Histoire de gouvernement parlementaire en France: 1814-1848, précédée d'une introduction, Volume 3Michel Lévy frères, 1859 - Constitutional history |
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actes ajouta-t-il alliés avaient Beugnot Blücher Bonaparte Bourbons Bourdonnaie c'était Carnot cent Cent-Jours Cham Chambre des députés Chambre des pairs Chambre des représentants Charte Chateaubriand clergé colléges collègues commission exécutive conseil constitution constitutionnel d'ailleurs débat Decazes déclaration demander dépêche devait disait-il discours discussion dit-il duc de Richelieu duc de Wellington électoraux enfin étrangères eût Fayette Fleury de Chaboulon Fouché fût général gouvernement guerre hommes jour journaux juillet justice l'abdication l'armée l'Empereur l'Empire l'ordonnance Lanjuinais Lavalette libéral liberté lois lord Castlereagh lord Liverpool Louis XVIII Lucien majorité maréchal Davoust maréchal Ney membres Mémoires ment ministres modération monarchie Monsieur n'avait n'était Napoléon nation non-seulement paraissait parlementaire Pasquier patrie peuple plénipotentiaires police politique pouvait préfet président prince proclamation projet proposait proposition publique puissances question Regnault résolution restait royalistes Royer-Collard s'était séance sentiments serait session seul Talleyrand Thibaudeau tion tribune trône ultra-royaliste Vaublanc Villèle Vitrolles voix vote voulait Waterloo
Popular passages
Page 61 - empereur des Français. Les ministres actuels formeront provisoirement le conseil de gouvernement. L'intérêt que je porte à mon fils m'engage à inviter les Chambres à organiser, sans délai, la régence par une loi. Unissez-vous tous pour le salut public et
Page 160 - pour honorer l'Assemblée de laquelle elle émane. C'était d'ailleurs, en même temps qu'une déclaration de principes, un acte politique important. En déclarant « qu'un monarque ne peut offrir des garanties réelles, s'il ne jure d'observer une constitution, délibérée par la représentation nationale et acceptée par le peuple,
Page 307 - Pour arrêter leurs trames criminelles, ajoutait M. de la Bourdonnaie, il faut des fers, des bourreaux, des supplices. La mort, la mort seule peut effrayer leurs complices et mettre fin à leurs complots. Et vous remarquerez, messieurs, dans l'histoire même de notre Révolution, que c'est sous les gouvernements les plus modérés que les rébellions ont été les plus
Page 236 - que le souverain du ciel a confié aux princes de la terre pour assurer le repos des peuples. » Après cette cruelle allusion à l'exécution récente du général Labédoyère, M. de Chateaubriand faisait parler la France qui, envahie, déchirée, demandait justice à genoux. Cette justice, malheureusement nécessaire, le roi la devait à
Page 258 - appuya fortement sur le respect dû par tous les pouvoirs à la Charte constitutionnelle. « Cette Charte, dit-il, que j'ai méditée avec soin avant de la donner, à laquelle la réflexion m'attache chaque jour davantage, que j'ai juré de maintenir, et à laquelle vous tous, à commencer par ma famille, allez jurer d'obéir, est sans doute, comme toutes les institutions humaines, susceptible
Page 17 - lui imposer. Aucun projet ambitieux n'entre dans la pensée du peuple français. La volonté même du prince victorieux serait impuissante pour entraîner la nation hors des limites de sa propre défense: mais aussi, pour maintenir sa liberté, son honneur, sa dignité, elle est prête à tous les sacrifices.
Page 495 - les premières places de l'État aux amis de la monarchie légitime. « Vous en faut-il un si grand nombre pour sauver la France? ajoutait M. de Chateaubriand; je n'en demande que sept par département : un évéque, un commandant, un préfet, un procureur du roi, un président de la cour prévôtale, un
Page 259 - qui devaient suivre. Après que les princes, Monsieur compris, eurent juré fidélité au roi, obéissance à la Charte constitutionnelle et aux lois du royaume, on fit, selon l'usage, l'appel des pairs et des députés. Or deux pairs, M. Jules de Polignac et M.
Page 72 - bouleversés par une passion plus véhémente que celle qui agitait en ce moment le jeune général de Labédoyère. » — « Je veux, s'écria-t-il avec une véhémence convulsive, répéter ce que j'ai dit ce matin. Napoléon a abdiqué en faveur de son fils ; son abdication est nulle, de toute nullité, si l'on ne proclame pas Napoléon
Page 236 - le rédacteur, et qui devint le type de toutes les autres adresses : « Sire, disait-il au roi, vous avez deux fois sauvé la France ; vous allez achever -votre ouvrage. Ce n'est pas sans une vive émotion que nous venons de voir le commencement de vos justices! Vous avez saisi ce