Chrestomathie française du XIXe siècle, Volume 1Payot & cie, 1902 - French literature |
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... 'heures que j'ai passées à lire et à étu- dier à fond les prosateurs , les poètes et leurs critiques , j'ai vu pour ainsi dire s'épanouir devant mes yeux la fleur de la civilisation française . Tout ce que le génie français PREFACE VII.
... 'heures que j'ai passées à lire et à étu- dier à fond les prosateurs , les poètes et leurs critiques , j'ai vu pour ainsi dire s'épanouir devant mes yeux la fleur de la civilisation française . Tout ce que le génie français PREFACE VII.
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Henri Sensine. la civilisation française . Tout ce que le génie français a produit de meilleur dans ce siècle - ci , il m'a été donné de le savourer longuement et j'ai goûté , malgré les difficultés et les fatigues du labeur , des ...
Henri Sensine. la civilisation française . Tout ce que le génie français a produit de meilleur dans ce siècle - ci , il m'a été donné de le savourer longuement et j'ai goûté , malgré les difficultés et les fatigues du labeur , des ...
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... génie lamar - ` tinien . Danaé1 . La nuit règne ; les vents assiègent en furie La nef où Danaé va , dans la sombre mer , Périr avec son fils , le fils de Jupiter ! Danaé de ses bras l'environne , et s'écrie : « Nous ne reverrons plus ...
... génie lamar - ` tinien . Danaé1 . La nuit règne ; les vents assiègent en furie La nef où Danaé va , dans la sombre mer , Périr avec son fils , le fils de Jupiter ! Danaé de ses bras l'environne , et s'écrie : « Nous ne reverrons plus ...
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... Génie de l'homme , est cependant un effort sérieux vers la haute poésie philosophique ; ses descriptions du monde et ses dévelop- pements métaphysiques ont parfois la grandeur et l'amplitude des meil- leures pages de Buffon . Dans ses ...
... Génie de l'homme , est cependant un effort sérieux vers la haute poésie philosophique ; ses descriptions du monde et ses dévelop- pements métaphysiques ont parfois la grandeur et l'amplitude des meil- leures pages de Buffon . Dans ses ...
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... première , Enflamme les forêts , les monts et les déserts , Brille , et se multiplie en flottant sur les mers , Extrait du Génie de l'homme ( 1807 ) . Je crois voir de Dieu même , au sein de 6 CHRESTOMATHIE FRANÇAISE Le soleil.
... première , Enflamme les forêts , les monts et les déserts , Brille , et se multiplie en flottant sur les mers , Extrait du Génie de l'homme ( 1807 ) . Je crois voir de Dieu même , au sein de 6 CHRESTOMATHIE FRANÇAISE Le soleil.
Contents
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Chrestomathie Française Du Xixe Siècle: Prosateurs (Classic Reprint) Henri Sensine No preview available - 2017 |
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Common terms and phrases
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Popular passages
Page 220 - La Nature est un temple où de vivants piliers Laissent parfois sortir de confuses paroles ; L'homme y passe à travers des forêts de symboles Qui l'observent avec des regards familiers.
Page 51 - O temps ! suspends ton vol ! et vous, heures propices, Suspendez votre cours ! Laissez-nous savourer les rapides délices Des plus beaux de nos jours!
Page 498 - O qui dira les torts de la Rime? Quel enfant sourd ou quel nègre fou Nous a forgé ce bijou d'un sou Qui sonne creux et faux sous la lime?
Page 220 - Voici venir les temps où vibrant sur sa tige Chaque fleur s'évapore ainsi qu'un encensoir ; Les sons et les parfums tournent dans l'air du soir ; Valse mélancolique et langoureux vertige ! Chaque fleur s'évapore ainsi qu'un encensoir ; Le violon frémit comme un cœur qu'on afflige ; Valse mélancolique et langoureux vertige ! Le ciel est triste et beau comme un grand reposoir.
Page 48 - Souvent sur la montagne, à l'ombre du vieux chêne, Au coucher du soleil, tristement je m'assieds ; Je promène au hasard mes regards sur la plaine, Dont le tableau changeant se déroule à mes pieds.
Page 151 - Regrettez-vous le temps où le ciel sur la terre Marchait et respirait dans un peuple de dieux ; Où Vénus Astarté, fille de l'onde amère, Secouait, vierge encor, les larmes de sa mère, Et fécondait le monde en tordant ses cheveux...
Page 166 - Les plus désespérés sont les chants les plus beaux, Et j'en sais d'immortels qui sont de purs sanglots.
Page 221 - Quand le ciel bas et lourd pèse comme un couvercle Sur l'esprit gémissant en proie aux longs ennuis, ( . , Et que de l'horizon embrassant tout le cercle II nous verse un jour noir plus triste que les nuits...
Page 49 - Que me font ces vallons, ces palais, ces chaumières, Vains objets dont pour moi le charme est envolé? Fleuves, rochers, forêts, solitudes si chères, Un seul être vous manque, et tout est dépeuplé...
Page 51 - S'envolent loin de nous de la même vitesse Que les jours de malheur? Hé quoi ! n'en pourrons-nous fixer au moins la trace? Quoi! passés pour jamais? quoi! tout entiers perdus? Ce temps qui les donna, ce temps qui les efface, Ne nous les rendra plus?