Chrestomathie française du XIXe siècle, Volume 1Payot & cie, 1902 - French literature |
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... chemin de vie Promenade d'automne . JEAN MOREAS . Maintenant Etrennes de Doulee Le retour . Sylve XV . FRANCIS VIELE - GRIFFIN , Pour rêver Ces heures - là Celle qui passe L'étape Diptyque . FRANCIS JAMMES Le vieux village . Le village ...
... chemin de vie Promenade d'automne . JEAN MOREAS . Maintenant Etrennes de Doulee Le retour . Sylve XV . FRANCIS VIELE - GRIFFIN , Pour rêver Ces heures - là Celle qui passe L'étape Diptyque . FRANCIS JAMMES Le vieux village . Le village ...
Page 11
... chemin où nul deux fois ne passe Tout souvenir de l'homme incessamment s'efface . Le passé sur nos pas ne saurait y venir ; Cet immense domaine est tout à l'avenir . L'homme ailleurs , malgré lui , replié sur lui - même , Se reporte aux ...
... chemin où nul deux fois ne passe Tout souvenir de l'homme incessamment s'efface . Le passé sur nos pas ne saurait y venir ; Cet immense domaine est tout à l'avenir . L'homme ailleurs , malgré lui , replié sur lui - même , Se reporte aux ...
Page 30
... chemin . FALIERO Au revoir dans le ciel , mon vieux compagnon d'armes ! Jusqu'à ton dernier jour , toi , qui fus sans alarmes , Sois sans remords ! Il se lève . Avant de subir ton arrêt , Embrasse ton ami ... ISRAEL Mon prince ...
... chemin . FALIERO Au revoir dans le ciel , mon vieux compagnon d'armes ! Jusqu'à ton dernier jour , toi , qui fus sans alarmes , Sois sans remords ! Il se lève . Avant de subir ton arrêt , Embrasse ton ami ... ISRAEL Mon prince ...
Page 42
... chemin . Vingt fois pourtant , on me verrouille Dans les cachots , de par le roi ; De mon seul bien on me dépouille . Vieux vagabond , le soleil est à moi . Le pauvre a - t - il une patrie ? Que me font vos vins et vos blés , Votre ...
... chemin . Vingt fois pourtant , on me verrouille Dans les cachots , de par le roi ; De mon seul bien on me dépouille . Vieux vagabond , le soleil est à moi . Le pauvre a - t - il une patrie ? Que me font vos vins et vos blés , Votre ...
Page 43
... chemin , Honneur au fou qui ferait faire Un rêve heureux au genre humain ! Qui découvrit un nouveau monde ? Un fou qu'on raillait en tout lieu . Sur la croix que son sang inonde , Un fou qui meurt nous lègue un Dicu . Si demain ...
... chemin , Honneur au fou qui ferait faire Un rêve heureux au genre humain ! Qui découvrit un nouveau monde ? Un fou qu'on raillait en tout lieu . Sur la croix que son sang inonde , Un fou qui meurt nous lègue un Dicu . Si demain ...
Contents
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Chrestomathie Française Du Xixe Siècle: Prosateurs (Classic Reprint) Henri Sensine No preview available - 2017 |
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Common terms and phrases
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Popular passages
Page 220 - La Nature est un temple où de vivants piliers Laissent parfois sortir de confuses paroles ; L'homme y passe à travers des forêts de symboles Qui l'observent avec des regards familiers.
Page 51 - O temps ! suspends ton vol ! et vous, heures propices, Suspendez votre cours ! Laissez-nous savourer les rapides délices Des plus beaux de nos jours!
Page 498 - O qui dira les torts de la Rime? Quel enfant sourd ou quel nègre fou Nous a forgé ce bijou d'un sou Qui sonne creux et faux sous la lime?
Page 220 - Voici venir les temps où vibrant sur sa tige Chaque fleur s'évapore ainsi qu'un encensoir ; Les sons et les parfums tournent dans l'air du soir ; Valse mélancolique et langoureux vertige ! Chaque fleur s'évapore ainsi qu'un encensoir ; Le violon frémit comme un cœur qu'on afflige ; Valse mélancolique et langoureux vertige ! Le ciel est triste et beau comme un grand reposoir.
Page 48 - Souvent sur la montagne, à l'ombre du vieux chêne, Au coucher du soleil, tristement je m'assieds ; Je promène au hasard mes regards sur la plaine, Dont le tableau changeant se déroule à mes pieds.
Page 151 - Regrettez-vous le temps où le ciel sur la terre Marchait et respirait dans un peuple de dieux ; Où Vénus Astarté, fille de l'onde amère, Secouait, vierge encor, les larmes de sa mère, Et fécondait le monde en tordant ses cheveux...
Page 166 - Les plus désespérés sont les chants les plus beaux, Et j'en sais d'immortels qui sont de purs sanglots.
Page 221 - Quand le ciel bas et lourd pèse comme un couvercle Sur l'esprit gémissant en proie aux longs ennuis, ( . , Et que de l'horizon embrassant tout le cercle II nous verse un jour noir plus triste que les nuits...
Page 49 - Que me font ces vallons, ces palais, ces chaumières, Vains objets dont pour moi le charme est envolé? Fleuves, rochers, forêts, solitudes si chères, Un seul être vous manque, et tout est dépeuplé...
Page 51 - S'envolent loin de nous de la même vitesse Que les jours de malheur? Hé quoi ! n'en pourrons-nous fixer au moins la trace? Quoi! passés pour jamais? quoi! tout entiers perdus? Ce temps qui les donna, ce temps qui les efface, Ne nous les rendra plus?