NapoléonAu Plutarque français, 1840 - 410 pages |
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Alexandre alliés Anglais armée arrive artillerie Autrichiens bataillon Bernadotte Bertrand Blücher Bonaparte boulets c'était camp Carra Saint-Cyr carrés cavalerie cent mille centre champ de bataille charge chaussée cheval cinq colonne commandé comte Montholon corps Corse côté coûtera d'infanterie Davoust départemens dépensés derrière Desaix devant division Égypte enfin ennemis fasc fascicule frégate Gardanne garde gauche général grenadiers Grouchy guerre heures du matin Idem in-fol instant jeune jour journée Kellermann Kutusoff l'Angleterre l'artillerie l'Autriche l'empereur l'empire l'ennemi l'île d'Elbe Labédoyère laisse Lannes ligne Longwood mamelouks marche maréchal Marengo mée milieu militaire mille hommes millions Murat Napo Napoléon Niémen Notice nuit officiers ordonne Paoli passer peuple pièces de canon planches pont port Porto-Ferrajo position Pratzen premier Consul prince Prussiens quatre Quatre-Bras redoute régimens reste retraite Rhin route Russes s'avance sera seul soir soldats Soult Subervic Telnitz tête tion Toulon travaux troupes trouve vaisseaux victoire Vizille volume Wavres Wellington
Popular passages
Page 223 - Les puissances alliées ayant proclamé que l'empereur Napoléon était le seul obstacle au rétablissement de la paix en Europe, l'empereur Napoléon, fidèle à son serment, déclare qu'il renonce, pour lui et ses héritiers, aux trônes de France et d'Italie, et qu'il n'est aucun sacrifice personnel, même celui de la vie, qu'il ne soit prêt à faire à l'intérêt de la France.
Page 114 - J'ignore quels sont les desseins de Dieu sur ma race et sur moi ; mais je connais les obligations qu'il m'a imposées par le rang où il lui a plu de me faire naître. Chrétien, je remplirai ces obligations jusqu'à mon dernier soupir...
Page 270 - Monsieur mon frère, vous aurez appris dans le cours du mois dernier, mon retour sur les côtes de France, mon entrée à Paris et le départ de la famille des Bourbons. La véritable nature de ces événements doit maintenant être connue de Votre Majesté.
Page 113 - Bonaparte avec ceux qui l'ont précédé ; j'estime sa valeur, ses talents militaires ; je lui sais gré de plusieurs actes d'administration, car le bien que l'on fera à mon peuple me sera toujours cher ; mais il se trompe, s'il croit m'engager à transiger sur mes droits. Loin de là, il les établirait lui-même, s'ils pouvaient être litigieux, par la démarche qu'il fait en ce moment. « J'ignore quels sont les desseins de Dieu sur ma race et sur moi ; mais je connais les obligations, qu'il...
Page 103 - Français c'est avoir fait trop de pas en arrière , que le moment est venu de faire un pas décisif en avant : Soldats , ajoute-t-il, souvenez-vous que mon habitude est de coucher sur le champ de bataille.
Page 325 - Altesse Royale, en butte aux factions qui « divisent mon pays et à l'inimitié des plus grandes « puissances de l'Europe, j'ai terminé ma carrière « politique, et je viens, comme Thémistocle, « m'asseoir au foyer du peuple britannique. Je « me mets sous la protection de ses lois, que je « réclame de Votre Altesse Royale comme du plus « puissant, du plus constant et du plus généreux
Page 393 - Je lègue au comte Bertrand cinq cent mille francs. « 5° Je lègue à Marchand, mon premier valet de chambre, quatre cent mille francs ; les services qu'il m'a rendus sont ceux d'un ami ; je désire qu'il épouse une veuve, sœur ou fille d'un officier ou soldat de ma Vieille Garde. « 6° Idem, à Saint-Denis, cent mille francs.
Page 407 - Si les sommes provenant desdites retenues n'étaient pas suffisantes pour pourvoir aux frais, il y sera pourvu aux dépens des trois exécuteurs testamentaires et du trésorier, chacun dans la proportion du legs que nous leur avons fait par notre testament et codicille.
Page 167 - Russie est entraînée par la fatalité! Ses destins doivent s'accomplir. Nous croirait-elle donc dégénérés? Ne serionsnous donc plus les soldats d'Austerlitz? Elle nous place entre le déshonneur et la guerre : le choix ne saurait être douteux. Marchons donc en avant! Passons le Niémen, portons la guerre sur son territoire! La seconde guerre de...
Page 146 - Soldats ! vous avez justifié mon attente et réj>ondu dignement à la confiance du peuple français. Vous avez supporté les privations et les fatigues avec autant de courage que vous avez montré d'intrépidité et de sang-froid au milieu des combats. Vous êtes les dignes défenseurs de l'honneur de ma couronne et de la gloire du grand peuple. Tant que vous serez animés de cet esprit, rien ne pourra vous résister. La cavalerie a rivalisé avec l'infanterie et l'artillerie.