Elémens de droit politique |
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... seul , a eu de sion d'autrui ; car il est difficile que les hommes observent toujours exactement l'équité et la justice . Il est donc tout na- turel la femme pour premier l'heme et que les hommes aient été portés à se son existence ; de ...
... seul , a eu de sion d'autrui ; car il est difficile que les hommes observent toujours exactement l'équité et la justice . Il est donc tout na- turel la femme pour premier l'heme et que les hommes aient été portés à se son existence ; de ...
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... seul corps politique , et à régler d'un commun con- sentement ce qui regarde leur conserva- tion , leur sûreté , leur utilité communes . C'est ce que l'on appelle le pacte ou le contrat social . Ce contrat est exprès ou tacite . Il est ...
... seul corps politique , et à régler d'un commun con- sentement ce qui regarde leur conserva- tion , leur sûreté , leur utilité communes . C'est ce que l'on appelle le pacte ou le contrat social . Ce contrat est exprès ou tacite . Il est ...
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... seul et le cours naturel des choses la lui auraient donnée . " Une constitution n'est pas un acte de pure création : quelque puissant que soit le génie de ceux qui entreprennent d'or- ganiser ainsi des sociétés , il est souvent possible ...
... seul et le cours naturel des choses la lui auraient donnée . " Une constitution n'est pas un acte de pure création : quelque puissant que soit le génie de ceux qui entreprennent d'or- ganiser ainsi des sociétés , il est souvent possible ...
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... seul , sans se dévouer aux plus dures expiations , quand même il éviterait ce « qu'on appelle les supplices ou punitions légales . » " ་ k • la constitution d'une société n'est autre chose que l'ensemble des règles qui déter- minent la ...
... seul , sans se dévouer aux plus dures expiations , quand même il éviterait ce « qu'on appelle les supplices ou punitions légales . » " ་ k • la constitution d'une société n'est autre chose que l'ensemble des règles qui déter- minent la ...
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... seul a donc véritablement jeté les fondemens de l'ordre moral et social ; lui seul est donc le véritable souverain . Mais , en dotant les hommes de la raison et du sentiment du juste , Dieu leur a donné la puissance nécessaire pour ...
... seul a donc véritablement jeté les fondemens de l'ordre moral et social ; lui seul est donc le véritable souverain . Mais , en dotant les hommes de la raison et du sentiment du juste , Dieu leur a donné la puissance nécessaire pour ...
Common terms and phrases
actes action administrative agens arbitraire assemblée autorité besoin c'est-à-dire chambres chef choisis choses Cicéron citoyens conseil d'état constitution constitutionnelle corps législatif corps politique crime délibération despotisme devoirs division doit doivent effet élémens enfin établi état fonctions force forme garanties gemens général gouver gouvernemens gouvernement habitans hommes institutions intérêts intérêts généraux jugemens juges juridiction jury justice l'administration l'arbitraire l'autorité judiciaire l'état l'exécution l'exercice l'intérêt l'ordre lative liberté limites lois magistrats ment ministère public ministres monarchie monarque Montesquieu morale moyen municipal nable nation nature naturel néces nécessaire nistration ochlocratie pables particuliers personne peuple peuvent pourrait pouvoir exécutif pouvoir judiciaire pouvoir législatif prérogatives prince principe privés propre propriété public publique puissance exécutive puissance législative puisse qu'un raison réglemens règles représentans représentatif révolutions s'il sance séditions sent serait seront service seul société civile soient sorte souverain souveraineté suprême sûreté tence tion tisme tive toyens tribunaux tyrannie utile véritable volonté
Popular passages
Page 49 - Lorsque dans la même personne ou dans le même corps de magistrature la puissance législative est réunie à la puissance exécutrice, il n'ya point de liberté , parce qu'on peut craindre que le même monarque ou le même sénat ne fasse des lois tyranniques pour les exécuter tyranniquement.
Page 50 - Tout serait perdu , si le même homme , ou le même corps des principaux , ou des nobles , ou du peuple , exerçaient ces trois pouvoirs : celui de faire des lois, celui d'exécuter les résolutions publiques , et celui de juger les crimes ou les différends des particuliers.
Page 18 - ... l'autorité; enfin, peu ou point de luxe : car, ou le luxe est l'effet des richesses , ou il les rend nécessaires ; il corrompt à la fois le riche et le pauvre , l'un par la possession , l'autre par la convoitise ; il vend la patrie à la mollesse, à la vanité ; il ôte à l'État tous ses citoyens pour les asservir les uns aux autres, et tous à l'opinion.
Page 67 - Mais si, dans un État libre, la puissance législative ne doit pas avoir le droit d'arrêter la puissance exécutrice, elle a le droit, et doit avoir la faculté d'examiner de quelle manière les lois qu'elle a faites ont été exécutées...
Page 53 - La puissance de juger ne doit pas être donnée à un sénat permanent, mais exercée par des personnes tirées du corps du peuple', dans certains temps de l'année, de la manière prescrite par la loi, pour former un tribunal qui ne dure qu'autant que la nécessité le requiert. De cette façon, la puissance de juger, si terrible parmi les hommes, n'étant attachée ni à un certain état, ni à une certaine profession, devient, pour ainsi dire , invisible et nulle. On n'a point continuellement...
Page 50 - ... il n'ya point de liberté; parce qu'on peut craindre que le même monarque ou le même sénat ne fasse des lois tyranniques pour les exécuter tyranniquement. Il n'ya point encore de liberté si la puissance de juger n'est pas séparée de la puissance législative et de l'exécutrice. Si elle était jointe à la puissance législative, le pouvoir sur la vie et la liberté des citoyens serait arbitraire, car le juge serait législateur. Si elle était jointe à la puissance exécutrice, le juge...
Page 50 - Il n'est pas nécessaire que les représentants, qui ont reçu de ceux qui les ont choisis une instruction générale, en reçoivent une particulière sur chaque affaire, comme cela se pratique dans les diètes d'Allemagne. Il est vrai que, de cette manière, la parole des députés serait plus l'expression de la voix de la nation; mais cela jetterait dans des longueurs infinies, rendrait chaque député le maître de tous les autres; et, dans les occasions les plus pressantes, toute la force de...
Page 52 - Il y avait un grand vice dans la plupart des anciennes républiques : c'est que le peuple avait droit d'y prendre des résolutions actives, et qui demandent quelque exécution; chose dont il est entièrement incapable. Il ne doit entrer dans le gouvernement que pour choisir ses représentants; ce qui est très à sa portée. Car, s'il ya peu de gens qui connaissent le degré précis de la capacité des hommes, chacun est pourtant capable de savoir en général si celui qu'il choisit est plus éclairé...
Page 70 - Entre une assemblée qui s'obstinerait à ne faire aucune loi, à ne pourvoir à aucun besoin, et un gouvernement qui n'aurait pas le droit de la dissoudre, quel moyen d'administration resterait-il ? Or, quand un tel moyen ne se trouve pas dans l'organisation politique, les événements le placent dans la force. La force vient toujours à l'appui de la nécessité.
Page 33 - Dieu, en donnant à l'homme des besoins, en lui rendant nécessaire la ressource du travail, a fait du droit de travailler la propriété de tout homme, et cette propriété est la première, la plus sacrée et la plus imprescriptible de toutes.