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" On voit bien que ces petites républiques ne pouvoient être que dépendantes. Les Grecs se livrèrent à une joie stupide, et crurent être libres en effet, parce que les Romains les déclaroient tels. "
Droit municipal dans l'antiquité - Page 124
by Ferdinand Béchard - 1860 - 552 pages
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Oeuvres, Volume 3

Charles-Louis de Secondat de Montesquieu (baron de la Brède) - 1771 - 688 pages
...républiques ne pouvoient être que dépendantes. Les Grecs fe livrèrent à une joie fi lipide , & crurent être libres en effet , parce que les Romains les déclaraient tels. 35* GRANDEUR ET DÉCADENCE loient dans la Grèce , voyant qu'ils n'avoient fait que fe donner des maîtres...
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Cours d'étude pour l'instruction du prince de Parme, Volume 8

Condillac - 1776 - 634 pages
...liberté de toutes les villes, ils fe Rome ss8 livrerent^ dit Mr. de Montefquieu , à une loie flupide , & crurent être libres en effet , parce que les Romains les déclaraient tels. Quintius les avoit raflurés. Si confor- ce?enm £ment aux ordres du fénat , il eût laiffé leTàffuTome...
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Oeuvres, Volume 5

Charles-Louis de Secondat de Montesquieu - 1788 - 546 pages
...ses propres loix. ' On. voit bien que ces petites républiques ne pouvoient être que dépendantes. Les Grecs se livrèrent à une joie stupide , et crurent être libres en effet, parce que les Romains les déclaroiént tels. Les Etoliens , qui s'étoient imaginé qu'ils domineroient dans la Grèce , voyant...
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Oeuvres de Montesquieu, Volume 5

Charles de Secondat baron de Montesquieu - 1796 - 644 pages
...par ses propres loix. On voit bien que ces petites républiques ne pouvoient être que dépendantes. Les Grecs se livrèrent à une joie stupide, et crurent...être libres en effet , parce que les Romains les tléclaroient tels. Les Etoliens , qui s'étoient imaginé qu'ils clomineroient dans la Grèce, voyant...
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Cours d'etudes pour l'instruction du prince de Parme: t. 5. La grammaire. t ...

Etienne Bonnot de Condillac - 1798 - 658 pages
...aux jeux Isthmiques la liberté de toutes les villes, ils se livrèrent , dit Mr. de Montesquieu , à une joie stupide , et crurent être libres en effet parce que les Romains les déclaraient tels. Ouintius les avoit rassurés. Si , confor- . op?"1;""'1 X leia<iii|ettilaij& mément aux ordres du...
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Considérations sur les causes de la grandeur des Romains, et de leur décadence

Charles de Secondat baron de Montesquieu - 1799 - 350 pages
...par ses propres lois. On voit bien que ces petites républiques ne pouvoient être que dépendantes. Les Grecs se livrèrent à une joie stupide , et crurent être libres en effet, parce que les Romains les déclaroient tels. fait que se donner des maîtres, furent au désespoir; et, comme ils prenoient toujours...
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Œuvres complètes de Condillac: Histoire ancienne

Etienne Bonnot de Condillac - 1803 - 420 pages
...proclamé aux jeux Isthmiques la liberté de toutes les villes , ils se livrèrent , dit Mr. de Montesquieu à une joie stupide } et crurent être libres en effet parce que les Romains les dccla\ raient tels. Ouintius les avoit rassurés. Si , conformément aux ordres du sénat , il eût...
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Oeuvres, Volume 2

Charles-Louis de Secondat de Montesquieu - 1817 - 648 pages
...par ses propre» lois. On voit bien que ces petites républiques ne pouvaient être que dépendantes. Les Grecs se livrèrent à une joie stupide , et crurent...effet , parce que les Romains les déclaraient tels. Les Ëtoliens , qui s'étaient imaginé qu'ils domineraient dans la Grèce , voyant qu'ils n'avaient...
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Oeuvres complètes de Montesquieu: précédées de la vie de cet auteur, Volume 4

Charles de Secondat baron de Montesquieu - French literature - 1818 - 704 pages
...par ses propres lois. On voit bien que ces petites républiques ne pouvoient être que dépendantes. Les Grecs se livrèrent à une joie stupide , et crurent être libres en effet , parce que les»Romains les déclaraient tels. Les Étoliens, qui s'étoient imaginé qu'ils domineroient dans...
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Grandeur et décadence des romains. Lettres persanes

Charles de Secondat baron de Montesquieu - 1820 - 662 pages
...par ses propres lois. On voit bien que ces petites républiques ne pouvoient être que dépendantes. Les Grecs se livrèrent à une joie stupide, et crurent être libres en effet, parce que les Romains les déclaroient tels. Les Étoliens , qui s'étoient imaginé qu'ils domineroient dans la Grèce, voyant...
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