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tres dispositions ont été adoptées par quelques constructeurs, les se rapprochent toutes plus ou moins de celle que je viens crire.

ET. Petit récipient percé par le fond, et dans lequel on verse destinée au graissage d'un coussinet, d'un essieu ou de toute pièce mobile dans une machine. On en voit un exemple aux atrémités de la bielle X, dans la coupe de la locomotive de le e VII.

voir autorisé cette assimilation pour un service où la surveillance la plus rigoureuse et la stricte observation des réglemens de police généraux et particuliers, intéressent à un si haut degré la sécurité des voyageurs.

GARE. Lorsqu'un chemin de fer est à une seule voie, il est nécessaire de pratiquer de distance en distance, et sur une certaine longueur, une seconde voie. Lorsque deux convois se rencontrent, l'un d'eux quitte la voie principale et se range momentanément dans la seconde voie pour laisser passer l'autre. Ces portions de voie supplémentaire sont ce que l'on appelle des gares d'évitement. Par un excès de précaution, qui paraît sans objet, on impose même aux chemins de fer à deux voies la condition d'avoir des gares d'évitement de distance en distance. D'après les règles ordinaires des cahiers de charges, elles ne doivent pas être espacées de plus de vingt mille mètres. Il serait plus simple et plus rationnel d'exiger qu'à tous les lieux de station il y ait une voie supplémentaire en dehors des deux voies principales. Ces stations n'étant jamais à vingt mille mètres de distance l'une de l'autre, cette prescription serait tout à fait suffisante..

Les stations ou lieux d'embarquement et de débarquement des voyageurs et des marchandises sur les chemins de fer s'appellent aussi gares.

GLACE. Plateau de verre blanc qui sert à fermer les panneaux de voitures pour préserver les voyageurs des intempéries de l'air, sans gêner la vue du dehors. Sur les chemins de fer français les voyageurs de première classe seuls ont le droit d'exiger, aux termes des cahiers de charges, que les voitures qui leur sont consacrées soient fermées à glace. Celles de seconde classe doivent être simplement couvertes. Cependant les compagnies exploitantes ont généralement adopté, pour ces dernières voitures, les fermetures à glaces, mais seulement pour les panneaux des portières; elles ne laissent ouvertes que celles qui sont destinées aux transports de la belle saison.

GARNITURE. Nom sous lequel on désigne la substance qui remplit l'intervalle compris entre les deux faces planes d'un piston. C'est celle qui frotte contre les parois du cylindre dans lequel se meut le piston. Les garnitures sont de deux espèces : en étoupes ou en métal. Ces dernières sont aujourd'hui préférées, comme donnant moins de frottement et demandant des réparations moins fréquentes. On appelle garniture, les tresses de chanvre dont on remplit l'intérieur d'une boîte à étoupes.

GÉNÉRATEUR, Mot employé comme synonyme de chaudière,

parce que c'est dans ces récipiens que s'engendre la vapeur qui communique le mouvement à une machine.

GLISSOIR, GUIDE. Les pièces de machines, qui ont un mouvement rectiligne, ont besoin d'être guidées dans leur course pour ne pas dévier du chemin qu'elles ont à parcourir. Les plus remarquables parmi les pièces de cette nature dans les machines à vapeur sont les tiges de piston. Lorsque la machine est à balancier supérieur, la masse de ce dernier suffit pour guider les tiges avec lesquelles il est articulé, sans qu'il soit besoin d'appareils particuliers. Il n'en est pas de même dans les machines sans balancier et dans celles où la tige du piston communique le mouvement à un balancier inférieur, au moyen de bielles pendantes. On se sert dans ce cas de guides ou glissoirs, le long desquels se meuvent des oreilles ou bras transversaux fixés à la tige du piston. Ces glissoirs forment partie intégrante du châssis de la machine, et sont parallèles à la tige qu'elles doivent guider. On en voit un exemple dans les deux figures ci-dessous qui représentent la vue de face A, et la vue de côté B, d'un glissoir de locomotive.

La vue de face fait voir que les guides sont évidés dans le but de les rendre plus légers: un galet sert à adoucir le frottement. La vue de côté montre les deux guides et la tige du piston courant entre eux: sa tête est garnie de deux oreilles, qui s'appuient contre les guides par l'intermédiaire des galets.

D'autres dispositions ont été adoptées par quelques constructeurs, mais elles se rapprochent toutes plus ou moins de celle que je viens de décrire.

GODET. Petit récipient percé par le fond, et dans lequel on verse l'huile destinée au graissage d'un coussinet, d'un essieu ou de toute autre pièce mobile dans une machine. On en voit un exemple aux deux extrémités de la bielle X, dans la coupe de la locomotive de le Planche VII.

voir autorisé cette assimilation pour un service où la surveillance la plus rigoureuse et la stricte observation des réglemens de police généraux et particuliers, intéressent à un si haut degré la sécurité des voyageurs.

GARE. Lorsqu'un chemin de fer est à une seule voie, il est nécessaire de pratiquer de distance en distance, et sur une certaine longueur, une seconde voie. Lorsque deux convois se rencontrent, l'un d'eux quitte la voie principale et se range momentanément dans la seconde voie pour laisser passer l'autre. Ces portions de voie supplémentaire sont ce que l'on appelle des gares d'évitement. Par un excès de précaution, qui paraît sans objet, on impose même aux chemins de fer à deux voies la condition d'avoir des gares d'évitement de distance en distance. D'après les règles ordinaires des cahiers de charges, elles ne doivent pas être espacées de plus de vingt mille mètres. Il serait plus simple et plus rationnel d'exiger qu'à tous les lieux de station il y ait une voie supplémentaire en dehors des deux voies principales. Ces stations n'étant jamais à vingt mille mètres de distance l'une de l'autre, cette prescription serait tout à fait suffisante..

Les stations ou lieux d'embarquement et de débarquement des voyageurs et des marchandises sur les chemins de fer s'appellent aussi gares.

GLACE. Plateau de verre blanc qui sert à fermer les panneaux de voitures pour préserver les voyageurs des intempéries de l'air, sans gêner la vue du dehors. Sur les chemins de fer français les voyageurs de première classe seuls ont le droit d'exiger, aux termes des cahiers de charges, que les voitures qui leur sont consacrées soient fermées à glace. Celles de seconde classe doivent être simplement couvertes. Cependant les compagnies exploitantes ont généralement adopté, pour ces dernières voitures, les fermetures à glaces, mais seulement pour les panneaux des portières; elles ne laissent ouvertes que celles qui sont destinées aux transports de la belle saison.

GARNITURE. Nom sous lequel on désigne la substance qui remplit l'intervalle compris entre les deux faces planes d'un piston. C'est celle qui frotte contre les parois du cylindre dans lequel se meut le piston. Les garnitures sont de deux espèces: en étoupes ou en métal. Ces dernières sont aujourd'hui préférées, comme donnant moins de frottement et demandant des réparations moins fréquentes. On appelle garniture, les tresses de chanvre dont on remplit l'intérieur d'une boîte à étoupes.

GÉNÉRATEUR, Mot employé comme synonyme de chaudière,