Chrestomathie française du XIXe siècle, Volume 1Payot & cie, 1902 - French literature |
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... porte dans mon sein le poison qui me tue : Changerai - je de sort en changeant de soleils ? J'entends .... ma fin prochaine en sera moins amère ; Mes amis , il suffit je suivrai vos conseils , Et je mourrai du moins dans les bras de ma ...
... porte dans mon sein le poison qui me tue : Changerai - je de sort en changeant de soleils ? J'entends .... ma fin prochaine en sera moins amère ; Mes amis , il suffit je suivrai vos conseils , Et je mourrai du moins dans les bras de ma ...
Page 40
... porte : J'ouvre . Bon Dieu ! c'était lui , Suivi d'une faible escorte ! Il s'assoit où me voilà , S'écriant : Oh ! quelle guerre ! Ob quelle guerre ! - Il s'est assis là , grand'mère ! Il s'est assis là ! J'ai faim , dit - il ; et bien ...
... porte : J'ouvre . Bon Dieu ! c'était lui , Suivi d'une faible escorte ! Il s'assoit où me voilà , S'écriant : Oh ! quelle guerre ! Ob quelle guerre ! - Il s'est assis là , grand'mère ! Il s'est assis là ! J'ai faim , dit - il ; et bien ...
Page 45
... porte . Et , vers le ciel se frayant un chemin , Ils sont partis en se donnant la main . Pauvres enfants ! de fantômes funèbres Quelque nourrice a peuplé vos esprits ; Mais un Dieu brille à travers nos ténèbres , Sa voix de père a dù ...
... porte . Et , vers le ciel se frayant un chemin , Ils sont partis en se donnant la main . Pauvres enfants ! de fantômes funèbres Quelque nourrice a peuplé vos esprits ; Mais un Dieu brille à travers nos ténèbres , Sa voix de père a dù ...
Page 57
... porte avec amour ! Brises d'aurore 1 . D'où venez - vous , ô vous , brises nouvelles , Pleines de vie et de parfums si doux ? Qui de ces monts palpitants comme nous Faites jaillir au seul vent de vos ailes 1 Extrait de Jocelyn ...
... porte avec amour ! Brises d'aurore 1 . D'où venez - vous , ô vous , brises nouvelles , Pleines de vie et de parfums si doux ? Qui de ces monts palpitants comme nous Faites jaillir au seul vent de vos ailes 1 Extrait de Jocelyn ...
Page 59
... porte du chemin , Soutenant sur mon cœur ma mère à demi morte ; Et dans le moment même où la secrète porte Se fermait doucement sous la main de ma sœur , J'entendis les enfants du nouveau possesseur , Sortant de la maison en joyeuse ...
... porte du chemin , Soutenant sur mon cœur ma mère à demi morte ; Et dans le moment même où la secrète porte Se fermait doucement sous la main de ma sœur , J'entendis les enfants du nouveau possesseur , Sortant de la maison en joyeuse ...
Contents
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Chrestomathie Française Du Xixe Siècle: Prosateurs (Classic Reprint) Henri Sensine No preview available - 2017 |
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Common terms and phrases
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Popular passages
Page 220 - La Nature est un temple où de vivants piliers Laissent parfois sortir de confuses paroles ; L'homme y passe à travers des forêts de symboles Qui l'observent avec des regards familiers.
Page 51 - O temps ! suspends ton vol ! et vous, heures propices, Suspendez votre cours ! Laissez-nous savourer les rapides délices Des plus beaux de nos jours!
Page 498 - O qui dira les torts de la Rime? Quel enfant sourd ou quel nègre fou Nous a forgé ce bijou d'un sou Qui sonne creux et faux sous la lime?
Page 220 - Voici venir les temps où vibrant sur sa tige Chaque fleur s'évapore ainsi qu'un encensoir ; Les sons et les parfums tournent dans l'air du soir ; Valse mélancolique et langoureux vertige ! Chaque fleur s'évapore ainsi qu'un encensoir ; Le violon frémit comme un cœur qu'on afflige ; Valse mélancolique et langoureux vertige ! Le ciel est triste et beau comme un grand reposoir.
Page 48 - Souvent sur la montagne, à l'ombre du vieux chêne, Au coucher du soleil, tristement je m'assieds ; Je promène au hasard mes regards sur la plaine, Dont le tableau changeant se déroule à mes pieds.
Page 151 - Regrettez-vous le temps où le ciel sur la terre Marchait et respirait dans un peuple de dieux ; Où Vénus Astarté, fille de l'onde amère, Secouait, vierge encor, les larmes de sa mère, Et fécondait le monde en tordant ses cheveux...
Page 166 - Les plus désespérés sont les chants les plus beaux, Et j'en sais d'immortels qui sont de purs sanglots.
Page 221 - Quand le ciel bas et lourd pèse comme un couvercle Sur l'esprit gémissant en proie aux longs ennuis, ( . , Et que de l'horizon embrassant tout le cercle II nous verse un jour noir plus triste que les nuits...
Page 49 - Que me font ces vallons, ces palais, ces chaumières, Vains objets dont pour moi le charme est envolé? Fleuves, rochers, forêts, solitudes si chères, Un seul être vous manque, et tout est dépeuplé...
Page 51 - S'envolent loin de nous de la même vitesse Que les jours de malheur? Hé quoi ! n'en pourrons-nous fixer au moins la trace? Quoi! passés pour jamais? quoi! tout entiers perdus? Ce temps qui les donna, ce temps qui les efface, Ne nous les rendra plus?