Histoire-musée de la république Française, depuis l'assemblée des notables jusque'à l'empire, Volume 2 |
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... demanda au lieutenant de police la permission de se divertir à ce propos . Sur le soir , un ouvrier bijoutier , nommé Carle , s'avança au milieu de la Ce quatrain était , assure - t - on , l'ouvrage du marquis de Montesquiou - Fesensac ...
... demanda au lieutenant de police la permission de se divertir à ce propos . Sur le soir , un ouvrier bijoutier , nommé Carle , s'avança au milieu de la Ce quatrain était , assure - t - on , l'ouvrage du marquis de Montesquiou - Fesensac ...
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... demanda la grâce des gardes françaises au roi , et se rendit à l'Assemblée nationale . Chose remarquable ! Des hommes sans mission poli- tique aucune franchirent le seuil d'une assemblée parlementaire , et solli- citèrent sa médiation ...
... demanda la grâce des gardes françaises au roi , et se rendit à l'Assemblée nationale . Chose remarquable ! Des hommes sans mission poli- tique aucune franchirent le seuil d'une assemblée parlementaire , et solli- citèrent sa médiation ...
Page 54
... août , Necker avouant , une fois encore , le mauvais état des finances , demanda un emprunt de trente millions , qui • Cabinet de M. Laterrade . Il y a beaucoup de variantes sur l'aristocratie . RABAT , ( août 1789 ) DONS PATRIOTIQUES . 57.
... août , Necker avouant , une fois encore , le mauvais état des finances , demanda un emprunt de trente millions , qui • Cabinet de M. Laterrade . Il y a beaucoup de variantes sur l'aristocratie . RABAT , ( août 1789 ) DONS PATRIOTIQUES . 57.
Page 192
... demanda la per- mission de faire l'exercice des piques au Champ de la fédération . « Des piques ! des piques et les flammes rationales , voilà nos moyens , » s'écriait Gorsas . Alors , ce fut à qui parlerait le plus de cette nouvelle ...
... demanda la per- mission de faire l'exercice des piques au Champ de la fédération . « Des piques ! des piques et les flammes rationales , voilà nos moyens , » s'écriait Gorsas . Alors , ce fut à qui parlerait le plus de cette nouvelle ...
Page 202
... demanda l'établissement d'un camp de vingt mille hommes sous Paris . Une pétition des royalistes protesta contre le projet . Ce fut une chaude querelle dans le conseil : Dumouriez désapprouvait la mesure . Dès lors il se sépara ...
... demanda l'établissement d'un camp de vingt mille hommes sous Paris . Une pétition des royalistes protesta contre le projet . Ce fut une chaude querelle dans le conseil : Dumouriez désapprouvait la mesure . Dès lors il se sépara ...
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Common terms and phrases
10 août actes amis aristocrates armée assignats avaient Bailly Bastille c'était Cabinet Camille Desmoulins caricature cause chansons chantant chose ci-devant citoyens civique clergé club cocarde comité commission des douze commune constitution convention nationale Danton déclaration décret département députés devant drapeau duc d'Orléans Dumouriez émigrés famille fédération femmes fête FIN DU CHAPITRE foule garde nationale général Gironde girondins gravure guerre guillotine heures hommes jacobins janvier jour journal journée jugement juillet juin l'abbé l'assemblée législative l'Assemblée nationale l'égalité l'Hôtel-de-Ville Lafayette Laterrade Lepelletier liberté Louis Capet Louis XVI maire Marat Marie-Antoinette Maurin Mémoires ment ministre Mirabeau monarchie Moniteur Moniteur universel montagnards mort municipalité nation Necker octobre Palais-Royal Palloy passé patrie patriotiques Pétion peuple place politique porte premier prêtres proclamation public reine représentants républicains république révolution révolutionnaire Robespierre royale royauté s'était sans-culottes séance sections septembre serment seul tête théâtre tion toyens tribunal triomphe Tuileries tyrans Vendée Versailles veto vote
Popular passages
Page 58 - La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l'homme : tout citoyen peut donc parler, écrire , imprimer librement, sauf à répondre de l'abus de cette liberté dans les cas déterminés par la loi.
Page 58 - Nul homme ne peut être accusé, arrêté ni détenu que dans les cas déterminés par la loi, et selon les formes qu'elle a prescrites. Ceux qui sollicitent, expédient, exécutent ou font exécuter des ordres arbitraires doivent être punis ; mais tout citoyen, appelé ou saisi en vertu de la loi, doit obéir à l'instant : il se rend coupable par la résistance.
Page 310 - Les secours publics sont une dette sacrée. La société doit la subsistance aux citoyens malheureux, soit en leur procurant du travail, soit en assurant les moyens d'exister à ceux qui sont hors d'état de travailler.
Page 58 - La loi est l'expression de la volonté générale: tous les citoyens ont droit de concourir personnellement, ou par leurs représentants, à sa formation; elle doit être la même pour tous, soit qu'elle protège, soit qu'elle punisse. Tous les citoyens étant égaux à ses yeux sont également admissibles à toutes dignités, places et emplois publics, selon leur capacité...
Page 58 - Le but de toute association politique est la conservation des droits naturels et imprescriptibles de l'homme. Ces Droits sont la liberté, la propriété, la sûreté, et la résistance à l'oppression.
Page 310 - Tout homme étant présumé innocent jusqu'à ce qu'il ait été déclaré coupable, s'il est jugé indispensable de l'arrêter, toute rigueur qui ne serait pas nécessaire pour s'assurer de sa personne doit être sévèrement réprimée par la loi.
Page 310 - La loi ne doit décerner que des peines strictement et évidemment nécessaires : les peines doivent être proportionnées au délit et utiles à la société.
Page 58 - La loi ne doit établir que des peines strictement et évidemment nécessaires, et nul ne peut être puni qu'en vertu d'une loi établie et promulguée antérieurement au délit, et légalement appliquée.
Page 311 - Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l'insurrection est pour le peuple et pour chaque portion du peuple le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs.
Page 309 - Le but de la société est le bonheur commun. — Le gouvernement est institué pour garantir à l'homme la jouissance de ses droits naturels et imprescriptibles.