Collection des mémoires relatifs à l'histoire de France depuis la fondation de la monarchie française jusqu'au 13e siècle: Avec une introduction, des supplémens, des notices et des notes, Volume 28J. L. Brière, 1826 - France |
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abbé Amauri amis Angevins Anglais Angleterre Antioche armée armes arrondissement arrondissement d'Argentan assiégea avaient ayant appris Baudouin Boémond Breteuil calendes cause château chevaliers choses Chrétiens Christ Cluni combat compagnons comte d'Anjou comte de Chester comte de Meulan comte de Mortagne comté du Maine conséquence cruellement d'Ouche Daliman desire Dieu duc Robert effet églises enfans ennemis envoya Etienne événemens évêque fidèles fille fils firent forces forteresse Foulques frère Galeran garnison Geoffroi Gislebert Goisfred guerre Guil Guillaume Guillaume Adelin Guillaume de Breteuil Guillaume de Roumare habitans Hélie Henri hommes Hugues Jérusalem jeune joie jour L'an de l'incarnation l'église l'Empereur l'évêque l'incarnation du Seigneur laume Lisieux long-temps mandie ment monarque monastère Montfort mort mourut neveu Normandie Païens paix pape pays pendant père perfides peuple place prélat prince prison prit Rainauld Raoul rendit réunirent Richard Robert de Bellême Roger Rotrou Rouen royaume s'était saint Saint-Evroul secours Séès Serlon siége terre troupes trouver
Popular passages
Page 152 - C'est pourquoi, glorieux monarque, je « vous prie de donner à vos sujets un louable exem« ple; que surtout ils voient par vous-même comment « ils doivent se coiffer. » A ces mots, le Roi et tous les grands obéirent avec joie , et l'expéditif prélat tira aussitôt de sa manche des ciseaux, et tondit de ses propres mains d'abord le Roi , puis le comte de Meulan, et plusieurs autres seigneurs. Toute la suite du Roi et les...
Page 267 - Louis répara cet échec en faisant son appel ordinaire au clergé : les évêques y répondirent avec empressement; « et, à cause de la haine qu'ils portaient aux Normands, ils permirent à leurs hommes de commettre toutes sortes de crimes, employant l'autorité divine à faire le bien comme le mal (3).
Page 305 - Thibaut, un enfant se jeta en pleurant aux pieds du Roi, et lui dit que la cause du deuil qu'il voyait provenait du naufrage de la Blanche-Nef. Dans l'excès des angoisses de son âme, Henri tomba par terre; mais, relevé par ses amis, il fut conduit dans son appartement, où il donna un libre cours à l'amertume de ses plaintes. Jacob ne...
Page 150 - ici que le Cotentin est misérablement dévasté, et « que même toute la Normandie, subjuguée par des « brigands profanes, est privée d'un chef habile. « La maison de la prière était autrefois appelée la...
Page 282 - qui est aux cieux ; et moi je te dis que tu es Pierre, et " sur cette pierre je bâtirai mon Eglise, et les portes de " l'enfer ne prévaudront pas contre elle ; et je te donnerai " les clefs du royaume des cieux, et tout ce que tu lieras " sur la terre sera aussi lié dans le ciel, et tout ce que tu " auras délié sur la terre sera aussi délié dans le ciel (2).
Page 165 - Bayeux et reçu Caen à composition, envoya au duc Robert un message d'un style assez singulier. « Mon frère, lui mandait-il, ce n'est point par cupidité des biens terrestres que je suis venu en ces lieux, et je n'ai point résolu de vous ravir les droits de votre duché; mais, appelé par les plaintes et les larmes des pauvres, je désire seulement secourir l'Église de Dieu. Quant à vous, vous ne tenez de place sur la terre que comme un arbre stérile , et vous n'offrez en sacrifice à notre...
Page 335 - Nous perdrons à bon droit notre solde et notre « gloire , et je juge que nous ne devrons plus doré« navant manger le pain du Roi. » Tous les compagnons d'Odon encouragés par les exhortations de cet illustre chevalier, consentirent à mettre pied à terre avec les leurs, pourvu qu'il fût de la partie; il ne s'y refusa pas , et attendit gaîment à pied et en armes le moment de combattre, de concert avec ses gens dont il était vivement aimé. Le jeune Galeran, avide de gloire, en voyant l'ennemi,...
Page 301 - son vaisseau, le porta en Angleterre, quand il s'y « rendit pour combattre Harold. Ce fut dans un tel :< emploi que, jusqu'à la mort, ses services furent « agréables à Guillaume , et que , comblé de ses pré« sens, il vécut avec magnificence parmi ses com
Page 42 - , et que furent ravagées de fond encombleplusieursplaces et plusieurs campagnes. Robert de Montfort , chef de l'armée , marcha en avant avec cinq cents chevaliers , éteignit l'incendie du château de Vaux , et fortifia la place pour le service du Roi. Hélie se tenait avec des troupes considérables au Château-du-Loir , et se réservant pour de plus favorables circonstances, attendait l'événement. Enfin le vendredi, le Roi assiégea Mayet, et ordonna à sou armée d'attaquer le château le...
Page 87 - Cette femme sage et courageuse dit à son mari ces choses et plusieurs autres semblables ; mais, comme comme il connaissait les dangers et les difficultés de l'entreprise, il craignait d'avoir à souffrir de nouveau de si rudes travaux. Enfin il reprit courage et force-, il se mit en marche avec plusieurs milliers de Français, et malgré les plus fâcheux obstacles se rendit jusqu'au sépulcre du Christ.