Histoire de France, depuis la fin du règne de Louis XVI jusqu'à l'année 1825: précédée d'un discours préliminaire et d'une introduction historique sur la monarchie française et les causes qui ont amené la révolution, Volume 7Moutardier, 1827 - France |
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Common terms and phrases
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Popular passages
Page 401 - France, telle qu'elle a existé sous ses rois légitimes ; ils peuvent même faire plus , parce qu'ils professent toujours le principe que , pour le bonheur de l'Europe, il faut que la France soit grande et forte ; Qu'ils reconnaîtront et garantiront la constitution que la nation française se donnera.
Page 430 - ... contre la haine de la nation. Le Sénat se fonde sur les articles de la Constitution pour la renverser; il ne rougit pas de faire des reproches à l'empereur, sans remarquer que, comme premier corps de l'État, il a pris part à tous les événements.
Page 412 - Considérant que la liberté de la presse, établie et consacrée comme l'un des droits de la nation, a été constamment soumise à la censure arbitraire de sa police et qu'en même temps il s'est toujours servi de la presse pour remplir la France et l'Europe de faits controuvés, de maximes fausses...
Page 430 - Il tenait sa dignité de Dieu et de la nation ; eux seuls pouvaient l'en priver; il l'a toujours considérée comme un fardeau, et lorsqu'il l'accepta, ce fut dans la conviction que lui seul était à même de la porter dignement.
Page 417 - Qu'à l'abri d'un trône .paternel l'agriculture épuisée refleurisse ; que le commerce , chargé d'entraves , reprenne sa liberté ; que la jeunesse ne soit plus moissonnée par les armes avant d'avoir la force de les porter ; que l'ordre de la nature ne soit plus interrompu , et que le vieillard puisse espérer de mourir avant ses enfans.
Page 460 - LES Puissances alliées ayant proclamé que l'Empereur NAPOLÉON était le seul obstacle au rétablissement de la Paix en Europe , l'Empereur NAPOLÉON, fidèle à son serment, déclare qu'il renonce, pour lui et ses héritiers , aux Trônes de France et d'Italie , et qu'il n'est aucun sacrifice personnel, même celui de la vie, qu'il ne soit prêt à faire à l'intérêt de la France.
Page 411 - Le Sénat conservateur, considérant que dans une monarchie constitutionnelle le monarque n'existe qu'en vertu de la constitution, ou du pacte social ; « Que Napoléon Bonaparte, pendant quelque temps d'un gouvernement ferme et prudent, avait donné à la nation des sujets de compter, pour l'avenir, sur des actes de sagesse et de justice ; mais qu'ensuite il a déchiré le pacte qui l'unissait au peuple français...
Page 77 - ... le cas d'une heureuse issue de la guerre, SM l'empereur des Français s'engage à procurer à SM l'empereur d'Autriche des indemnités et...
Page 409 - Un homme , qui se disait mon allié , est arrivé < dans mes états en injuste agresseur; c'est à lui que j'ai fait la « guerre, et non à la France. Je suis l'ami du peuple français. Ce « que vous venez de faire redouble encore ce sentiment.
Page 404 - Que nous parle-t-on de ses victoires passées ? Quel bien nous ont-elles fait ces funestes victoires ? La haine des peuples, les larmes de nos familles, le célibat forcé de nos filles , la ruine de toutes les fortunes , le veuvage prématuré de nos femmes , le désespoir des pères et des mères à qui , d'une nombreuse postérité, il ne reste plus la main d'un enfant pour leur fermer les yeux : voilà ce que nous ont produit...