! Chaque fleur s'évapore ainsi qu'un encensoir ; Le violon frémit comme un cœur qu'on afflige ; Valse mélancolique et langoureux vertige ! Le ciel est triste et beau comme un grand reposoir.
Page 48 - Souvent sur la montagne, à l'ombre du vieux chêne, Au coucher du soleil, tristement je m'assieds ; Je promène au hasard mes regards sur la plaine, Dont le tableau changeant se déroule à mes pieds.
Page 151 - Regrettez-vous le temps où le ciel sur la terre Marchait et respirait dans un peuple de dieux ; Où Vénus Astarté, fille de l'onde amère, Secouait, vierge encor, les larmes de sa mère, Et fécondait le monde en tordant ses cheveux...
Page 166 - Les plus désespérés sont les chants les plus beaux, Et j'en sais d'immortels qui sont de purs sanglots.
Page 221 - Quand le ciel bas et lourd pèse comme un couvercle Sur l'esprit gémissant en proie aux longs ennuis, ( . , Et que de l'horizon embrassant tout le cercle II nous verse un jour noir plus triste que les nuits...
Page 49 - Que me font ces vallons, ces palais, ces chaumières, Vains objets dont pour moi le charme est envolé? Fleuves, rochers, forêts, solitudes si chères, Un seul être vous manque, et tout est dépeuplé...
Page 51 - S'envolent loin de nous de la même vitesse Que les jours de malheur? Hé quoi ! n'en pourrons-nous fixer au moins la trace? Quoi! passés pour jamais? quoi! tout entiers perdus? Ce temps qui les donna, ce temps qui les efface, Ne nous les rendra plus?