Collection des mémoires relatifs à la révolution française ...Saint Albin Berville, François Barrière Baudouin frères, 1821 - France |
Common terms and phrases
administration août arrêté assemblées assez aujourd'hui avaient Bailly Bastille Berthier Bertrand de Moleville Besenval blée boulangers c'était cent chargé chef chose citoyens comité des subsistances commandant-général commissaires commune constitution déclaration décret délibération demander députés devait discours districts donner édit électeurs envoyé fallait farines Fayette et moi féodaux Foulon fût garde nationale gardes-françaises habitans homme j'ai j'avais j'étais jour juger juillet justice l'abbé Fauchet l'administration l'arrêté l'As l'assem l'Assemblée nationale l'Hôtel-de-Ville Lally-Tollendal lendemain lettre liberté long-temps Louis XVI maire mandé matin membres ment Messieurs mille livres ministre Mirabeau n'avait n'était nation Necker nomination nommé Note des nouv officiers ordonné ordres Osselin pain Palais-Royal patriotisme pensais personnes peuple place place de l'Hôtel-de-Ville plan de municipalité porter pouvait pouvoir présent président procès-verbal proposé publique régiment de Flandre rendre représentans révolution s'est s'était Saint-Méry Saint-Priest salle sentimens serait seul soir sur-le-champ sûreté tion toyens Versailles véto vœu voitures voulait
Popular passages
Page 442 - Nul ne doit être inquiété pour ses opinions, même religieuses, pourvu que leur manifestation ne trouble pas l'ordre public établi par la loi.
Page 441 - La loi est l'expression de la volonté générale; tous les citoyens ont droit de concourir personnellement, ou par leurs représentants, à sa formation; elle doit être la même pour tous, soit qu'elle protège, soit qu'elle punisse. Tous les citoyens, étant égaux à ses yeux, sont également admissibles à toutes dignités, places et emplois publics, selon leur capacité, et sans autre distinction que celle de leurs vertus et de leurs talents.
Page 442 - Nul homme ne peut être accusé, arrêté ni détenu que dans les cas déterminés par la loi, et selon les formes qu'elle a prescrites. Ceux qui sollicitent, expédient, exécutent ou font exécuter des ordres arbitraires doivent être punis ; mais tout citoyen, appelé ou saisi en vertu de la loi, doit obéir à l'instant : il se rend coupable par la résistance.
Page 438 - ... sauf à aviser aux moyens de subvenir d'une autre manière à la dépense du culte divin, à l'entretien des ministres des autels, au soulagement des pauvres, aux réparations et reconstructions des églises et presbytères et à tous les établissements, séminaires, écoles, collèges, hôpitaux, communautés et autres, à l'entretien desquels elles sont actuellement affectées.
Page 442 - Toute société dans laquelle la garantie des droits n'est pas assurée, ni la séparation des pouvoirs déterminée, n'a point de constitution.
Page 2 - Le chef de la nation vient avec confiance au milieu de ses représentants, leur témoigner sa peine et les inviter à trouver les moyens de ramener l'ordre et le calme. Je sais qu'on a donné d'injustes préventions ; je sais qu'on a osé publier que vos personnes n'étaient pas en sûreté.
Page 441 - La liberté consiste à pouvoir faire tout ce qui ne nuit pas à autrui. Ainsi, l'exercice des droits naturels de chaque homme n'a de bornes que celles qui assurent aux autres membres de la société la jouissance de ces mêmes droits. Ces bornes ne peuvent être déterminées que par la loi.
Page 442 - Tous les Citoyens ont le droit de constater, par eux-mêmes ou par leurs représentants, la nécessité de la contribution publique, de la consentir librement, d'en suivre l'emploi, et d'en déterminer la quotité, l'assiette, le recouvrement et la durée.
Page 441 - Le but de toute association politique est la conservation des droits naturels et imprescriptibles de l'homme.