Chrestomathie française du XIXe siècle, Volume 1Payot & cie, 1902 - French literature |
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... tête de la sultane Lettre . Le Passant Pour la couronne MANUEL ( EUGÈNE ) Le rosier . Vision . Viatique Le miroir . Jeune couple . Confiance . Tu m'as dit un jour LEON DIERX La vision d'Eve . Pages 268 268 270 271 272 273 276 277 277 ...
... tête de la sultane Lettre . Le Passant Pour la couronne MANUEL ( EUGÈNE ) Le rosier . Vision . Viatique Le miroir . Jeune couple . Confiance . Tu m'as dit un jour LEON DIERX La vision d'Eve . Pages 268 268 270 271 272 273 276 277 277 ...
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... tête ensanglantée , T'ouvrit un avenir et de deuil et de pleurs ! Qui pourrait égaler la plainte à tes douleurs ? Le signal est donné ; le carnage commence : La mort tend ses filets sur ce royaume immense . De cent mille proscrits nul ...
... tête ensanglantée , T'ouvrit un avenir et de deuil et de pleurs ! Qui pourrait égaler la plainte à tes douleurs ? Le signal est donné ; le carnage commence : La mort tend ses filets sur ce royaume immense . De cent mille proscrits nul ...
Page 13
... tête ; Mais , si le vent un soir sort du golfe d'Argos , Il peut , devant Hydra , s'entendre avec les flots ; Et malheur au vaisseau , le jour de la tempête ! Elle approche ! elle vient ! l'éclair en est jeté . Vers Drajakan , un cri ...
... tête ; Mais , si le vent un soir sort du golfe d'Argos , Il peut , devant Hydra , s'entendre avec les flots ; Et malheur au vaisseau , le jour de la tempête ! Elle approche ! elle vient ! l'éclair en est jeté . Vers Drajakan , un cri ...
Page 21
... tête repose avec sérénité ! Tant la main de la mort s'est doucement empreinte Sur ce paisible front par elle respecté , Où la vie en fuyant a laissé la beauté ! C'est la Grèce , as - tu dit , c'est la Grèce opprimée ; La Grèce belle ...
... tête repose avec sérénité ! Tant la main de la mort s'est doucement empreinte Sur ce paisible front par elle respecté , Où la vie en fuyant a laissé la beauté ! C'est la Grèce , as - tu dit , c'est la Grèce opprimée ; La Grèce belle ...
Page 25
... tête penchée , un bras sur la croix sainte , A minuit , belle et pâle , elle écouta mes vers ! Des jardins Médicis qui me rendra l'ombrage , Les pins silencieux des jardins Pamphili , Où dans son souvenir j'errais enseveli ? Que mon ...
... tête penchée , un bras sur la croix sainte , A minuit , belle et pâle , elle écouta mes vers ! Des jardins Médicis qui me rendra l'ombrage , Les pins silencieux des jardins Pamphili , Où dans son souvenir j'errais enseveli ? Que mon ...
Contents
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Chrestomathie Française Du Xixe Siècle: Prosateurs (Classic Reprint) Henri Sensine No preview available - 2017 |
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Common terms and phrases
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Popular passages
Page 220 - La Nature est un temple où de vivants piliers Laissent parfois sortir de confuses paroles ; L'homme y passe à travers des forêts de symboles Qui l'observent avec des regards familiers.
Page 51 - O temps ! suspends ton vol ! et vous, heures propices, Suspendez votre cours ! Laissez-nous savourer les rapides délices Des plus beaux de nos jours!
Page 498 - O qui dira les torts de la Rime? Quel enfant sourd ou quel nègre fou Nous a forgé ce bijou d'un sou Qui sonne creux et faux sous la lime?
Page 220 - Voici venir les temps où vibrant sur sa tige Chaque fleur s'évapore ainsi qu'un encensoir ; Les sons et les parfums tournent dans l'air du soir ; Valse mélancolique et langoureux vertige ! Chaque fleur s'évapore ainsi qu'un encensoir ; Le violon frémit comme un cœur qu'on afflige ; Valse mélancolique et langoureux vertige ! Le ciel est triste et beau comme un grand reposoir.
Page 48 - Souvent sur la montagne, à l'ombre du vieux chêne, Au coucher du soleil, tristement je m'assieds ; Je promène au hasard mes regards sur la plaine, Dont le tableau changeant se déroule à mes pieds.
Page 151 - Regrettez-vous le temps où le ciel sur la terre Marchait et respirait dans un peuple de dieux ; Où Vénus Astarté, fille de l'onde amère, Secouait, vierge encor, les larmes de sa mère, Et fécondait le monde en tordant ses cheveux...
Page 166 - Les plus désespérés sont les chants les plus beaux, Et j'en sais d'immortels qui sont de purs sanglots.
Page 221 - Quand le ciel bas et lourd pèse comme un couvercle Sur l'esprit gémissant en proie aux longs ennuis, ( . , Et que de l'horizon embrassant tout le cercle II nous verse un jour noir plus triste que les nuits...
Page 49 - Que me font ces vallons, ces palais, ces chaumières, Vains objets dont pour moi le charme est envolé? Fleuves, rochers, forêts, solitudes si chères, Un seul être vous manque, et tout est dépeuplé...
Page 51 - S'envolent loin de nous de la même vitesse Que les jours de malheur? Hé quoi ! n'en pourrons-nous fixer au moins la trace? Quoi! passés pour jamais? quoi! tout entiers perdus? Ce temps qui les donna, ce temps qui les efface, Ne nous les rendra plus?