Histoire de la monarchie de juillet, Volume 4E. Plon, Nourrit et cie, 1888 - France |
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Popular passages
Page 245 - Je représente devant vous un principe, une cause, une défaite. Le principe, c'est la souveraineté du peuple ; la cause, celle de l'Empire ; la défaite, Waterloo. Le principe, vous l'avez reconnu ; la cause, vous l'avez servie; la défaite, vous voulez la venger.
Page 310 - Disposée à prendre part à tout arrangement acceptable qui aurait pour base la double garantie de l'existence du Sultan et du viceroi d'Egypte, elle se borne dans ce moment à déclarer que, pour sa part, elle ne pourrait consentir à la mise à exécution de l'acte de déchéance prononcé à Constantinople.
Page 129 - Le roi a ordonné à SAR Mgr le prince de Joinville de se rendre, avec sa frégate, à l'île de Sainte-Hélène pour y recueillir les restes mortels de l'empereur Napoléon. « Nous venons vous demander les moyens de les recevoir dignement sur la terre de France.
Page 177 - Est-ce que la France ne serait pas bien aise de voir se fonder, en Egypte et en Syrie, une puissance nouvelle et indépendante, qui fût presque sa création et devînt nécessairement son alliée? Vous avez la régence d'Alger; entre vous et votre allié d'Egypte, que resterait-il?
Page 156 - Buonarotti, écrits qui avaient comme une odeur de sang, et j'entendis chanter des chansons qui semblaient avoir été composées dans l'enfer, et dont les refrains témoignaient d'une fureur, d'une exaspération qui faisaient frémir.
Page 115 - Quoi! Messieurs, la France ne sera qu'une puissance continentale , en dépit de ces vastes mers qui viennent rouler leurs flots sur ses rivages et solliciter en quelque sorte les entreprises de son génie ! » « Cette image est fort belle, — ajoute M.
Page 3 - Duperré, de la marine. service du Roi, dans un nouveau département où les questions d'honneur national ont tant de prépondérance, je n'ai pas besoin de vous assurer que la France retrouvera toujours, dans les discussions de si chers intérêts, les sentiments du vieux soldat de l'Empire, qui sait que le pays veut la paix, mais la paix noble et glorieuse. » Ce n'étaient guère là que des phrases de rhétorique, plus compromettantes au dehors, qu'elles n'avaient de portée sérieuse au dedans.
Page 130 - A ce titre, il pourrait être inhumé à Saint-Denis; mais il ne faut pas à Napoléon la sépulture ordinaire des rois. Il faut qu'il règne et commande encore dans l'enceinte où vont se reposer les soldats de la patrie, et où iront toujours s'inspirer ceux qui seront appelés à la défendre. Son épée sera déposée sur sa tombe.
Page 253 - J'aime mieux, s'écriait-il, succomber sur les rives du Rhin ou du Danube que dans un ruisseau de la rue Saint-Denis!
Page 115 - ... prête à lui permettre d'envoyer vingt-cinq mille hommes en Asie Mineure, pourvu qu'on lui livrât en compensation la mer Rouge. Et alors l'orateur s'écriait : « Si cela arrive au profit de la puissance qui a Gibraltar, qui a Malte, qui a Corfou, que devient pour nous la Méditerranée? Sommesnous dépossédés, oui ou non? N'en doutez pas, messieurs, la question d'Egypte est une question de vie ou de mort, comme une question d'honneur et de dignité pour la France. Là, vous n'avez pas d'alliés....