Étude historique des idées sur la souveraineté en France de 1815 à 1848 |
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... sentiments et leurs passions , comme leur logi- que et leur raison . Jamais peut - être ces doctrines ne furent plus nom- breuses qu'au début du xix siècle : à la Restauration fran- çaise deux mondes politiques se retrouvaient en ...
... sentiments et leurs passions , comme leur logi- que et leur raison . Jamais peut - être ces doctrines ne furent plus nom- breuses qu'au début du xix siècle : à la Restauration fran- çaise deux mondes politiques se retrouvaient en ...
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... sentiment si pur de tous les droit de l'homme avait proclamé que la souve- raineté descendait sans intermédiaire du ciel au peuple . Cette doctrine sommeillait depuis des siècles . Vers la fin du xvi deux théologiens Suarès et l'italien ...
... sentiment si pur de tous les droit de l'homme avait proclamé que la souve- raineté descendait sans intermédiaire du ciel au peuple . Cette doctrine sommeillait depuis des siècles . Vers la fin du xvi deux théologiens Suarès et l'italien ...
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... sentiment de socia- bilité , sans lesquels il est impossible d'être bon citoyen , ni sujet fidèle . Sans pouvoir obliger personae à les croire , il peut bannir de l'Etat quiconque ne les croit pas ; il peut le bannir , non comme impie ...
... sentiment de socia- bilité , sans lesquels il est impossible d'être bon citoyen , ni sujet fidèle . Sans pouvoir obliger personae à les croire , il peut bannir de l'Etat quiconque ne les croit pas ; il peut le bannir , non comme impie ...
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... 'est que la conformité de la volonté particulière à la générale , faites régner la vérité ... Qui refusera d'obéir doit y être contraint par le corps social . >>> avec la Révolution . C'est l'appel fait aux sentiments , - ― 13.
... 'est que la conformité de la volonté particulière à la générale , faites régner la vérité ... Qui refusera d'obéir doit y être contraint par le corps social . >>> avec la Révolution . C'est l'appel fait aux sentiments , - ― 13.
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Maurice Barbé. avec la Révolution . C'est l'appel fait aux sentiments , aux volontés , aux désirs , aux aspirations de ... sentiment profond et vif que sa volonté et son intelligence doivent avoir une perception nette de l'intérêt général ...
Maurice Barbé. avec la Révolution . C'est l'appel fait aux sentiments , aux volontés , aux désirs , aux aspirations de ... sentiment profond et vif que sa volonté et son intelligence doivent avoir une perception nette de l'intérêt général ...
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Common terms and phrases
absolu autorité base Benjamin Constant Beugnot Bonald Bourbons c'est-à-dire C'était Chambre des députés Charles X Charte Charte de 1814 cipe citoyens conception conforme conséquence contrat social délégation déléguer Dieu division des pouvoirs doctrine doit électorale établi exercer fondée force gouver gouvernement représentatif Guizot hommes humaine idées individuelle individus institutions intérêts justice l'autorité l'Etat l'exercice l'homme l'opinion publique Lamennais Lanjuinais libéraux liberté limites lois Louis XVIII Louis-Philippe Maistre majorité ment ministres monar monarchie constitutionnelle monarchie de juillet Napoléon Ier nation naturel nement neté parlementaire politique pouvait pouvoir exécutif pouvoir législatif pouvoir royal prince principe de souveraineté public puissance qu'une question raineté raison réalité régime règle républicain République Restauration Révolution de 1830 rois Rousseau royauté Royer-Collard séance sera seul société souve souverain souveraineté du peuple souveraineté nationale souveraineté réside souveraineté royale suffrage supérieure système Talleyrand théoriciens théorie tion trône veraineté vérité vernement volonté générale volonté nationale vote
Popular passages
Page 11 - Sans pouvoir obliger personne à les croire, il peut bannir de l'Etat quiconque ne les croit pas ; il peut le bannir, non comme impie, mais comme insociable, comme incapable d'aimer sincèrement les lois, la justice, et d'immoler au besoin sa vie à son devoir.
Page 11 - Il ya donc une profession de foi purement civile dont il appartient au souverain de fixer les articles, non pas précisément comme dogmes de religion, mais comme sentiments de sociabilité sans lesquels il est impossible d'être bon citoyen ni sujet fidèle.
Page 201 - La personne du Roi est inviolable et sacrée. Ses ministres sont responsables. Au Roi seul appartient la puissance exécutive. ART. 14. — Le Roi est le chef suprême de l'Etat, il commande les forces de terre et de mer, déclare la guerre, fait les traités de paix, d'alliance et de commerce, nomme à tous les emplois d'administration publique, et fait les règlements et ordonnances nécessaires pour l'exécution des lois et la sûreté de l'Etat.
Page 11 - Comme la nature donne à chaque homme un pouvoir absolu sur tous ses membres, le pacte social donne au corps politique un pouvoir absolu sur tous les siens; et c'est ce même pouvoir qui, dirigé par la volonté générale, porte, comme j'ai dit, le nom de souveraineté.
Page 5 - Vous devez donc être persuadé que les rois sont seigneurs absolus et ont naturellement la disposition pleine et libre de tous les biens qui sont possédés, aussi bien par les gens d'église que par les séculiers, pour en user en tout temps comme de sages économes, c'est-à-dire suivant le besoin général de leur État.
Page 66 - Là, prosterné au pied du même autel où Clovis reçut l'onction sainte et en présence de celui qui juge les peuples et les rois, je renouvellerai le serment de maintenir et de faire observer les lois de...
Page 198 - ... fait du concours permanent des vues politiques de votre gouvernement avec les vœux de votre peuple, la condition indispensable de la marche régulière des affaires publiques. Sire, notre loyauté, notre dévouement, nous condamnent à vous dire que ce concours n'existe pas.
Page 54 - ... lorsque la sagesse des rois s'accorde librement avec le vœu des peuples, une Charte constitutionnelle peut être de longue durée; mais que, quand la violence arrache des concessions à la faiblesse du gouvernement, la liberté publique n'est pas moins en danger que le trône même.
Page 120 - Nous déclarons en conséquence que les Rois et les Souverains ne sont soumis à aucune puissance ecclésiastique par l'ordre de Dieu dans les choses temporelles ' ; qu'ils ne peuvent être déposés ni directement ni indirectement par l'autorité des chefs de...
Page 47 - Rappelé par l'amour de notre peuple au trône de nos pères, éclairé par les malheurs de la nation que nous sommes destiné à gouverner, notre première pensée est d'invoquer cette confiance mutuelle si nécessaire à notre repos, à son bonheur. Après avoir lu attentivement le plan de constitution proposé par le sénat dans sa séance du 6 avril dernier, nous avons reconnu que les bases en étaient bonnes, mais qu'un grand nombre d'articles portant l'empreinte de la précipitation avec laquelle...