Droit municipal dans l'antiquité |
Contents
207 | |
230 | |
247 | |
259 | |
268 | |
279 | |
290 | |
303 | |
16 | |
23 | |
37 | |
59 | |
82 | |
90 | |
97 | |
108 | |
130 | |
139 | |
150 | |
184 | |
194 | |
318 | |
333 | |
345 | |
354 | |
360 | |
366 | |
377 | |
392 | |
408 | |
416 | |
455 | |
463 | |
480 | |
Other editions - View all
Common terms and phrases
administration amphictyonique antiques appelés archontes aristocratique Aristote assemblées Athènes avaient Cécrops César charges chef choses Cicéron cité romaine citoyens romains civiles civilisation civit civitatis colonies comices commune confédération constitution curiales curie decur décurion décurions démocratie despotisme division duumvirs empereurs esclaves États famille fédération forme Gaule général gouvernement Grèce grecque guerre habitants hommes impôts institutions intérêts Italie juges jure juridiction justice Justinien l'administration l'antiquité l'autorité l'empire l'État l'imperium l'Italie l'unité Latins Latium législation liberté libres lois magistrats magistratures ment mœurs monarchies muner municipes nation patriciat patriciens peuple romain phratries politique Polybe population pouvait pouvoir préteur primitive prince principe privés proconsul propriété provinces provinciaux publics publiques puissance quæ quiritaire quod régime municipal république rois Rome sénat Servius Tullius seul Sigonius social Solon sorte Sparte Strabon suffrage sunt Tacite tantôt terre territoire THÉOD tion Tite-Live toyens tribus tyrannie Ulpien VIII villes
Popular passages
Page viii - Trouver une forme d'association qui défende et protège de toute la force commune la personne et les biens de chaque associé, et par laquelle chacun, s'unissant à tous, n'obéisse pourtant qu'à lui-même, et reste aussi libre qu'auparavant!
Page 216 - On étendit aux femmes le droit que Romulus avait limité aux maris, et Sénèque put écrire des femmes de son temps qu'elles comptaient leurs années, non par le nombre des consuls, mais par celui de leurs époux, et Juvénal put les accuser d'en épouser cinq par automne (1). Les divorces se faisaient d'abord avec des formes solennelles. De même que l'union s'opérait par la confarréation • ou la coemption, de même la séparation s'opérait par la diffaréalion ou la rémancipation.
Page 179 - ... on ne vit plus Rome des mêmes yeux, on n'eut plus le même amour pour la patrie, et les sentiments romains ne furent plus.
Page 28 - Il faut donc attacher les hommes aux lieux qui leur présentent des souvenirs et des habitudes ; et pour atteindre ce but il faut leur accorder dans leurs domiciles, au sein de leurs communes, dans leurs arrondissements, autant d'importance politique qu'on peut le faire sans blesser le lien général.
Page 39 - Toutes les lois sont fondées sur la première de toutes les lois, qui est celle de la nature, c'est-à-dire, sur la droite raison, et sur l'équité naturelle.
Page 156 - Qui peut mettre dans l'esprit des peuples la gloire, la patience dans les travaux, la grandeur de la nation, et l'amour de la patrie, peut se vanter d'avoir trouvé la constitution d'État la plus propre à produire de grands hommes. C'est sans doute les grands hommes qui font la force d'un empire. La nature ne manque pas de faire naître dans tous les pays des esprits et des courages élevés, mais il faut lui aider à les former. Ce qui les forme, ce qui les achève, ce...
Page lxxvi - Ce que nous devons craindre, en effet, c'est l'absorption des forces individuelles par la puissance collective, c'est la substitution du gouvernement au citoyen pour tous les actes de la vie sociale, c'est l'affaiblissement de toute initiative personnelle sous la tutelle d'une centralisation admi.nistrative exagérée.
Page 450 - L'étendue des campagnes facilite cette répartition. Ils changent de terres tous les ans, et ils n'en manquent jamais.
Page 541 - Des nations féroces et innombrables ont occupé toutes les Gaules. Tout ce qui se trouve entre les Alpes et les Pyrénées, entre l'Océan et le Rhin , est dévasté par le Quade , le Vandale , le...
Page 412 - On peut juger de l'idée qu'il avait de la violation du serment, par le crime qu'il voulait commettre. Après la bataille de Cannes, le peuple effrayé voulut se retirer en Sicile; Scipion lui fit jurer qu'il resterait à Rome : la crainte de violer leur serment surmonta toute autre crainte. Rome était un vaisseau tenu par deux ancres dans la tempête : la religion et les mœurs.